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• XONE
• PS4
• 14 / 20
• France

Si ses grands défauts de gameplay ne venaient pas largement contenir notre enthousiasme, nous pourrions dire que Farming Simulator franchit, avec cet épisode, l'étape de la nouvelle génération. Toujours aussi diversifié en termes de véhicules et de cultures (céréalières, élevage...), cette version 2015 de la simulation agricole propose enfin des graphismes plus agréables qu'auparavant et introduit la sylviculture, véritable plus dans le panel déjà large des tâches à effectuer. En outre, le pad est très bien adapaté au contrôle des multiples véhicules du jeu. Restent malheureusement cette indécrottable physique catastrophique, le faible nombre de nouveautés par rapport à l'édition précédente et une optimisation pas folichonne pour empêcher Farming Simulator de véritablement décoller. Le profane passera sans doute son chemin, les fans, eux, seront aux anges.

• X360
• PS3
• 13 / 20
• France

Farming Simulator 15 sur consoles d'ancienne génération ne reflète pas les efforts fournis sur les versions PC, One et PS4. Visuellement en deçà de ce que peuvent offrir la 360 et la PS3 et s'affranchissant du mode multijoueur, cette édition s'offre même le luxe de proposer 15 véhicules de moins que ses homologues current-gen. Toutefois tout n'est pas noir. Toujours aussi diversifiée en termes de véhicules et de cultures (céréalières, élevage...), cette version 2015 de la simulation agricole offre une expérience très complète et introduit la sylviculture, véritable plus dans le panel déjà large des tâches à effectuer. En outre, le pad est très bien adapté au contrôle des multiples véhicules du jeu. Restent malheureusement cette indécrottable physique catastrophique, le faible nombre de nouveautés par rapport à l'édition précédente et une optimisation pas folichonne pour empêcher Farming Simulator de véritablement décoller. Le profane passera sans doute son chemin, les fans, eux, seront aux anges.

• PC
• 14 / 20
• France

Véritable mélange d’influences, Lords of the Fallen s’avance en faisant le parti pris d’un certain réalisme lors des combats. Si la progression du personnage permettra de gagner en fluidité et en technicité tout au long du périple, le titre n’arrive cependant pas à se démêler de ses défauts de gameplay. Comme si une couche supplémentaire de lourdeur dérangeante était venue plomber la lourdeur assumée à la base d’un système de jeu pourtant truffé de bonnes idées. Les amoureux d’action-RPG exigeants y trouveront toutefois de quoi y passer une quinzaine d’heures avant de se lancer ou non dans les deux modes New Game + prévus pour les plus acharnés. Bref, de par ses sources d’inspiration évidentes, Lords of the Fallen payera sans doute un peu trop les frais de comparaisons (justifiées ou non) à la concurrence. Ce qui n'est pas forcément bénéfique pour se forger sa propre image dans le secteur.

• XONE
• 14 / 20
• France

Véritable mélange d’influences, Lords of the Fallen s’avance en faisant le parti pris d’un certain réalisme lors des combats. Si la progression du personnage permettra de gagner en fluidité et en technicité tout au long du périple, le titre n’arrive cependant pas à se démêler de ses défauts de gameplay. Comme si une couche supplémentaire de lourdeur dérangeante était venue plomber la lourdeur assumée à la base d’un système de jeu pourtant truffé de bonnes idées. Les amoureux d’action-RPG exigeants y trouveront toutefois de quoi y passer une quinzaine d’heures avant de se lancer ou non dans les deux modes New Game + prévus pour les plus acharnés. Bref, de par ses sources d’inspiration évidentes, Lords of the Fallen payera sans doute un peu trop les frais de comparaisons (justifiées ou non) à la concurrence. Ce qui n'est pas forcément bénéfique pour se forger sa propre image dans le secteur.

• PS4
• 14 / 20
• France

Véritable mélange d’influences, Lords of the Fallen s’avance en faisant le parti pris d’un certain réalisme lors des combats. Si la progression du personnage permettra de gagner en fluidité et en technicité tout au long du périple, le titre n’arrive cependant pas à se démêler de ses défauts de gameplay. Comme si une couche supplémentaire de lourdeur dérangeante était venue plomber la lourdeur assumée à la base d’un système de jeu pourtant truffé de bonnes idées. Les amoureux d’action-RPG exigeants y trouveront toutefois de quoi y passer une quinzaine d’heures avant de se lancer ou non dans les deux modes New Game + prévus pour les plus acharnés. Bref, de par ses sources d’inspiration évidentes, Lords of the Fallen payera sans doute un peu trop les frais de comparaisons (justifiées ou non) à la concurrence. Ce qui n'est pas forcément bénéfique pour se forger sa propre image dans le secteur.

