Notes de presse

• PS2
• 17 / 20
• France

Pour une conclusion, Onimusha 3 ne manque pas de surprendre, d'impressionner et de ravir quiconque aura parcouru les deux premiers volets. Le soft s'apparente un peu à une spirale qui nous emporte dès les premières secondes sans que l'on puisse décrocher jusqu'à la fin du jeu. Un épisode qui constitue, à mon sens, le plus intéressant des trois, et qui conclut avec brio cette admirable trilogie.

• PS2
• 7 / 10
• France

• PS2
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• PS2
• 9 / 10
• États-Unis

• PS2
• 83%
• Espagne

• PC
• 72%
• Allemagne

• PS2
• 4 / 10
• France

• PS2
• 4 / 10
• Royaume-Uni

• PS2
• 7.6 / 20
• États-Unis

• PS2
• États-Unis

• PS2
• 11 / 20
• France

J'en attendais énormément, ayant toujours été un adepte converti au culte de Gabriel Logan et je n'en suis que plus déçu devant le résultat final. Si l'ambiance est intacte (pour ce qui est du scénario ou de l'aspect intense des missions), la construction du titre souffre de mille problèmes (difficulté mal dosée, trop de points de contrôle, missions bonus qui se méritent un peu trop) et fait qu'on joue au titre sans éprouver énormément de plaisir. Le mode Multijoueur est heureusement un peu plus intéressant mais ne suffit pas pour relancer complètement l'intérêt. Le titre sera sans doute difficilement accessible aux non initiés (le gameplay étant particulier, le scénario faisant constamment référence aux anciens épisodes) et décevra quelque peu les fans de la première heure. Personnellement ça a été le cas et je puis vous dire que ça me fait vraiment mal de mettre cette note bien basse. Voici l'exemple type du soft qui aurait dû bénéficier de plus de phases de brainstorming autour du système de progression pour convaincre. En l'état Syphon Filter : The Omega Strain ne cesse de s'étioler et se place en deçà de ses prédécesseurs, ce qui ne veut pas forcément dire qu'il en sera le tout dernier segment, c'est du moins ce que tout bon membre de l'Agence devra se dire !

• PS2
• 6.5 / 10
• États-Unis

• PS2
• 67%
• Allemagne

• GBA
• 7.7 / 10
• États-Unis

• PS2
• 13 / 20
• France

• PC
• 4.5 / 10
• États-Unis

I guess Activision and Fizz didn't listen to Spidey's mantra. With great power comes great responsibility. Unfortunately, there will be little culpability to go along with that. Even Tobey Maguire sounds bored and horrified during most of his cutscenes, even though his part was almost positively done before he ever saw the game. Maybe his Spidey-senses were tingling. I could probably say more bad about the game and go into detail about the bad and some of the "high points" but what's the point. Spider-Man 2 for the PC is a piece of crap. If you want a real Spider-Man 2 game, go pick up one of the console versions. If you don't own a console then consider yourself out of luck. You won't find any amount of web slinging fun that could come close to matching the fun and frolic of the movie. After three hours (if you can make it that far) of crappy controls, mediocre visuals, and boring and generally unimaginative gameplay, you'll actually be glad to have finished the game so you can return it or burn it and move on with your life.

• PC
• 6 / 10
• États-Unis

Just another fantasy RTS, this time with Vikings. Shoddy pathfinding and clunky camera controls don't help much, either.

• PC
• 78%
• Allemagne

• GBA
• 8.3 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 6.5 / 10
• États-Unis

• PS2
• 1 / 10
• France

• PS2
• 11 / 20
• France

• XBOX
• 7.5 / 10
• Allemagne

Van Helsing gehört eindeutig zu den besseren Lizenzversoftungen. Da man sich spielerisch sehr nah an Capcoms Devil May Cry orientiert hat, muss man sich zwar gewisse Plagiatsvorwürfe gefallen lassen, aber besser gut geklaut als schlecht selbst ausgedacht. Besonders originell und abwechslungsreich ist das Gameplay zwar nicht, aber die Steuerung ist ungemein handlich, der Spielfluss schnörkellos und die Kameraführung meist vorbildlich. Zudem überzeugen die taktische Waffen- und Munitionswahl sowie die individuellen Upgrade-Möglichkeiten. Gelegenheitsspieler werden sich auch über das faire Speicher- und Rücksetzsystem sowie die komfortable Zielerfassung und den variablen Schwierigkeitsgrad freuen. Weniger erfreulich sind hingegen die altbackenen Rätseleinlagen, die sich wiederholenden Spielabschnitte und Bosskämpfe sowie der viel zu geringe Spielumfang, denn nach weniger als fünf Stunden waren Dracula & Co auf dem normalen Schwierigkeitsgrad bereits Geschichte, während Hardcore-Zocker laut Xbox-Live-Tabellen sogar bereits Spielzeiten von unter einer halben Stunde erreicht haben…

• PS2
• États-Unis