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• 3DS
• 15 / 20
• France

Soyons honnêtes, on pouvait craindre que Pokémon : Link Battle ! copie simplement la recette du puzzle-game en y ajoutant des Pokémon pour décor. Il n'en est finalement rien pour ce titre qui constitue une bonne surprise. Le mélange entre système de combat et puzzle-game s'avère être particulièrement réussi, addictif et devrait facilement vous accrocher devant votre écran pendant de nombreuses heures. Mais l'absence totale de scénario reste dommageable, surtout quand on sait que l'épisode précédent avait fait un effort de ce côté-là. Quant à l'absence de véritable mode online, elle risque de décevoir les joueurs, qui devront se contenter d'un multijoueur avec leurs amis. Reste l'aspect collectionneur typique de la série qui est toujours bien présent ici, un soupçon de tactique intelligemment dosé, et un prix raisonnable à moins de 8 € pour un jeu 3DS qui saura trouver son public auprès des amateurs de puzzle-games ainsi que des passionnés de l'univers Pokémon.

• VITA
• 18 / 20
• France

Sans être révolutionnaire, Hatsune Miku Project Diva f marque une étape importante pour la série de Sega. Les fans pourront se réjouir avec ce jeu, offrant un gameplay complètement addictif qui rend le jeu difficile à lâcher, avec des musiques très variées et ses autres contenus proposés à savoir le Diva Room, l'Edit Mode et l'AR. Il faut noter aussi le soin que Sega a apporté en termes de développement, du niveau des qualités proposées par Gravity Rush, Uncharted ou bien WipeOut. Ce jeu démontre également que même un jeu de niche (oui, ça reste un jeu de niche) peut offrir des grosses surprises et peut, pourquoi pas, être l'un des jeux triple A de la PlayStation Vita. Si vous voulez un jeu de rythme complet sur une console portable de Sony, et que vous êtes un fan de J-pop et de Vocaloid, ce jeu est vraiment fait pour vous.

• PC
• 16 / 20
• France

HearthStone n'invente rien et ne bouleverse absolument pas le monde des jeux de cartes à collectionner virtuels. Pourtant, avec son gameplay à la fois accessible, efficace, technique et addictif et son univers qui raviront les fans de Warcraft, le titre parvient à convaincre sans difficulté et s'impose comme une des références du genre. Il serait donc dommage de passer à côté de cet excellent free-to-play en perpétuelle évolution.

• PS3
• 17 / 20
• France

Dark Souls 2 est peut-être un peu moins inspiré, moins original que ses grands frères, mais d'un autre côté il est aussi plus maîtrisé, plus propre, finalement mieux rodé que ces derniers. Si les action-RPG exigeants sont votre tasse de thé, si vous aimez les expériences multijoueurs qui sortent du lot et si vous trouvez que les jeux vidéo assistés finissent par détruire le plaisir de jeu, Dark Souls 2 est vraiment fait pour vous. Bien sûr, vous risquez de glisser quelques jurons lorsque trois misérables petits cochons vous feront la peau alors que vous pensiez pouvoir relâcher votre attention, mais c'est le prix à payer pour connaître les moments d'euphorie intense procurés par le dépassement de soi auquel vous invite cette aventure.

• X360
• 17 / 20
• France

Dark Souls 2 est peut-être un peu moins inspiré, moins original que ses grands frères, mais d'un autre côté il est aussi plus maîtrisé, plus propre, finalement mieux rodé que ces derniers. Si les action-RPG exigeants sont votre tasse de thé, si vous aimez les expériences multijoueurs qui sortent du lot et si vous trouvez que les jeux vidéo assistés finissent par détruire le plaisir de jeu, Dark Souls 2 est vraiment fait pour vous. Bien sûr, vous risquez de glisser quelques jurons lorsque trois misérables petits cochons vous feront la peau alors que vous pensiez pouvoir relâcher votre attention, mais c'est le prix à payer pour connaître les moments d'euphorie intense procurés par le dépassement de soi auquel vous invite cette aventure.