• XONE
• 14 / 20
• France

Qu'on se le dise, NBA Live 15 n'est pas un mauvais jeu. C'est un bon jeu, encore très perfectible mais qui ne doit pas être dénigré parce qu'il propose quelque chose de différent. Les équipes d'EA Sports ont-elles compris qu'elles ne pourraient jamais lutter face à Visual Concepts ? Peut-être, et elles ont eu l'intelligence de proposer un jeu de qualité en ciblant une population sans doute moins exigeante d'un point de vue technique, mais tout aussi passionnée. Si vous aimez la NBA, que vous touchez de temps en temps à votre console, sans avoir le temps d'apprendre pendant des heures des dizaines et des dizaines de combinaisons, NBA Live 15 est pour vous. Les parties entre potes vont être très animées... EA Sports a encore des efforts à faire, notamment sur les modes de jeu et sur le comportement de l'IA, mais il est sur la bonne voie. Et ça, ça s'encourage !

• PS4
• 14 / 20
• France

Qu'on se le dise, NBA Live 15 n'est pas un mauvais jeu. C'est un bon jeu, encore très perfectible mais qui ne doit pas être dénigré parce qu'il propose quelque chose de différent. Les équipes d'EA Sports ont-elles compris qu'elles ne pourraient jamais lutter face à Visual Concepts ? Peut-être, et elles ont eu l'intelligence de proposer un jeu de qualité en ciblant une population sans doute moins exigeante d'un point de vue technique, mais tout aussi passionnée. Si vous aimez la NBA, que vous touchez de temps en temps à votre console, sans avoir le temps d'apprendre pendant des heures des dizaines et des dizaines de combinaisons, NBA Live 15 est pour vous. Les parties entre potes vont être très animées... EA Sports a encore des efforts à faire, notamment sur les modes de jeu et sur le comportement de l'IA, mais il est sur la bonne voie. Et ça, ça s'encourage !

• PS3
• 10 / 20
• France

En soi, ce MX vs ATV n'est pas un mauvais jeu. Le problème est que tous ses points positifs sont identiques à ceux de son prédécesseur. D'ailleurs ses points négatifs le sont aussi, à tel point qu'on a l'impression de jouer au même jeu amputé de tous les circuits en extérieur. Certes, le gameplay reste globalement correct, mais l'IA est toujours aussi catastrophique, ce qui ternit clairement l'expérience.

• X360
• 10 / 20
• France

En soi, ce MX vs ATV n'est pas un mauvais jeu. Le problème est que tous ses points positifs sont identiques à ceux de son prédécesseur. D'ailleurs ses points négatifs le sont aussi, à tel point qu'on a l'impression de jouer au même jeu amputé de tous les circuits en extérieur. Certes, le gameplay reste globalement correct, mais l'IA est toujours aussi catastrophique, ce qui ternit clairement l'expérience.

• PC
• 17 / 20
• France

Amplitude fait une nouvelle fois très fort avec Dungeon of the Endless. Fort d'un concept très original mêlant des éléments de Rogue-like et de tower defense, voire de stratégie, il dispose en prime d'un contenu très riche, d'une bonne rejouabilité, de graphismes accrocheurs et d'une bande-son plutôt agréable à l'oreille. Certes, le didacticiel peut rebuter, mais il serait dommage de ne pas poursuivre l'aventure tant celle-ci peut être riche.

• WIIU
• 19 / 20
• France

Avec son arrivée U, Bayonetta n'a rien perdu de sa superbe et en profite même pour gagner en fluidité d'affichage. Empruntant les 60 fps de son aîné sur Xbox 360, cette réédition du premier volet des péripéties de la sorcière de l'Umbra s'impose comme la version la plus aboutie et agréable à jouer. Certes la prouesse n'était pas bien compliquée au vu des performances des versions Xbox 360 et PlayStation 3, mais l'initiative de Platinum Games de ressortir le jeu sur la machine de Nintendo est tout à fait honorable. Cette version Wii U permettra de se replonger avec délectation dans la frénésie des combats pour les uns ou d'entrer d'un bon pied dans la saga avant d'attaquer Bayonetta 2 pour les autres. Même si les problèmes de caméra parfois capricieuse perdurent et que les contrôles tactiles s'avèrent assez superflus, il n'y a aucune hésitation à avoir vis-à-vis de cette version de l'un des meilleurs beat'em all de tous les temps.

• WIIU
• 19 / 20
• France

Haletant, rythmé, technique, fluide et décomplexé, Bayonetta 2 s’impose comme la nouvelle référence du beat’em all. PlatinumGames réussit le pari de donner à l’un des tous meilleurs jeux de ces dernières années une suite à la démesure jubilatoire et au gameplay débarrassé de tous ses petits défauts. Aussi généreux en contenu qu’hyper fignolé dans ses moindres détails de gameplay, cette suite des aventures de la belle sorcière de l’Umbra offre à la Wii U un autre hit en puissance pour cette fin d’année. Et si les détracteurs de cette exclusivité Nintendo y trouveront sans doute encore des choses à redire, il serait fort dommage pour tous les amateurs du genre de passer à côté de ce petit bijou d’exubérance assumée.

