Notes de presse

• PC
• PS5
• XSX/S
• 5 / 10
• France

Assassin's Creed Shadows n'a rien fait de plus que de nous vendre du rêve grâce à son cadre capable de charmer plus d'un amoureux du jeu vidéo et de culture geek. C'est bien simple, le contexte géopolitique et l'univers sont les seules évolutions notables entre Valhalla et Shadows. Le système de combat et l'infiltration sont toujours d'un grand classicisme, sachant que l'IA ennemie se montre toujours aussi risible. Le contenu secondaire manque d'originalité, d'intérêt et nous attire avant tout par l'envie et la nécessité de récupérer de jolies armes et équipements pour Naoe et Yasuke. Le duo de héros très charismatique est clairement LE point fort d'Assassin's Creed Shadows. Dommage que la trame narrative morne ne se focalise pas suffisamment sur leur évolution individuelle et commune. Une fois Assassin's Creed Shadows bouclé, le constat est limpide : il est grand temps que la licence change de cap.

• PC
• 18 / 20
• France

• PS5
• 5 / 5
• France

Entre délais à rallonge, diverses polémiques, déluge de bashing et une situation économique délicate, les derniers mois d'Ubisoft ont ressemblé à une partie de Tetris en mode expert (où tout tombe mal). Voilà pourquoi Assassin's Creed Shadows a pris son temps pour arriver jusqu'à nous. Mais il faut dire que la tâche était corsée : proposer un Assassin's Creed dans le Japon féodal après le hold-up Ghost of Tsushima ? C'était comme essayer de passer après un samouraï qui vient de trancher une pastèque en deux d'un coup net. Heureusement, Ubisoft a plus d'un shuriken dans sa besace : le défi est relevé avec panache.

• PC
• 8 / 10
• Italie

Assassin's Creed Shadows è un open world gigantesco e sontuoso, straboccante di attività, missioni, collezionabili, eventi capaci di intrattenere il giocatore per decine e decine di ore di gioco. Il Giappone feudale è, tra l'altro, messo in scena con dovizia di particolari e con un'accuratezza storica che trasuda una dedizione straordinaria e un amore sconfinato nei confronti di quell'immaginario. E a tutto questo si aggiungono i due protagonisti che riescono pure ad essere ben caratterizzati sul fronte del gameplay. Ma quando si mette così tanta roba sul piatto è facile esagerare rischiando di far straripare la portata e questo è ciò che succede in termini di ripetitività e di bilanciamento della difficoltà e della progressione. Con in più l'aggravante di dinamiche e meccaniche rimaste troppo ancorate al passato. Shadows è insomma il perfetto rappresentante della saga di Assassin's Creed che i fan vogliono giocare. E questo è contemporaneamente il suo maggiore aspetto positivo e la sua più grande maledizione.

• PS5
• 7.7 / 10
• Italie

Assassin's Creed Shadows rappresenta un passo avanti, per quanto ci riguarda, tanto rispetto a Valhalla (uscito ormai nel 2020) quanto a Mirage, perché tenta, perlopiù con successo, di mescolare i due stili di gameplay che hanno fin qui reso famoso ed amatissimo il franchise, così da accontentare le fasce più ampie della fanbase. Il risultato è un titolo che lascia grande libertà al giocatore, immergendolo in un mondo vivido ed affascinante, ma che inciampa su due dei problemi storici della serie, che Dumont ed il suo team non sono purtroppo riusciti a sanare, ovvero un'intelligenza artificiale nemica deficitaria ed un livello di sfida troppo tarato verso il basso. Del primo problema risentono soprattutto le fasi stealth, che perdono credibilità e rompono, in un certo qual modo, l'immersione nel mondo di gioco, mentre il secondo incide sulla quantità di contenuti secondari che il giocatore medio porterà a termine e sul coinvolgimento durante i combattimenti e le boss fight. Nel complesso, comunque, la strada intrapresa ci sembra quella giusta, dopo l'elefantiasi di Valhalla e le ambizioni troppo limitate di Mirage, ma c'è ancora parecchio lavoro da fare per sollevare il franchise da fardelli storici che si porta dietro da sin troppo tempo.

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

While Assassin's Creed Shadows is unlikely to win over those who struggled to push through Odyssey or Valhalla, this is still one of the strongest overall entries in the series — and arguably the best of the open world RPG bunch. The storytelling is largely fantastic, the main characters are deeply likeable, and the open world itself is a thing of beauty.

