Notes de presse

• NES
• 16 / 20
• France

Nous avons ici une production de très bonne qualité mais non exempte de défauts comme ses niveaux parfois répétitifs, l'absence d'items et sa durée de vie un peu courte. Néanmoins, le soft de Hal Laboratory surpasse très nettement celui d'Activision, et vous fera passer un très bon moment en compagnie de Venkman et son équipe de chasseurs de fantômes. La possibilité de jouer à deux peut lui donner un tout autre intérêt et peut-être lui offrir une meilleure rejouabilité.

• MD
• 17 / 20
• France

Ces quatre années d'attente n'auront pas été vaines puisque ce nouvel opus offre à la licence la consécration ultime. Reprenant les mécaniques éprouvées de son aîné, Ghouls'n Ghosts y ajoute des nouveautés qui se veulent particulièrement enrichissantes pour le gameplay. L'évolution graphique permet enfin de profiter d'un spectacle morbide du plus bel effet et dont l'atmosphère se veut toujours plus glauque. Ce second volet peut sans mal se targuer d'être le fer lance de Capcom qui nous offre là l'une de ses meilleures productions.

• GB
• 8 / 10
• États-Unis

• NES
• 65%
• France

• NES
• 9 / 10
• États-Unis

• PC
• 8 / 10
• États-Unis

• MCD
• 3 / 10
• États-Unis

• LYNX
• 7 / 10
• États-Unis

• GB
• 9 / 10
• États-Unis

• PCE
• 76%
• France

• PCE
• 23 / 40
• Japon

• PCE
• 79%
• France

• PCE
• 53.5%
• France

• MD
• PCE
• 45%
• Allemagne

• PCE
• 13 / 20
• France

• GB
• 96%
• France

• MD
• 9 / 10
• États-Unis

• MD
• 4 / 10
• États-Unis

• MD
• 9 / 20
• France

Tentative ratée pour Sega concernant cet Alex Kidd in the Enchanted Castle sur Megadrive. Techniquement à la rue et surtout doté d'une jouabilité imparfaite, le jeu n'est guère plaisant à parcourir et fait pâle figure face à la pléthore de jeux de plates-formes de qualité qui existent sur Megadrive. Restent un challenge correct et une atmosphère étrangement nostalgique, sûrement due au fait qu'il s'agissait là de l'avant dernier épisode de la saga. Mais très honnêtement, Sega a bien fait de trouver une autre mascotte, car la série des Alex Kidd commençait franchement à s'essouffler.

• GB
• 20 / 40
• Japon

• GB
• 44%
• Allemagne

• PCE
• 30 / 40
• Japon

• NES
• 14 / 20
• France

Alors que les fans de la licence crieront certainement au crime de lèse-majesté, en faisant abstraction du titre et de tout ce qui en découle, on se retrouve avec un jeu mêlant divers gameplay issus des genres plates-formes, aventure et combat, un mix qui s’avère au final plutôt distrayant et rafraîchissant. Plongé dans un univers mature, le joueur devra voguer de planète en planète toutes plus glauques les unes que les autres et affronter des aliens dont la variété fait honneur au soft. Le tout est surmonté d’un scénario dramatique se concluant en apothéose même si les rebondissements ne sont pas gargantuesques. Avis donc aux fans de beat’em all futuriste. Quant aux aficionados de la licence, ils pourront patienter jusqu’au deuxième opus de Street Fighter qui marquera leur vie à jamais.

• AMIGA
• 18 / 20
• France

Les Bitmap Brothers signent avec Cadaver un jeu d'énigmes prenant, digne ancêtre d'un mix du Professeur Layton et de Lego Harry Potter. Devant son succès, ils réalisent un an plus tard une suite du même tonneau, Cadaver : The Pay Off qui ne décevra pas. Et leurs futures productions comme Speedball 2 ou Gods seront attendues avec ferveur par les joueurs des années 90. Mais il faut se méfier de Cadaver. Partir en balade avec le nain, c'est risquer de ne pas en revenir de sitôt. Et c'est bien grâce à lui que l'on avait la chance de pouvoir devenir un des premiers no life de l'histoire du jeu vidéo. Peut être l'origine de son titre ?