• PC
• 12 / 20
• France

1954 : Alcatraz exhale un vrai parfum de déception. Sa difficulté inexistante, sa réalisation datée ou la lourdeur des déplacements des personnages ne permettront pas au titre de tirer son épingle du jeu dans l'univers confiné des point'n click. Un fait d'autant plus regrettable que les bonnes idées, elles, sont bien là. Avec son atmosphère immersive à souhait, son propos mature, son écriture de qualité et sa bande-son impeccable, 1954 : Alcatraz avait tout pour séduire, il est donc franchement dommage que l'ensemble soit desservi par des mécaniques de jeu manifestement mal maîtrisées.

• PC
• 17 / 20
• France

On pourrait croire qu'on finirait par souffrir d'une indigestion de pixels et pourtant le look rétro de TowerFall Ascension n'est en rien un frein au plaisir. Loin d'être une simple concession à un effet de mode, il s'agit là d'un choix qui est parfaitement en accord avec le gameplay aussi intuitif qu'exigeant du titre. Autant vous prévenir, le jeu ne vaut vraiment le coup que lorsque l'on a des amis sous la main qui partagent la même passion que vous pour les affrontements à l'arc.

• PS4
• 17 / 20
• France

On pourrait croire qu'on finirait par souffrir d'une indigestion de pixels et pourtant le look rétro de TowerFall Ascension n'est en rien un frein au plaisir. Loin d'être une simple concession à un effet de mode, il s'agit là d'un choix qui est parfaitement en accord avec le gameplay aussi intuitif qu'exigeant du titre. Autant vous prévenir, le jeu ne vaut vraiment le coup que lorsque l'on a des amis sous la main qui partagent la même passion que vous pour les affrontements à l'arc.

• PS3
• 16 / 20
• France

Déjà insérée dans le paysage vidéoludique depuis des années, la série des Atelier continue son évolution. Si certains épisodes ne prenaient pas vraiment de risque, les éléments apportés par Atelier Escha & Logy rendent l'aventure plus structurée, avec une véritable impression d'avancée et un rythme sans doute plus soutenu qui varie mieux alchimie et phase d'exploration. Si les nombreux dialogues ne toucheront pas de la même façon tous les publics, nous sommes devant un titre qui mélange soigneusement crafting, visual novel et RPG au tour par tour pour une aventure qui vaut la peine d'être vécue.

• PS3
• 18 / 20
• France

South Park : Le Bâton de la Vérité n'est pas un excellent RPG au sens littéral. Il est en revanche à ce jour le meilleur jeu inspiré de l'univers de Parker et Stone. Avec sa réalisation impeccable qui ne s'écarte jamais de l'essence de la série, avec ses références innombrables, grâce son écriture soignée qui rend parfaitement justice à l'impertinence de South Park mais aussi en raison de son gameplay plus diversifié qu'il n'en a l'air, on peut affirmer que les fans de la série ont enfin le jeu qu'ils attendaient depuis des lustres. Les personnes indifférentes à l'animé se priveront d'une bonne partie du plaisir et risquent de ne s'attarder que sur le manque global de finition ou la trop grande facilité du titre. On les comprendra aisément. Pour les autres, il serait tout simplement criminel de passer à côté du Bâton de la Vérité. Et si les scènes censurées font un peu tache, cela ne ternit en rien le plaisir que procure le jeu.

• PC
• 18 / 20
• France

South Park : Le Bâton de la Vérité n'est pas un excellent RPG au sens littéral. Il est en revanche à ce jour le meilleur jeu inspiré de l'univers de Parker et Stone. Avec sa réalisation impeccable qui ne s'écarte jamais de l'essence de la série, avec ses références innombrables, grâce son écriture soignée qui rend parfaitement justice à l'impertinence de South Park mais aussi en raison de son gameplay plus diversifié qu'il n'en a l'air, on peut affirmer que les fans de la série ont enfin le jeu qu'ils attendaient depuis des lustres. Les personnes indifférentes à l'animé se priveront d'une bonne partie du plaisir et risquent de ne s'attarder que sur le manque global de finition, les errances de maniabilité ou la trop grande facilité du titre. On les comprendra aisément. Pour les autres, il serait tout simplement criminel de passer à côté du Bâton de la Vérité.