• PS5
• 8 / 10
• France

Il y a, dans Assassin’s Creed Shadows, comme un goût de synthèse. Par tous ses ajustements et la combinaison des avancées de ses prédécesseurs, le jeu s’impose comme la vision la plus aboutie et remarquable de la formule action-RPG initiée par Assassin’s Creed Origins en 2017. Avec en plus l’attrait ensorcelant de son open world aussi magnifique que vivant et l’efficacité de ses deux redoutables gameplay, le titre aligne les arguments imparables. Mais face à cela, un autre goût émerge peu à peu, plus amer, quand le jeu retombe de temps à autre dans des travers connus et regrettables, en particulier la redondance placide de ses missions principales si peu créatives et ratant l’évidente opportunité d’exploiter la complémentarité de ses héros. Mais, à la faveur d’une soirée d’automne, perché en haut d’un tenshu, face à l’immensité de monts tapissés d’arbres rougeoyants, ces petits regrets sont vite emportés au loin, tels de simples feuilles d’érable, par la brise légère. Devant l’immensité de ce Japon captivant et riche de mille surprises, comment ne pas s’incliner ?

• PS5
• 7 / 10
• France

Assassin’s Creed Shadows arrive dans un contexte particulièrement tendu et semble avoir tout fait pour arrondir les angles et se faire beau, et ça marche. C’est un excellent épisode mais clairement pas exempt de défauts. Les nouveautés sont suffisamment nombreuses et bien pensées pour le sacrer meilleur épisode en ce qui concerne l’infiltration. On regrettera que Naoe porte le jeu à elle toute seule, là où Yasuke n'a qu’une place capitale que dans l’histoire et non le gameplay. Assassin’s Creed Shadows est un jeu où la liberté est reine et ça lui fait parfois défaut. Le rythme est irrégulier, l’écriture peut peiner à convaincre comme briller par moments, et les défauts flagrants de mise en scène sont tels qu’ils ruinent des instants de fulgurances. Dommage, car le jeu propose un open world absolument bluffant, le Japon est sublime. Sans compter son système de météo dynamique tout simplement incroyable et jamais vu que l’on espère devenir une norme désormais. Assassin’s Creed Shadows n’est peut-être pas exceptionnel, mais il fait néanmoins partie des très bons épisodes de la licence et nous promet surtout de belles choses pour la suite.

• PS5
• 7 / 10
• Italie

Assassin's Creed Shadows segna il prosieguo, e forse la fine, del ciclo cominciato alla grande con Origins. L'episodio ambientato in Giappone però rappresenta anche la parabola discendente, in termini di qualità di alcune componenti dell'offerta ludica e contenutistica, di un modello strutturale che comincia a sentire il peso degli anni. Shadows è un gioco che vuole accontentare tutti e che fa tutto più o meno bene, ma senza eccellere davvero in nulla, e - purtroppo - senza lasciare il segno. L'epopea di shinobi e samurai lascia aperti diversi spiragli per il futuro. Ma ci auguriamo che, sia con DLC legati alla storia di Naoe e Yasuke sia con i prossimi episodi, la saga possa davvero ripartire, ritrovando la capacità di meravigliarci.

• XSX/S
• 74%
• Canada

Another solid entry for the series, Assassin's Creed Shadows offers a wonderfully rendered natural world, though it's not as unique as it once could have been. The typical mix of stealth and action gameplay is still enjoyable and is now split between two protagonists, though switching between them can be cumbersome. Fans of the franchise should be satisfied, if not exactly impressed.

• XSX/S
• 8 / 10
• France

Assassin’s Creed Shadows avait de grosses chaussures à chausser. Valhalla avait déçu sur plusieurs points et divisait la communauté en deux. Ceux qui préféraient l’ancienne direction de la franchise et ceux qui adoraient le côté RPG. C’est presque impossible de satisfaire les deux, mais cette nouvelle aventure s’en approche presque. Que ce soit l’ajout du système d’informateurs et de la construction du repaire ou encore la présence bien moins nombreuse de collectables, le titre devrait plaire à une grande majorité. Cependant, le titre est loin d’être parfait. Les problèmes techniques sont encore très présents, tandis que la modélisation des visages ne rend pas hommage aux décors somptueux. Sans doute reliée à l’utilisation d’un moteur graphique maison, la jouabilité rencontre les mêmes problèmes que les premiers jeux de la franchise, notamment concernant la précision des mouvements. Des éléments qui empêchent à cet opus de s’approcher de la perfection, mais sans pour autant être dénué d’intérêt.

