JV.com

• PS4
• 13 / 20
• France

Si vous pouvez vous passer de la mise à jour des effectifs et des améliorations graphiques de cette version PS4, ce Tour de France 2014 n'est clairement pas un indispensable. Il n'en est pas moins très fun et assez immersif, notamment grâce à la nouvelle gestion des positions aérodynamiques en descente. Reste que le mode Pro Team est décevant et que les nouveautés ne se bousculent pas au portillon. Dans ces conditions, difficile de le conseiller à quelqu'un d'autre qu'au fan absolu de cyclisme et de la Grande Boucle.

• PS3
• 13 / 20
• France

Si vous pouvez vous passer de la mise à jour des effectifs et des améliorations graphiques de cette version PS4, ce Tour de France 2014 n'est clairement pas un indispensable. Il n'en est pas moins très fun et assez immersif, notamment grâce à la nouvelle gestion des positions aérodynamiques en descente. Reste que le mode Pro Team est décevant et que les nouveautés ne se bousculent pas au portillon. Dans ces conditions, difficile de le conseiller à quelqu'un d'autre qu'au fan absolu de cyclisme et de la Grande Boucle.

• X360
• 13 / 20
• France

Si vous pouvez vous passer de la mise à jour des effectifs et des améliorations graphiques de cette version PS4, ce Tour de France 2014 n'est clairement pas un indispensable. Il n'en est pas moins très fun et assez immersif, notamment grâce à la nouvelle gestion des positions aérodynamiques en descente. Reste que le mode Pro Team est décevant et que les nouveautés ne se bousculent pas au portillon. Dans ces conditions, difficile de le conseiller à quelqu'un d'autre qu'au fan absolu de cyclisme et de la Grande Boucle.

• XONE
• 17 / 20
• France

Difficile de faire de vrais gros reproches à ce EA Sports UFC, qui nous a d'ailleurs tous subjugués à la rédaction grâce à ses graphismes exceptionnels. Les combattants sont superbement modélisés, jamais peau virtuelle n'aura paru aussi crédible. Les animations sont sans doute un peu molles et les combattants sont peut-être un peu rigides par moments, mais de manière générale, c'est visuellement très impressionnant. Le titre offre en sus un gameplay complet, très technique et faisant honneur à ce qu'est l'UFC, en n'occultant aucun aspect de ce qu'elle est. Si le jeu manque d'un vrai set d'esquives et de feintes, il propose des combats intenses, pleins de suspense, d'adrénaline et de stress qui raviront les fans de free fight et qui réussiront même à convaincre les novices, pour peu qu'ils apprécient les jeux de baston. On aurait aimé plus de contenus, sans doute, et surtout que les coups aient parfois plus de patate (ohoho). Mais le plaisir de jeu n'en pâtit jamais. Un must-have pour quiconque s’intéresse aux simulations de sport de combat et pour les fans d'UFC, bien entendu.

• PS4
• 17 / 20
• France

Difficile de faire de vrais gros reproches à ce EA Sports UFC, qui nous a d'ailleurs tous subjugués à la rédaction grâce à ses graphismes exceptionnels. Les combattants sont superbement modélisés, jamais peau virtuelle n'aura paru aussi crédible. Les animations sont sans doute un peu molles et les combattants sont peut-être un peu rigides par moments, mais de manière générale, c'est visuellement très impressionnant. Le titre offre en sus un gameplay complet, très technique et faisant honneur à ce qu'est l'UFC, en n'occultant aucun aspect de ce qu'elle est. Si le jeu manque d'un vrai set d'esquives et de feintes, il propose des combats intenses, pleins de suspense, d'adrénaline et de stress qui raviront les fans de free fight et qui réussiront même à convaincre les novices, pour peu qu'ils apprécient les jeux de baston. On aurait aimé plus de contenus, sans doute, et surtout que les coups aient parfois plus de patate (ohoho). Mais le plaisir de jeu n'en pâtit jamais. Un must-have pour quiconque s’intéresse aux simulations de sport de combat et pour les fans d'UFC, bien entendu.

• 3DS
• 16 / 20
• France

Inazuma Eleven Go offre toujours ce mélange de RPG et de foot particulièrement accrocheur grâce à un aspect collection très prononcé. Mais au-delà de cela, c'est son histoire particulièrement bien ficelée qui devrait non seulement ravir les (jeunes) joueurs, mais aussi justifier son acquisition même pour ceux qui ont déjà acheté les précédents épisodes. Que vous optiez pour l'Ombre ou la Lumière, vous devriez en avoir pour votre argent.

