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• XBOX
• 6 / 20
• France

Mal fichu et d'une pauvreté ludique et technique pour tout dire ridicule, ce Superman Returns troque la promesse du spectacle pour un gâchis considérable. Il y a un signe malheureux qui ne trompe pas quand on prend en main un jeu. Cette situation où vous ne cherchez plus à creuser un peu la substance du gameplay, où vous vous contentez de refaire les mêmes gestes encore et encore pour aller au plus direct, pour en finir. Le titre d'EA produit ce résultat à l'infini.

• X360
• 6 / 20
• France

Mal fichu et d'une pauvreté ludique et technique pour tout dire ridicule, ce Superman Returns troque la promesse du spectacle pour un gâchis considérable. Il y a un signe malheureux qui ne trompe pas quand on prend en main un jeu. Cette situation où vous ne cherchez plus à creuser un peu la substance du gameplay, où vous vous contentez de refaire les mêmes gestes encore et encore pour aller au plus direct, pour en finir. Le titre d'EA produit ce résultat à l'infini.

• PSP
• 12 / 20
• France

Tout comme ses aïeuls, Brothers In Arms : D-Day privilégie l'approche tactique à celle plus frontale de Medal Of Honor : Heroes. Dommage que le gameplay ne suive pas complètement et qu'il soit parfois si fastidieux de mener à bien une mission en mettant au point une stratégie a priori efficace. Enfin, tout comme son concurrent direct, la durée de vie du jeu est des plus limitées.

• GBA
• 6 / 20
• France

Développé dans un souci de simplicité extrême, Georges le Petit Curieux sur GBA n'est pas plus évolué que les premiers jeux de plates-formes que l'on découvrait à l'époque des NES et autres Master System. Un peu plus d'originalité dans la conception aurait peut-être permis à ce titre d'éviter la catastrophe.

• DS
• 9 / 20
• France

Quelle joie de retrouver l'univers de Myst ! Malgré les années qui ont passé, le fond du jeu reste toujours aussi envoûtant. Mais on déchante vite devant la forme bâclée qui gâche tout le plaisir. Dommage, Myst ne méritait pas ça.

• PS2
• 18 / 20
• France

Mélangez un gameplay rapide et jouissif, un casting attachant, un système de progression ingénieux, une histoire prenante, des musiques de combat épiques et une réalisation artistique magistrale, et vous obtenez le remake de Tales of Destiny. Remake qui, au final, n'a presque plus rien à voir – mis à part l'histoire conservée – avec son original. Tales of Destiny est considéré comme l'un des meilleurs de la série auprès des fans, et ce n'est pas pour rien.Une excellente pioche, donc, et clairement l'un des meilleur J-RPG de la PlayStation 2.

• PS2
• 12 / 20
• France

Avec Legends, Sony nous propose un Singstar de plus qui n'a pour lui que ses trente nouveaux morceaux. Pas de nouveaux modes de jeu, pas d'évolution au niveau de la reconnaissance du ton, du timbre et du rythme de la voix, bref, rien de bien neuf sous le soleil. Comme d'habitude, on vous conseillera donc d'acheter uniquement si vous appréciez les titres de la tracklist.

• X360
• 8 / 20
• France

• PS2
• 11 / 20
• France

• PC
• 4 / 20
• France

Un bien détestable nanar, voilà ce que nous a pondu McGee. Même pas irrévérencieux, hola non, surtout pas. Dans Bad Day L.A. vous aidez de sombres ahuris à s'en sortir, vous interceptez les pillards et luttez contre la pègre terroriste, interrompue par des fuses d'humour minables, que l'on nettoiera vite fait avec n'importe quel South Park. Le rythme est morne, la liberté nulle, la prise en main vétuste. L'ensemble, buggé et techniquement régressif, tient du bricolage vite fait mal fait. Si c'est Enlight qui doit apporter maturité et vitriol dans la culture vidéoludique, pitié, laissez-moi au moins ma Super Nes.