• SWITCH
• 18 / 20
• France

• SWITCH
• 9 / 10
• Italie

Xenoblade Chronicles X era un gioco monumentale già nello scorso decennio, eppure i ragazzi di Monolith Soft sono riusciti a elevarne ulteriormente la qualità. Il comparto grafico rielaborato ci ha regalato modelli poligonali finalmente espressivi, armoniosi nei movimenti e impreziositi da un’illuminazione in grado di farne risaltare i dettagli, mentre la ricarica rapida e gli altri piccoli accorgimenti apportati al combat system hanno scacciato in via definitiva il fastidioso “effetto spettatore” che il prodotto aveva ereditato dal primo Xenoblade Chronicles, assicurandosi a questo giro che l’utente sia sempre partecipe nelle fasi di lotta. Tra nuove missioni secondarie, tre personaggi giocabili aggiuntivi, Skell mai visti prima e soprattutto una ricca porzione di storia extra, Xenoblade Chronicles X: Definitive Edition rappresenta un’imperdibile occasione per tornare sul pianeta Mira o comunque esplorarlo per la prima volta.

• PS5
• 7 / 10
• France

Don’t Nod revient en force avec une proposition calibrée pour les fans qui sont tombés en amour avec le studio grâce à Life is Strange. Lost Records a tout pour plaire à un public qui ne jure que par les émotions qu’ils ont connues en incarnant Max Caulfield à l’époque d’Arcadia Bay ou même avec les frères Diaz. L’histoire et sa mise en scène sont indéniablement le point fort de cette Tape 1. “Bloom” a su poser le décor et les enjeux pour créer un titre qui a toutes les chances de devenir une nouvelle référence du studio. Il trébuche encore à certains moments, notamment par un aspect technique pas tout à fait fini. On espère évidemment que le studio se sera laissé suffisamment de temps pour que la suite ne connaisse pas les mêmes perturbations. On a donc hâte de lancer la Tape 2 et découvrir le fin mot de l’histoire derrière cette réunion d’amies qui ne sont pas vues depuis 27 ans. Pour ça, on se donne rendez-vous le 15 avril 2025.

• PS5
• 6 / 10
• France

La Tape 1 de Lost Records : Bloom & Rage parvient à nous charmer par son atmosphère si spéciale dont Don't Nod a le secret. Malheureusement, son scénario, plutôt intrigant au premier abord, met bien trop longtemps à décoller. Le suspense posé par l'intrigue ne fait pas vraiment effet à cause de l'enchaînement de séquences peu engageantes et d'un rythme poussif sapé par des sauts dans le temps intempestifs. La conclusion prometteuse nous laisse tout de même entrevoir une partie Rage bien plus intense portée par ces quatre adolescentes attachantes. Rendez-vous le 15 avril prochain.

• PS5
• 7 / 10
• Italie

Lost Records: Bloom & Rage ha una premessa che è troppo più interessante del suo svolgimento. Pesca a piene mani dai classici del genere, e in particolare dal romanzo IT di Stephen King, per raccontarci una storia d'amicizia divisa in due linee temporali: il 1995 e il 2022, con un grande mistero sullo sfondo che ha separato le protagoniste tenendole lontane da Velvet Cove. L'equilibrio tra il racconto di formazione e la parte horror, però, è totalmente sbilanciato in favore del primo, e la scrittura seriale non è aiutata dai tempi dilatati della sceneggiatura, con una parte centrale troppo poco incisiva. Scopriremo solo il 15 aprile se il grande mistero è nascosto nel secondo episodio, ma per ora siamo amareggiati dal potenziale sprecato di questa storia.

• SWITCH
• 9 / 10
• États-Unis

Xenoblade Chronicles X was already one of the Wii U’s best games, and this Definitive Edition has escaped the destruction of its old home like the White Whale and settled down nicely on Switch. The quality-of-life improvements here are enough to justify another trip to Mira alone for veteran players, and it’s the perfect opportunity for newcomers to explore its beautiful landscapes for themselves. Its combat systems are deep and engaging, and the massive open world never got old to run, jump, or fly across. Its main story may not quite live up to the standards of the series, but a likable cast of characters and plenty of compelling side missions mean Xenoblade Chronicles X: Definitive Edition is still an adventure worth writing back home about.

