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• PS3
• 13 / 20
• France

Par certains aspects classiques de sa mise en scène, Airborne séduira les gros mordus de la série, mais même eux devront constater ces failles qui s'articulent autour de mécaniques de jeu vieillissantes, d'une I.A. résolument accablante et d'un moteur 3D correct mais qui ne daigne même pas être secondé par un poil de physique. Et on ne reviendra pas sur sa durée de vie rikiki. Distrayant, mais d'un autre âge, Medal Of Honor a du mal à justifier son prix.

• WII
• 14 / 20
• France

Les jeux d’action/infiltration ne sont pas vraiment légion sur Megadrive et celui-ci propose une expérience honorable. A première vue repoussant à cause de graphismes déjà pas très folichons à l’époque, on se rendra compte au fil du jeu que le gameplay est bien plus profond qu’il n’y paraît et demande un temps d’apprentissage pour être maîtrisé à fond. Vous pouvez enfiler vos tenues moulantes, le Monde a besoin de vous !

• WII
• 18 / 20
• France

Digne successeur des deux précédents volets, Sonic 3 ne souffre que d’une durée de vie moyenne imputable à SEGA qui a pris trop de temps à développer ce jeu (ou qui a préféré se faire de l’argent sur deux jeux plutôt que sur un seul …). Quasi-irréprochable sur tous les autres points. Passer à côté aurait été (et serait encore aujourd’hui) une erreur !

• WII
• 17 / 20
• France

Shining in the Darkness est un très bon jeu, aussi charismatique et plaisant que le seront ses successeurs de la série des Shining. Ses quelques rares défauts sont intimement liés au genre dungeon-RPG qu’il représente malgré tout avec honneur. Du tout bon, donc, pour un titre malheureusement assez peu connu du grand public qui mériterait au moins autant d’égard que ses illustres successeurs.

• DS
• 9 / 20
• France

Cats Academy est clairement handicapé par son manque d'options. Même si la cartouche propose un grand nombre de races et d'objets à acheter, on reste très déçu par les interactions avec les chats qui montrent rapidement leurs limites. Ce qui n'est pas forcément la faute du jeu, mais plutôt de l'animal choisi qui ne se prête peut-être pas à cet exercice. Quoi qu'il en soit, Cats Academy se place comme une piètre alternative à Nintendogs qui peut donc encore dormir sur ses deux oreilles.

• PC
• 14 / 20
• France

Un add-on tous les six mois (plus les différents kits), ça commence à faire, sans compter qu'une fois sur deux Maxi reprend le thème d'une extension des Sims premier du nom. A ce rythme nous sommes visiblement partis jusqu'en 2009, alors si vous commencez à être lassé des aventures de vos avatars virtuels, ce n'est pas sûr que cet opus vous redonne la foi. Une fois de plus il s'adresse aux fans, aux puristes, bref aux inconditionnels. Les autres attendront peut-être MySims, voire même les Sims 3 pour les plus patients.

• PSP
• 13 / 20
• France

Beaucoup moins indispensable que les volets principaux de la série de Namco, ce Tales of the World reste dans les limites du Dungeon-RPG et accuse donc une linéarité qui pourra lasser rapidement ceux qui s'attendraient à du RPG classique. Le fait que le soft propose un cross-over entre les héros les plus marquants de la saga est un atout intéressant, mais il ne suffit pas à compenser le manque d'attrait de l'aventure dans son ensemble.

• X360
• 12 / 20
• France

Sortir une suite avec les mêmes défauts et qualités que le jeu original, ça marche si la balance s'équilibrait à peu près au départ, ce qui n'était pas le cas de Blazing Angels. Du coup, ce Secret Missions Of WWII fait plus figure d'add-on de luxe et sans surprise que de suite supposée pousser le concept plus loin. Si vous avez pu passer outre les défauts du grand frère, vous pouvez toujours tenter votre chance avec le cadet de la fratrie qui a cru bon de se pourrir son verrouillage de caméra. Les autres, puisque vous n'avez rien de mieux à faire, allez donc à la pharmacie et ramenez-moi des chewing-gums à la nicotine. Allez, plus vite que ça !