• PS3
• 5 / 20
• France

Vous pouvez aisément ranger Dragons 2 avec les jeux qui profitent allègrement d'une licence riche et intéressante pour proposer un soft imparfait à plus d'un titre, qui ne se fend même pas d'un peu d'imagination pour rendre justice à la fertilité de l'univers de son pendant cinématographique. Graphiquement ultra-dépassé, Dragons 2 ne propose aucune activité captivante et l'on progresse en grimaçant sur l'île de Beurk. Avec une redondance des mini-jeux déplaisante et une difficulté placée trop haut pour le public ciblé, Dragons 2 rate le coche de l'adaptation vidéoludique et nous vous recommandons plutôt de vous reporter sur le film.

• X360
• 5 / 20
• France

Vous pouvez aisément ranger Dragons 2 avec les jeux qui profitent allègrement d'une licence riche et intéressante pour proposer un soft imparfait à plus d'un titre, qui ne se fend même pas d'un peu d'imagination pour rendre justice à la fertilité de l'univers de son pendant cinématographique. Graphiquement ultra-dépassé, Dragons 2 ne propose aucune activité captivante et l'on progresse en grimaçant sur l'île de Beurk. Avec une redondance des mini-jeux déplaisante et une difficulté placée trop haut pour le public ciblé, Dragons 2 rate le coche de l'adaptation vidéoludique et nous vous recommandons plutôt de vous reporter sur le film.

• X360
• 5 / 20
• France

On voit mal ce qu'on pourrait sauver de Enemy Front en dehors de son idée de départ, à savoir évoquer l'insurrection de Varsovie, ce qu'il fait mal de toute façon. Entre son gameplay poussif, son IA lamentable et ses problèmes d'affichage physiquement pénibles, le titre devient une véritable purge que l'on a hâte de lâcher. Si vous avez des envies de snipe en pleine Seconde Guerre mondiale, on vous recommande de vous tourner vers le bon vieux Sniper Elite V2 dont Enemy Front n'est qu'une vague ombre.

• PS3
• 5 / 20
• France

On voit mal ce qu'on pourrait sauver de Enemy Front en dehors de son idée de départ, à savoir évoquer l'insurrection de Varsovie, ce qu'il fait mal de toute façon. Entre son gameplay poussif, son IA lamentable et ses problèmes d'affichage physiquement pénibles, le titre devient une véritable purge que l'on a hâte de lâcher. Si vous avez des envies de snipe en pleine Seconde Guerre mondiale, on vous recommande de vous tourner vers le bon vieux Sniper Elite V2 dont Enemy Front n'est qu'une vague ombre.

• PS4
• 14 / 20
• France

Entwined est un titre bien difficile à noter. Son absence de véritable histoire ne laisse que peu de place à l'interprétation et la réflexion, contrairement à d'autres productions du même genre, mais son challenge peu relevé ne permet pas non plus de le classer comme un jeu de réflexe pur dans la lignée d'un Super Hexagon. Il n'est pourtant pas dénué d'intérêt, en témoignent sa direction artistique plaisante, sa bande-son de très bonne qualité et son gameplay facile à cerner, suffisants pour vous inciter à continuer l'aventure une fois la manette dans les mains. Si vous jouez sur consoles Sony et cherchez un titre facile d'accès à l'ambiance originale, nul doute que l'expérience proposée par Entwined saura vous séduire. Sinon, il y a fort à parier que ce titre vous laissera de marbre.

• 3DS
• 15 / 20
• France

Qu'il est difficile de noter Tomodachi Life ! Sur le plan purement vidéoludique, il faut avouer qu'il s'agit d'un titre limité ne comprenant que quelques mini-jeux pas bien intéressants. Cela dit, il est extrêmement plaisant de regarder ses Miis évoluer dans ce monde aussi imprévisible que drôle, et rythmé par de nombreux événements spéciaux. Il devient donc rapidement indispensable de se connecter chaque jour afin d'étudier les frasques de ses amis, avec quelques belles surprises à la clef. Bref, Tomodachi réussit là où on l'attend en se montrant aussi original qu'addictif.