• X360
• 15 / 20
• France

Opérant des progrès significatifs au niveau de l'utilisation de l'interface, Football Manager 2007 se rapproche petit à petit d'un jeu accessible sans trop de difficultés. Jouissant des mêmes nouveautés que la version PC, il dispose de nombreux atouts pour charmer les amateurs du genre.

• PS2
• 17 / 20
• France

Au final, ce second volet du simulateur de guitare donne le sentiment d'être une évolution technique de l'original, oubliant un peu (trop) les gros riffs qui parlent à tout un chacun pour se concentrer sur des morceaux très véloces qui plairont sans aucun doute aux joueurs déjà expérimentés mais qui laisseront les néophytes sur le carreau. On conseillera donc aux nouveaux joueurs de se faire les dents sur les grands classiques rock du premier volet. Quant aux autres, il vous reste surtout à consulter la playlist et à vous décider en sachant qu'en matière de pratique et de sensations, peu de choses ont changé et qu'il y a toujours moyen de se régaler.

• PS2
• 14 / 20
• France

Moins éclatante que sur Xbox 360, on reprochera surtout à cette version 128 bits de ne pas se montrer plus audacieuse et au final, de rester trop proche des anciens volets. Un bon titre tout de même, auquel il manque juste une bonne dose d'originalité.

• PSP
• 12 / 20
• France

Cette version PSP se montre un poil plus convaincante que la figuration PS2. Certes, les mêmes problèmes de difficulté déséquilibrée et le manque de caractère sur l'ensemble du gameplay rendent l'ensemble assez quelconque. L'ajout du mode cascade est inutile. Comme à son habitude, celui d'un support wi-fi de 2 à 4 joueurs est une plus value de plaisir indéniable. Un effort louable dans l'ensemble. Il suffirait à Midway d'être plus exigeant sur la difficulté, et de se montrer aussi extravaguant qu'un Burnout pour nous pondre un L.A. Rush 2 de très bonne facture. Ils ont déjà le moteur 3D qu'il faut, la gestion du trafic qui va bien, et les sensations de conduite qui font plaisir.

• PC
• 8 / 20
• France

Avec une histoire digne d'un roman de gare, un gameplay souffreteux et une absence totale de sensations, le titre de Sega loupe complètement le coche et récupère du coup le titre de "RPG du pauvre" sur PC. De plus, le multi. ne se pose même pas comme l'élément réparateur puisqu'il dénote clairement d'un manque de profondeur. A croire que la magie s'en est allée, aspirée par un trou noir au fin fond de la galaxie.

• PC
• 11 / 20
• France

Avec cette adaptation d'Eragon, Stormfront risque de décevoir tous ceux qui ont encore en mémoire les excellents moments passés sur Demon Stone ou Les Deux Tours. Les maîtres du beat'em all ont eu la mauvaise idée de simplifier à outrance le système de jeu pour mieux convenir au jeune public, ne faisant que rendre le tout fade et atrocement limité. A croire que la licence ne les a pas particulièrement inspirés.

• PS2
• 8 / 20
• France

Avec une histoire digne d'un roman de gare, un gameplay souffreteux et une absence totale de sensations, le titre de Sega loupe complètement le coche et récupère du coup le titre de "RPG du pauvre" sur la machine de Sony. De plus, le multi. ne se pose même pas comme l'élément réparateur puisqu'il dénote clairement d'un manque de profondeur. A croire que la magie s'en est allée, aspirée par un trou noir au fin fond de la galaxie.

• X360
• 11 / 20
• France

Avec cette adaptation d'Eragon, Stormfront risque de décevoir tous ceux qui ont encore en mémoire les excellents moments passés sur Demon Stone ou Les Deux Tours. Les maîtres du beat'em all ont eu la mauvaise idée de simplifier à outrance le système de jeu pour mieux convenir au jeune public, ne faisant que rendre le tout fade et atrocement limité. A croire que la licence ne les a pas particulièrement inspirés.