• 3DS
• 14 / 20
• France

Ce n'est pas tant son univers que son dirigisme trop prononcé qui fait de Disney Magical World un titre taillé pour un public plus jeune. Varié dans son contenu et bourré de références sympathiques aux nombreux univers Disney, le titre n'en reste pas moins trop simple autant dans sa difficulté que dans son gameplay. Raison pour laquelle il accrochera sans doute davantage les néophytes que des briscards expérimentés. Il souffre également d'une progression parfois trop limitée et frustrante qui ne permet de découvrir l'ensemble des aspects du jeu qu'après une collecte d'autocollants parfois bien fastidieuse. Reste que le plaisir est là et que l'on y retrouve tous les principes de base d'un bon titre du genre, ce qui est suffisant pour faire de Disney Magical World un titre agréable à parcourir.

• XONE
• 17 / 20
• France

Disney Fantasia : Le pouvoir du son aurait pu être un titre magistral dans l'univers des jeux musicaux avec reconnaissance de mouvements, mais le manque de cohérence de sa playlist, qui reste toutefois de très bonne qualité, peut s'avérer frustrante si l'on s'attend à revivre du classique en long en large et en travers. L'ingéniosité de son gameplay et la force de proposition du concept d'arrangements variables renforce la rejouabilité du titre, tout comme la présence du multi et la sympathique quête scénarisée, idéale pour les enfants. A la fois outil didactique, sympathique jeu multijoueur et rêve de gosse, ce simulateur de chef d'orchestre a tout d'un maestro du jeu de rythme.

• PS4
• 15 / 20
• France

Plus intéressant, plus riche, plus beau, mais aussi plus varié dans ses objectifs que ses prédécesseurs, Samurai Warriors 4 s'avère être un épisode fort intéressant. Il bénéficie en prime d'une durée de vie énorme grâce à ses 12 campagnes et à son mode Chronique qui permet de vivre de façon non linéaire la vie d'un jeune ronin. Tout n'est pas rose pour autant. La répétitivité traditionnelle de la série se fait notamment sentir par moments, mais ne boudons pas notre plaisir, il s'agit là du musou le plus novateur depuis pas mal d'années.

• PS4
• 16 / 20
• France

Durant sa diffusion épisodique, cette seconde saison a partagé les joueurs. C'est sans doute parce qu'elle est assez inégale. Elle comprend autant de scènes puissantes que de séquences bien trop prévisibles ou de temps morts qui répondent aux ficelles un peu éculées d'une progression en triptyque. Il en va de même pour ses protagonistes dont une partie fait figure de chair à zombie, quand d'autres, dont Carver (ou Jane), sont particulièrement réussis. Reste une constante, Clémentine, dont l'évolution en douceur vers le cynisme ou l'espoir, selon vos choix, fait oublier à elle seule les reproches que l'on peut adresser à une suite qui a sans doute trop compté sur son héritage.

• XONE
• 16 / 20
• France

Durant sa diffusion épisodique, cette seconde saison a partagé les joueurs. C'est sans doute parce qu'elle est assez inégale. Elle comprend autant de scènes puissantes que de séquences bien trop prévisibles ou de temps morts qui répondent aux ficelles un peu éculées d'une progression en triptyque. Il en va de même pour ses protagonistes dont une partie fait figure de chair à zombie, quand d'autres, dont Carver (ou Jane), sont particulièrement réussis. Reste une constante, Clémentine, dont l'évolution en douceur vers le cynisme ou l'espoir, selon vos choix, fait oublier à elle seule les reproches que l'on peut adresser à une suite qui a sans doute trop compté sur son héritage.

• PS4
• 13 / 20
• France

Si ce SingStar Ultimate Party n'a rien de révolutionnaire et peine sévèrement sur de nombreux points (pourquoi un seul mode de jeu ?), il saura animer sans problème quelques soirées où vous vous risquerez à imiter Pharrel Williams ou Ellie Goulding. Les 30 chansons proposées, toutes en anglais, restent efficaces et sympathiques mais manquent de variété tant du point de vue des époques que des styles. Vous tournerez donc vite en rond ce qui vous obligera à vous diriger promptement vers la boutique en ligne, le SingStore. Plutôt bien fourni, il saura contenter les insatiables même si on peut lui reprocher son caractère indispensable dès que l'on veut prolonger un peu la durée de vie du jeu. La très bonne surprise de cet opus reste avant tout l'application SingStar Mic, qui vous permet de faire de votre smartphone un micro à part entière. Elle est surprenamment bien optimisée et ne perd pas la connexion avec la console. Pour un prix honnête, 30 euros, vous aurez donc en main un party game au titre aguicheur mais de facture très classique.