• PS4
• 11 / 20
• France

Un beau gâchis. Pétri de bonnes idées, Murdered : Soul Suspect était très séduisant sur le papier. Mener l'enquête sur votre propre meurtre en incarnant un spectre nous promettait des enquêtes haletantes nimbées de mystère. Malheureusement, en raison d'une écriture blindée de clichés, d'enquêtes qui ne se résument qu'à des mini-jeux d'objets cachés et d'un cruel manque de finition, le jeu peine à remporter l'adhésion. Ne reste que l'interaction entre Joy et Ronan, la qualité de certaines quêtes annexes et l'atmosphère globale qui se dégage du jeu pour sauver l'intérêt d'une aventure qui ne prend corps qu'une fois les premières heures de jeu écoulées et qui laisse à son terme un amer goût de frustration.

• XONE
• 11 / 20
• France

Un beau gâchis. Pétri de bonnes idées, Murdered : Soul Suspect était très séduisant sur le papier. Mener l'enquête sur votre propre meurtre en incarnant un spectre nous promettait des enquêtes haletantes nimbées de mystère. Malheureusement, en raison d'une écriture blindée de clichés, d'enquêtes qui ne se résument qu'à des mini-jeux d'objets cachés et d'un cruel manque de finition, le jeu peine à remporter l'adhésion. Ne reste que l'interaction entre Joy et Ronan, la qualité de certaines quêtes annexes et l'atmosphère globale qui se dégage du jeu pour sauver l'intérêt d'une aventure qui ne prend corps qu'une fois les premières heures de jeu écoulées et qui laisse à son terme un amer goût de frustration.

• PC
• 11 / 20
• France

Un beau gâchis. Pétri de bonnes idées, Murdered : Soul Suspect était très séduisant sur le papier. Mener l'enquête sur votre propre meurtre en incarnant un spectre nous promettait des enquêtes haletantes nimbées de mystère. Malheureusement, en raison d'une écriture blindée de clichés, d'enquêtes qui ne se résument qu'à des mini-jeux d'objets cachés et d'un cruel manque de finition, le jeu peine à remporter l'adhésion. Ne reste que l'interaction entre Joy et Ronan, la qualité de certaines quêtes annexes et l'atmosphère globale qui se dégage du jeu pour sauver l'intérêt d'une aventure qui ne prend corps qu'une fois les premières heures de jeu écoulées et qui laisse à son terme un amer goût de frustration.

• X360
• 11 / 20
• France

Un beau gâchis. Pétri de bonnes idées, Murdered : Soul Suspect était très séduisant sur le papier. Mener l'enquête sur votre propre meurtre en incarnant un spectre nous promettait des enquêtes haletantes nimbées de mystère. Malheureusement, en raison d'une écriture blindée de clichés, d'enquêtes qui ne se résument qu'à des mini-jeux d'objets cachés et d'un cruel manque de finition, le jeu peine à remporter l'adhésion. Ne reste que l'interaction entre Joy et Ronan, la qualité de certaines quêtes annexes et l'atmosphère globale qui se dégage du jeu pour sauver l'intérêt d'une aventure qui ne prend corps qu'une fois les premières heures de jeu écoulées et qui laisse à son terme un amer goût de frustration.

• PS3
• 11 / 20
• France

Un beau gâchis. Pétri de bonnes idées, Murdered : Soul Suspect était très séduisant sur le papier. Mener l'enquête sur votre propre meurtre en incarnant un spectre nous promettait des enquêtes haletantes nimbées de mystère. Malheureusement, en raison d'une écriture blindée de clichés, d'enquêtes qui ne se résument qu'à des mini-jeux d'objets cachés et d'un cruel manque de finition, le jeu peine à remporter l'adhésion. Ne reste que l'interaction entre Joy et Ronan, la qualité de certaines quêtes annexes et l'atmosphère globale qui se dégage du jeu pour sauver l'intérêt d'une aventure qui ne prend corps qu'une fois les premières heures de jeu écoulées et qui laisse à son terme un amer goût de frustration.

• PC
• 15 / 20
• France

Aux antipodes des standards associés aux AAA sur bien des aspects, Lifeless Planet peut se réclamer de la convention la plus noble et la plus ancienne des règles de l'art : Afficher la volonté résolue de dévier de la norme dominante. Assurément, le jeu de Stage 2 Studios n'est pas dénué de défauts mais se distingue de fort belle manière en entretenant la curiosité du joueur tout au long de l'aventure, travail d'orfèvre faisant cruellement défaut au champ de création ambiant, au-delà de l'univers du jeu vidéo et de la composante strictement technique.