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Proposez une note de presse sur ce jeuLa nuit tombe sur la légende Spyro, plus froide et plus épaisse que jamais, et on commence à désespérer de voir jamais le dragon renaître de ses cendres. Brouillon, plat, desservi par une jouabilité lourde de défauts, The Eternal Night finit d'ôter à la licence tout ce qu'elle avait de frais et d'agréable. Un titre à éviter, à moins d'avoir des tendances masochistes.
The biggest problem with Eternal Night is just how pointlessly difficult it is. Even early on the game treated me to near-constant falling deaths and gang-up enemy attacks, but I wanted to push on and beat the game if only to see how it all ended. Unfortunately, a section with constantly spawning enemies (peppered with numerous NeoGAF and #vidgames member references, hi Gaz!) was my undoing. After boss fights over bottomless pits, sloppy platforming bits and a spoon-fed storyline, battling wave after wave of enemies was the breaking point. Just thinking about the part makes me want to punch babies; it's pointlessly difficult and absolutely unnecessary. Come to think of it, that describes the whole of Spyro's latest outing rather nicely.
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