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• PSP
• 13 / 20
• France

Un peu moins jolie et clairement moins maniable que sur d'autres supports, cette version PSP a suffisamment de marge pour s'imposer comme un jeu de catch attrayant pour quiconque y voue une attention particulière. Le Wireless à 4 fait partie des atouts qui légitiment un investissement. Mais encore une fois, il faut être vraiment fan.

• PS2
• 5 / 20
• France

Aqua Teen Hunger Force Zombie Ninja Pro-Am est un jeu qui risque d'avoir du mal à trouver son public. L'humour transgressif de ses scènes animées souffre d'une comparaison peu flatteuse avec son gameplay classique et ennuyeux. Bien trop sage dans son concept, il n'est pas le titre décalé et décadent que l'on était en droit d'attendre.

• WII
• 7 / 20
• France

Ce n'est pas avec Dragon Blade : Wrath of Fire qu'on pourra profiter d'un bon beat'em all sur Wii. Le gameplay basé sur le maniement de la Wiimote n'est plus vraiment original et les possibilités d'action sont trop limitées pour permettre au joueur de s'amuser. Aussi lassant qu'exaspérant, ce titre n'apporte rien à sa catégorie et accumule même tous les défauts du genre.

• X360
• 10 / 20
• France

Après un premier épisode convenable qui intégrait quelques éléments de RPG, les développeurs de ce second opus ont finalement choisi la voie de la facilité. Avatar : le Royaume De La Terre Du Feu se révèle donc être un très petit beat'em all, assez plat et simpliste. On regrettera notamment que la coopération entre les personnages n'ait pas été mieux exploitée et que les combats soient si pauvres. Les fans et les chasseurs de succès y trouveront peut-être leur compte, mais les autres passeront leur chemin sans le moindre regret.

• PC
• 18 / 20
• France

• PS3
• 18 / 20
• France

Avant de rédiger l'article, je m'étais mis en tête de faire tomber un point sur la note finale pour sanctionner quelques défauts dont certains sont, il faut l'admettre, passablement agaçants. Un peu trop répétitif dans son déroulement, pourvus d'une carte peu lisible, offrant quelques enquêtes énervantes ou une IA parfois un poil trop irascible, Assassin's Creed n'est pas parfait. Mais il est comme un gosse trop mignon qu'on n'arrive pas à gronder quand il met de la confiture plein notre chemise blanche toute propre. Magnifique, épique, immersif, prenant, ce premier volet d'une nouvelle franchise a bien trop de qualités et de caractère pour qu'on ait le courage de le punir. Et puis bon, 17 ou 18 hein, franchement, on va pas en faire une pendule non plus, c'est un hit et puis basta.

• PSP
• 16 / 20
• France

Le sentiment qui voulait que Silent Hill perde littéralement son âme en arrivant sur portables était bien légitime. Pourtant Climax prouve avec brio que quel que soit le support, c'est bel et bien le talent des développeurs qui fait la différence. Ainsi donc, Silent Hill Origins est, contre toute attente, une pièce maîtresse de la saga. Original sur certains points, déstabilisant par moments à cause d'une orientation action un peu hors propos mais entretenant des liens de parenté avec le premier et troisième opus, ce voyage dans le passé devra néanmoins se faire à l'abri des regards indiscrets, la nuit, afin que la magie opère pleinement. Est-ce à dire qu'on peut s'attendre à un nouvel éveil de Silent Hill venant de l'Occident ? Seul Silent Hill V confirmera ou infirmera mais ceci est une autre histoire... Macabre bien entendu.

• X360
• 18 / 20
• France

Avant de rédiger l'article, je m'étais mis en tête de faire tomber un point sur la note finale pour sanctionner quelques défauts dont certains sont, il faut l'admettre, passablement agaçants. Un peu trop répétitif dans son déroulement, pourvus d'une carte peu lisible, offrant quelques enquêtes énervantes ou une IA parfois un poil trop irascible, Assassin's Creed n'est pas parfait. Mais il est comme un gosse trop mignon qu'on n'arrive pas à gronder quand il met de la confiture plein notre chemise blanche toute propre. Magnifique, épique, immersif, prenant, ce premier volet d'une nouvelle franchise a bien trop de qualités et de caractère pour qu'on ait le courage de le punir. Et puis bon, 17 ou 18 hein, franchement, on va pas en faire une pendule non plus, c'est un hit et puis basta.