• PC
• 6 / 20
• France

Graphiquement dépassé, répétitif et ennuyeux, Red Ocean n'a rien pour plaire ! Les niveaux se suivent et se ressemblent sans jamais proposer de challenge intéressant. Un FPS à oublier rapidement au profit des nombreuses valeurs sûres du moment.

• DS
• 7 / 20
• France

Konami avait toutes les cartes en main pour assurer un jeu à la hauteur de son sujet. Mais les règles confuses (qui reprennent celles du vrai jeu de cartes) et la jouabilité totalement à l'ouest suffisent pour dégoûter les joueurs. Je demande une minute de silence pour le pauvre gamin à qui la grand-mère vient d'acheter la cartouche après avoir vu Spider-Man sur la jaquette.

• PS2
• 17 / 20
• France

Attendu de longue date, Rogue Galaxy nous aura fait languir terriblement mais nous lui pardonnons d'autant plus facilement qu'il l'a fait pour nous offrir une version optimisée au maximum. Le jeu correspond donc ni plus ni moins à la version Director's Cut japonaise, avec en plus la traduction intégrale en français. Le soft étant sans aucun doute l'un des RPG les plus plaisants qui soient sur PS2, il n'y a vraiment aucune raison de bouder sa sortie et de ne pas en faire votre priorité.

• PC
• 14 / 20
• France

Un bon point & click à l'ancienne dans un bon espace-temps rétro, voici ce qui définit le mieux Blackwell Unbound. Pour peu que vous vous laissiez séduire par l'ambiance et le scénario sans doute inspiré des histoires mystérieuses parsemant le milieu du jazz (la première enquête rappellera aux connaisseurs la mort non élucidée du saxophoniste Albert Ayler), vous passerez un très bon moment et repartirez les yeux brillants et la tête pleine de questions vers la suite de la série.

• PS2
• 8 / 20
• France

Sega aura bien du mal à imposer ses productions nippones au public européen. A ce stade-là, on attend beaucoup plus d'un jeu PS2, aussi bien en terme de contenu que de niveau technique. C'est un nouveau pari manqué même si le jeu apporte un peu de fraîcheur dans les un-contre-un qu'il propose. C'est loin d'être suffisant.

• DS
• 14 / 20
• France

Riche et complet, voici les premiers mots qui viennent à l'esprit pour décrire Race Driver : Create and Race. Alors si vous êtes prêt à pardonner les quelques sacrifices concédés sur l'autel de la portabilité, que ce soit au niveau du gameplay ou de la technique, vous en aurez assurément pour votre argent.

• DS
• 16 / 20
• France

• X360
• 16 / 20
• France

La série Stuntman est sans conteste passée entre de bonnes mains. Si le principe ne diffère pas fondamentalement du premier volet, tout a été revu et corrigé pour que l'on note une progression à tous les niveaux. Plus accessible, plus complet, plus coloré, ouvert au multijoueur, il s'impose comme une vraie bonne surprise cette année. Dommage en revanche qu'on ne puisse s'essayer qu'à six films.

• PC
• 19 / 20
• France

Il est vrai que l'IA n'est pas au top du top, il est vrai que si on court bêtement la durée de vie chute, que le système de résurrection est un peu trop laxiste, il est blablabla... Quelques arguments qui ne valent que si on s'obstine à comparer Bioshock aux autres FPS en lui refusant le fait que, à l'image de son ancêtre System Shock, il vaut pour lui seul. Alors au diable les critères idiots, froids et objectifs, Bioshock est envoûtant, une pièce d'art qui se savoure non seulement comme un excellent jeu mais même comme un excellent bouquin narrant la déchéance d'une utopie. Et ça, c'est encore trop rare.

• PC
• 16 / 20
• France

Eye Of The North est une extension longue, prenante, distillant un contenu riche et varié au fil de la progression du joueur. De quoi renouveler une dernière fois l'expérience Guild Wars, et de belle manière. Evidemment tout n'est pas parfait, on était par exemple en droit d'attendre de nouvelles classes de personnages. Mais GWEN reste une réussite, qui comblera les joueurs ayant déjà atteint un haut niveau et fait le tour des précédents opus.