Notes de presse

• SNES
• 4 / 10
• États-Unis

• 3DO
• 3.5 / 5
• États-Unis

• PC
• 18 / 20
• France

La note parle d'elle-même. Difficile en effet de trouver le moindre défaut à une œuvre si bien écrite et réalisée. Max est trop chou, Sam est trop cool et l'on aimerait pouvoir fouler encore et encore les terres du nouveau monde à la recherche de territoires délirants encore inexplorés.

• SNES
• 53%
• France

• MD
• 4 / 10
• États-Unis

• NES
• 15 / 20
• France

Malgré la simplicité de Pac-Man à plus ou moins tous les niveaux, celui-ci se classe tout de même parmi les quelques jeux rétro devenus mythiques et incontournables.

• SNES
• 14 / 20
• France

Le bilan de ce premier opus reste très mitigé. Le jeu débute plutôt bien, mais on nous plonge presque immédiatement dans une linéarité sans nom et on confie au joueur des quêtes qui s’éloignent totalement de l’objectif primaire du périple. Et une fois un certain cap passé, vous aurez droit à d’interminables voyages qui vous baladeront un peu partout et surtout n’importe comment. Un système qui pourrait venir à bout des joueurs les plus tenaces s’il n’y avait pas à côté un univers des plus cohérents. En effet, malgré de gros défauts au niveau de la structure scénaristique, l’univers en lui-même reste plutôt riche et possède une réelle identité. Malgré donc parfois un certain ras-le-bol, on se laisse tout de même voguer dans cette aventure jusqu’au dénouement final.

• NES
• 17 / 20
• France

Kirby’s Adventure est le premier épisode à poser les bases de la série de manière aussi forte. Le concept est resté le même dans la plupart des jeux suivants, et on comprend pourquoi. Une jouabilité exemplaire, un héros au charisme improbable, on ne peut faire qu’une seule chose face à ce petit phénomène, jouer et rejouer encore. En 1992, Nintendo maîtrise le jeu de plates-formes et le démontre une nouvelle fois avec Kirby. Le jeu synthétise tous les bons côtés de la marque, en restant original et ingénieux. Il en oublie cependant un de taille : la difficulté, grande absente du titre.

• MD
• 11 / 20
• France

Jurassic Park est un jeu qui a probablement marqué tous ceux qui y ont joué durant leur enfance ou à l’époque de sa sortie. Il est donc très difficile de le noter car tout dépendra de vous. En effet, s’il est nostalgiquement marquant, le jeu en lui-même est criblé d’imperfections qui fâchent : son level design, ses bugs, son Grant... Le soft laisse donc un goût amer, avec sa durée de vie artificielle liée à sa grande difficulté. Si vous êtes un hardcore gamer qui cherche du challenge, le jeu ne se révélera pas intéressant pour vous, car une fois les niveaux appris par coeur, ils s’aligneront en une quarantaine de minutes. Par contre, si vous portez un fort intérêt à la licence et que vous voulez essayer un bon jeu, je vous dirigerais vers la Rampage Edition qui est une version 2.0 corrigeant la majeure partie des défauts, mais avec un contenu malheureusement moindre.

• MSDOS
• 90%
• Royaume-Uni

• GB/C
• 2 / 10
• États-Unis

• MD
• 89%
• Australie

• GB/C
• 16 / 20
• France

Cette suite de Duck Tales ne se contente pas de reprendre le principe du premier épisode : en l'étoffant tant en contenu que graphiquement, elle s'offre une place de choix dans le genre plate-forme sur Gameboy. On passe un moment des plus agréables à aider Picsou dans cette grande chasse aux trésors, et c'est bien là l'essentiel.

• MS
• 15 / 20
• France

Réussissant le tour de force de s'adresser à la fois aux joueurs les moins expérimentés et à ceux nés une manette greffée à la main, difficile de reprocher à Rainbow Islands sa naïveté et son manque de difficulté. En parvenant à remplir les critères de satisfaction de tous, personne ne peut douter des bonnes intentions du jeu. Cependant, la volonté de proposer tout un pendant du jeu parallèle à l’expérience initiale aurait pu être plus bénéfique encore en se dévoilant davantage à notre regard.

• NES
• 10 / 10
• États-Unis

• PC
• 12 / 20
• France

Avec Lost in Time, Muriel Tramis s’essayait pour la première fois à l’aventure interactive, utilisant les techniques du cinéma. Le résultat, pour précurseur qu’il fut, décevra sans doute les amateurs de Fascination, tant les péripéties épicées de la belle Doralice semblent s’être éventées en chemin. Ce n’était que partie remise. En 1997, Tramis créait Urban Runner, un jeu en « full motion video » d’un tout autre niveau, véritable apogée du genre…

• SNES
• 16 / 20
• France

On se trouve ici face à un exemple d’adaptation cinéma/jeu vidéo réussi. Malgré ses quelques défauts qui peuvent ternir le plaisir d’y jouer, Batman Returns reste une aventure incontournable de l’homme chauve-souris.

• GG
• 29 / 40
• États-Unis

• SNES
• 3.85 / 5
• États-Unis

• SNES
• 9 / 10
• États-Unis

• MD
• 18 / 20
• France

Très apprécié des joueurs et de la presse spécialisée lors de sa sortie originelle sur Megadrive, le titre de Treasure s'est imposé en tant que référence du jeu d'action à l'époque. L'originalité de l'architecture des niveaux et les nombreuses modifications de gameplay qui ont lieu en cours de partie le rendent toujours aussi accrocheur qu'en son temps. Tout le monde peut y trouver son compte simple joueur en quête d'adrénaline ou gamer à la recherche de défis, le jeu s'adapte à tout le monde grâce à ses modes de difficulté savamment dosés. Pour peu que vous sachiez apprécier un bon jeu d'action, vous pouvez y aller les yeux fermés : ce titre a tout les atouts pour vous ravir. Il n'a pas fallu attendre que Treasure se fasse la main avant de sortir des hits incontournables, Gunstar Heroes est là pour le prouver.

• PC
• 15 / 20
• France

Si l'on devait résumer de manière rapide ce que représente Fury of the Furries, ce serait du fun avec beaucoup de poils. Il s'agit d'un jeu de plates-formes qui ne se prend pas au sérieux et qui pourtant possède de nombreuses originalités. Même si vous êtes allergique aux pixels trop voyants, vous risquez de passer un bon moment, voire même d'être surpris par certains passages pleins de clins d'œil. Les amateurs d'abandonwares peuvent donc s'y aventurer sans crainte.

• MD
• 15 / 20
• France

Plus beau, plus long et plus prenant que son prédécesseur, ce Chuck Rock 2 : Son of Chuck est une réussite qui ravira tous les amateurs de jeux de plates-formes de l'époque 16 bits. Malgré une maniabilité perfectible et un relatif manque d'originalité, les développeurs de Core Design ont vraiment fait du bon travail, d'autant plus qu'il n'est jamais évident de faire la suite d'un jeu à succès. Encore un très bon titre sur la Megadrive de Sega !

• MCD
• 16 / 20
• France

Pari réussi pour cette conversion Mega-CD de Chuck Rock 2 : Son of Chuck. Le jeu garde toutes les qualités de la version Megadrive, tout en y rajoutant une bien meilleure bande-son et une durée de vie plus conséquente, via l'ajout d'un nouveau mode de difficulté. Malgré une maniabilité parfois délicate, Core Design nous offre donc un jeu de plates-formes extrêmement plaisant, dont les joueurs de Mega-CD auraient tort de se priver tant les titres de ce type sont rares sur ce support. Une valeur sûre.