• PC
• 11 / 20
• France

Pas mauvais, mais pas un Sim City, voilà comment résumer Sim City Sociétés. S'il ne tentait pas de porter un héritage trop lourd avec ce nom, il passerait pour un sympathique city-builder accessible, à réserver aux plus jeunes ou aux bourgmestres débutants. Mais en voulant absolument s'inscrire comme successeur de la saga de Maxis, il s'expose forcément aux comparaisons, et par la même aux déceptions.

• X360
• 9 / 20
• France

Le Légende De Beowulf n'est pas près de rentrer dans la légende (de même que cette conclusion). Si Ubisoft a tout misé sur la violence, inhérente au personnage, un monceau de problèmes liés à la progression font qu'on aura tôt fait de garder nos 70 euros histoire d'aller voir le long-métrage de Zemeckis ou d'acheter la Betamax du film avec notre cricri Lambert national.

• PC
• 8 / 20
• France

Le Légende De Beowulf n'est pas près de rentrer dans la légende (de même que cette conclusion). Si Ubisoft a tout misé sur la violence, inhérente au personnage, un monceau de problèmes liés à la progression font qu'on aura tôt fait de garder nos 70 euros histoire d'aller voir le long-métrage de Zemeckis ou d'acheter la Betamax du film avec notre cricri Lambert national.

• DS
• 14 / 20
• France

Orcs & Elves est un soft qui s'adresse principalement aux nostalgiques des RPG old-school à l'occidentale. Le concept rebutera sans doute la plupart des joueurs actuels mais les autres ne pourront pas décrocher de ce titre avant d'en avoir vu la fin. Avec son atmosphère caractéristique de l'univers médiéval fantastique et sa narration qui rappelle les livres dont vous êtes le héros et les jeux de rôle papier, Orcs & Elves ressuscite une époque que l'on croyait à jamais disparue.

• DS
• 9 / 20
• France

Partant d'une idée pour le moins originale, Tous Ambidextres ! n'est pas à proprement parler le jeu qu'on ressortira histoire de s'amuser tout en ayant l'impression de devenir plus intelligent. On attendra donc avec impatience les prochains volets que sont Tous fans de Julie Lescaut !, Tous vendeurs de Casu Marzu !, Tous sur PSP ! et aussi le moins attendu de tous : Tous rédacteurs à Jeuxvideo.com !

• DS
• 12 / 20
• France

En évitant les erreurs de Léa, Zoé Créatrice de Mode offre un bon divertissement pour les joueurs qui aiment les jeux de précision. Agréable à utiliser, la cartouche affiche tout de même quelques défauts tels qu'un nombre d'outils de couture assez restreint et un niveau de difficulté un peu trop bas.

• DS
• 12 / 20
• France

Catz 2 est la solution idéale pour qui veut adopter un chat sans risquer d'attraper la Toxoplasmose. Plus sérieusement, malgré ses défauts, le jeu montre une réelle évolution depuis le premier volet et prouve qu'il est possible de s'amuser avec un chat virtuel.

• DS
• 7 / 20
• France

On aurait bien aimé le défendre un peu plus, ce premier jeu d'un jeune studio français. Mais en l'absence d'intérêt intrinsèque, Fan Attack déçoit. L'indigence du gameplay n'est sauvée ni par l'humour transgressif des situations, ni par l'excellente bande-son. Devant un tel gâchis, ne réfléchissez même pas : fuyez !

• PS2
• 7 / 20
• France

Dogz s'aventure hors des sentiers battus pour proposer une aventure inédite bien loin des jeux de gestion auxquels nous avait habitués Ubisoft jusqu'à présent. Malheureusement, l'éditeur peine toujours autant à convaincre tant son titre manque de punch et d'originalité. Largement dépassée en termes techniques, cette pâle production mise tout sur sa jaquette pour appâter le consommateur vers un univers maintes et maintes fois revu. A réserver uniquement aux amoureux des boules de poils et encore...

• PS2
• 7 / 20
• France

Catz s'aventure hors des sentiers battus pour proposer une aventure inédite bien loin des jeux de gestion auxquels nous avait habitués Ubisoft jusqu'à présent. Malheureusement, l'éditeur peine toujours autant à convaincre tant son titre manque de punch et d'originalité. Largement dépassée en termes techniques, cette pâle production mise tout sur sa jaquette pour appâter le consommateur vers un univers maintes et maintes fois revu. A réserver uniquement aux amoureux des boules de poils et encore...