• X360
• SWITCH
• 18 / 20
• France

South Park : Le Bâton de la Vérité n'est pas un excellent RPG au sens littéral. Il est en revanche à ce jour le meilleur jeu inspiré de l'univers de Parker et Stone. Avec sa réalisation impeccable qui ne s'écarte jamais de l'essence de la série, avec ses références innombrables, grâce son écriture soignée qui rend parfaitement justice à l'impertinence de South Park mais aussi en raison de son gameplay plus diversifié qu'il n'en a l'air, on peut affirmer que les fans de la série ont enfin le jeu qu'ils attendaient depuis des lustres. Les personnes indifférentes à l'animé se priveront d'une bonne partie du plaisir et risquent de ne s'attarder que sur le manque global de finition ou la trop grande facilité du titre. On les comprendra aisément. Pour les autres, il serait tout simplement criminel de passer à côté du Bâton de la Vérité. Et si les scènes censurées font un peu tache, cela ne ternit en rien le plaisir que procure le jeu.

• PC
• 17 / 20
• France

Sur la base d'un matériel original et particulièrement intrigant, le méconnu folklore scandinave, Simogo signe une production forte d'une ambiance pesante et mystérieuse ponctuée d'énigmes bien pensées et de symboles au sens caché. Un petit voyage en solitaire étonnant qui en plus enrichira votre culture générale. Tout ça pour 5 euros.

• PC
• 17 / 20
• France

Une très bonne surprise injustement restée dans l'ombre, voilà ce qu'il faut retenir de Tower of Guns. Aussi sympa à parcourir qu'à regarder, il évite de tomber dans le piège dont font les frais la plupart des Rogue-like en offrant une courbe d’apprentissage fort bien équilibrée et une véritable sensation de progression. Une sucrerie vidéoludique au goût de reviens-y dont on peut abuser sans craindre l'indigestion et à un prix tout doux pour le plaisir procuré. Jackpot !

• X360
• 16 / 20
• France

Le plus gros problème de ce Castlevania - Lords of Shadow 2 étant la comparaison avec le premier volet, on évitera de trop y repenser pour se concentrer sur les qualités de cette suite. Alors certes, on devra passer outre quelques choix esthétiques douteux, une utilisation abusive de certaines séquences, des soucis de caméra et un système de téléportation loupé mais si vous y parvenez, vous aurez entre les mains un jeu inégal, parfois trop ambitieux mais au cachet indéniable recelant quantité de passages marquants. Pour une poignée d'euros, il serait donc dommage de passer à côté de cette conclusion qui sans être définitive saura vous retenir de nombreuses heures durant.

• PS3
• 16 / 20
• France

Le plus gros problème de ce Castlevania - Lords of Shadow 2 étant la comparaison avec le premier volet, on évitera de trop y repenser pour se concentrer sur les qualités de cette suite. Alors certes, on devra passer outre quelques choix esthétiques douteux, une utilisation abusive de certaines séquences, des soucis de caméra et un système de téléportation loupé mais si vous y parvenez, vous aurez entre les mains un jeu inégal, parfois trop ambitieux mais au cachet indéniable recelant quantité de passages marquants. Pour une poignée d'euros, il serait donc dommage de passer à côté de cette conclusion qui sans être définitive saura vous retenir de nombreuses heures durant.

• XONE
• 10 / 20
• France

Il est facile de conclure en osant balancer que Thief n'est plus que l'ombre de lui-même. D'une telle licence, on attendait beaucoup, à commencer par un environnement ouvert offrant moult chemins possibles aux voleurs avisés. Las, ce reboot du roi de l’infiltration se paie un level design d'un dirigisme absolu, bardé de murs invisibles, et une architecture de la ville et de certaines missions qui leur font perdre toute vraisemblance. Le tout associé à une réalisation passable manquant de finition et à un hub central qui donne des cauchemars. On garde toutefois en tête quelques séquences plutôt sympas, qui permettent au jeu de taper la note moyenne, de justesse.

• PS4
• 10 / 20
• France

Il est facile de conclure en osant balancer que Thief n'est plus que l'ombre de lui-même. D'une telle licence, on attendait beaucoup, à commencer par un environnement ouvert offrant moult chemins possibles aux voleurs avisés. Las, ce reboot du roi de l’infiltration se paie un level design d'un dirigisme absolu, bardé de murs invisibles, et une architecture de la ville et de certaines missions qui leur font perdre toute vraisemblance. Le tout associé à une réalisation passable manquant de finition et à un hub central qui donne des cauchemars. On garde toutefois en tête quelques séquences plutôt sympas, qui permettent au jeu de taper la note moyenne, de justesse.