• SWITCH
• 9 / 10
• États-Unis

• SWITCH
• 4 / 5
• Australie

• SWITCH
• 7 / 10
• France

Xenoblade Chronicles X Definitive Edition est encore plus généreux que sa version originale. Il s’enrichit en contenus et revoit ses mécaniques pour moderniser l’expérience. Il profite en plus de visuels plus attrayants, même si quelques défauts techniques persistent. Aussi, la narration se montre encore inutilement bavarde et peu engageante dans ses prémisses. Le système de combat aurait également mérité plus de profondeur, même s’il gagne un peu en dynamisme aujourd’hui. En somme, les fans de la première heure auront autant de plaisir à redécouvrir Mira et ses secrets qu’à l’époque. Cependant, cet opus ne sera pas la porte d’entrée la plus simple pour qui voudrait se plonger dans la licence en 2025. Très dense, il n’est pas le plus évident à appréhender. Néanmoins, le plaisir de l’exploration et la progression de l’histoire vaudront le détour pour les plus patients et les plus férus de RPG.

• SWITCH
• 85%
• France

• SWITCH
• 8.6 / 10
• Italie

Oltre che per il valore intrinseco dell'opera – uno dei migliori giochi di ruolo di matrice giapponese della scorsa generazione di console – la Definitive Edition di Xenoblade Chronicles X merita le nostre lodi per il lavoro svolto sul porting, per le aggiunte mirate, che vanno a raddrizzare le poche storture della versione originale, e per il tentativo, da parte di Takahashi e del suo team, di tendere la mano ai neofiti. Grazie alle numerose migliorie alla quality of life, allora, al notevole revamp grafico e, soprattutto, alla storia autoconclusiva ed indipendente che racconta, Xenoblade Chronicles X Definitve Edition rappresenta il punto d'ingresso ideale per quanti non conoscessero il franchise. I primi capitoli sono piuttosto lenti a carburare e, proprio come nella versione originale, la quantità di fetch quest è probabilmente superiore alla soglia del consentito, ma per il resto siamo dinanzi ad un prodotto ciclopico per ambizione, portata e quantità di contenuti. Un vero JRPG di valore per Nintendo Switch, prima che la console passi il testimone alla successiva.

• SWITCH
• 9 / 10
• Italie

Xenoblade Chronicles X resta un titolo grandioso, forse il più ambizioso che Monolith Soft abbia mai sviluppato, contando anche la trilogia che ha portato avanti su Nintendo Switch, e Tetsuya Takahashi non vedeva l'ora di tornarci sopra. La Definitive Edition è praticamente perfetta: migliora dove possibile un comparto tecnico che era straordinario all'epoca e che oggi, entro certi limiti, resta ancora sbalorditivo, e smussa alcuni angoli per modernizzare il gameplay dove possibile. Su Nintendo Switch il gioco si comporta benissimo sia in portabilità che sul TV, grazie anche alle interfacce rivedute e corrette, a un sensibile ingrandimento dei sottotitoli e a una migliore regolazione dell'audio che permette di ascoltare ancora meglio le bellissime musiche di Hiroyuki Sawano, vecchie e nuove. Hanno davvero pensato a tutto e se questo vuole essere una specie di punto di ripartenza non vediamo l'ora di scoprire cos'ha in serbo Monolith Soft per Nintendo Switch 2.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• États-Unis

Assassin’s Creed Shadows takes a flashing blade to the series’ established norms, trimming them to a more precise form in lieu of chopping them down outright. Combat is aggressive and requires more intentional parrying and skill management than in the past, and exploring the gorgeous provinces of Sengoku-period Japan is encouraged thanks to the revamped map that deemphasizes collecting icons and checking off lists. Naoe and Yasuke are well-realized and memorable protagonists, even though most of the story they drive follows pretty predictable paths. Both have unique playstyles that bolster each other’s weaknesses, but they are ultimately imbalanced by the fact that you can make use of the stealth and exploration skills of the master shinobi far more than the superhuman strength of the samurai. This isn’t the Assassin’s Creed that will change the minds of folks that never connected with the series before, but for those of us with lots of hours logged in the Animus, the sum of Shadows’ parts provide a refreshing realignment of the series that you should not skip.