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• PS5
• 16 / 20
• France

Riche d’une aura singulière et de délicieuses traversées, Solar Ash abrite un univers qui doit s’apprivoiser avec patience pour être pleinement apprécié ; entre les balades si confortables s’érigent quelques grandes difficultés à surmonter. De fond en comble, les régions cosmiques et complexes bâties par Heart Machine donnent envie d’être pleinement fouillées. Dommage que chaque nouveau panorama découvert abrite des objectifs qui manquent souvent de nous dépayser.

• PS4
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• PC
• 15 / 20
• France

House of Ashes ne dénature pas la philosophie de Supermassive Games. Tout en conservant la mise en scène cinématographique de la saga The Dark Pictures, ce troisième épisode propose désormais une caméra à 360° et des QTE mieux intégrés. Grâce à son rythme maîtrisé, son atmosphère claustrophobique et son intrigue intéressante, il surpasse ses prédécesseurs malgré ses défauts (écriture inégale, personnages caricaturaux, phases de shoot figées…). Pour quiconque aime les expériences interactives du genre, cette dernière itération de l’anthologie mérite la curiosité.

• PC
• 17 / 20
• France

Disons-le clairement : Resident Evil 4 VR est sans doute l’un des meilleurs jeux d’action en réalité virtuelle actuellement disponible sur l’Oculus Quest. Si, visuellement, le poids des âges se fait sentir, le rythme effréné de l’action n’a pas pris une ride. Encore mieux : la réalité virtuelle offre une seconde jeunesse au titre de Capcom grâce à des déplacements beaucoup plus libres (se déplacer et tirer en même temps !) et des mouvements qui répondent aux doigts et à l'œil. D’un TPS culte, mais qui avait pris du plomb dans l’aile à cause d’une prise en main dépassée, Resident Evil 4 devient ici un FPS nerveux et particulièrement efficace.

• SWITCH
• 16 / 20
• France

Embarquant tous les DLC du jeu, les packs d'extension et les modes multi d'origine, Dying Light s'offre une bien belle entrée. Si cette version n'est pas la plus belle à essayer aujourd'hui, compte tenu des concessions faites à la distance d'affichage ou à la finesse du rendu (assez frappantes en mode docké), la technique particulièrement solide de ce portage force tout de même le respect et, si le jeu commence doucement à prendre de l'âge, c'est là une bien belle occasion de découvrir ou de redécouvrir ce grand succès signé Techland.

• PC
• 17 / 20
• France

Inscryption est beaucoup, beaucoup plus qu'un jeu de deck building. Rogue lite, escape game, horreur, aventure... le titre de Daniel Mullins Games est un jeu touche à tout, qui réussit presque tout ce qu'il entreprend. En ne laissant jamais le temps au joueur de s'ennuyer, en proposât une narration bien pensée et n'hésitant jamais à surprendre le joueur qui pensait avoir fait le tour de la question, Inscryption est un petit OVNI dans le jeu vidéo. Si la seconde portion du jeu s'avère un peu décevante et que la dimension aléatoire pourra frustrer les personnes les moins habituées au genre, difficile de ne pas chaudement vous recommander cette expérience aussi étrange que surprenante.

• PS4
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• 13 / 20
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Demon Slayer : The Hinokami Chronicles... Voilà ce qu'un fan peut attendre d'une adaptation de manga en 2021, c'est-à-dire un jeu de combat accessible et plaisant à prendre en mains, mais trop rarement à la hauteur du matériau d'origine. Le fan service est sans grande surprise au rendez-vous. Les affrontements soulignés par des effets visuels de toute beauté font honneur aux séquences passées à la postérité de la série animée. Pourtant, l'absence de créativité pour tout ce qui touche à la mise en scène transforme un mode Histoire supposément épique et touchant en une simple succession de combats entrecoupés de phases d'exploration sans réel intérêt. Quant au multijoueur, le mode Versus se contente de faire acte de présence. En définitive, le titre de CyberConnect2 est à conseiller aux fans, et uniquement aux fans de l'oeuvre de Koyoharu Gotōge.

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• 9 / 20
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Si Koh-Lanta : Les Aventuriers a la bonne idée de marier trois piliers intéressants entre survie, épreuves et alliances, l'exécution n'est que bien trop décevante. Côté multi, l'expérience semble trop peu aboutie pour proposer un vrai moment d'amusement grand public. Ajoutons à cela des soucis de jouabilité, une gestion du camp trop laborieuse, un aspect social trop aléatoire et un sérieux manque de fun au global.

• PS5
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• 15 / 20
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Back 4 Blood est bel et bien le digne héritier des deux premiers Left 4 Dead ! Ça, il n'y a pas de doute. Le titre de Turtle Rock Studios propose un gameplay nerveux et impactant qui sait se réinventer au fur et à mesure de la progression des joueurs grâce à ce système de deck réussi et à ces objectifs variés qui prennent place dans de nombreux lieux différents. Malheureusement, la production manque encore d'équilibrage. Le jeu est soit trop simple, soit trop punitif. On espère qu'une future mise à jour viendra corriger tout cela.

• SWITCH
• 19 / 20
• France

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• 15 / 20
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Lone Echo II est dans la droite lignée du premier épisode et étoffe surtout une formule qui a fait ses preuves. On retrouve donc un duo très attachant, un système de contrôle en apesanteur ultra immersif, un scénario malin et un univers de science-fiction classique, mais bien développé. On peut cependant lui reprocher de se reposer un peu trop sur les qualités du jeu initial ainsi qu’un rythme en dents de scie, notamment à cause d’un début d’aventure un peu poussif. Il n’empêche que c’est une suite à faire sans hésiter si vous avez aimé le précédent jeu et que vous êtes avides de découvrir le destin de Jack et Liv.

• SWITCH
• 18 / 20
• France

Metroid Dread est exceptionnel en tout point, se plaçant d’office comme un des meilleurs épisodes d’une série qui ne manque déjà pas de pépites ! En mélangeant les phases d’action et d’infiltration, le jeu développé par Mercury Studios tient constamment le joueur en haleine. Mais au-delà de sa structure et de son aspect exploration, c’est la fluidité de gameplay qui nous a scotché au plafond, avec une Samus plus agile et virevoltante que jamais et une difficulté qui nous oblige à jongler avec ces nombreuses capacités dans de nombreuses situations. Que vous soyez un néophyte ou un fan de la série, Metroid Dread est un must-have pour tout possesseur de Nintendo Switch.

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• 16 / 20
• France

On peut avouer sans mal que Far Cry 6 est une aventure réussie, chaude et dans la veine des précédents épisodes : si le scénario s’avère efficace et nous conte une révolution agréable à parcourir, cette dernière n’est pas non plus ce qui représentera le mieux ce nouvel épisode aux décors exotiques, restant dans la structure traditionnelle de la série. Ses quelques vraies nouveautés ne changent pas non plus radicalement l’expérience; mais le résultat final n’en demeure pas moins plaisant, bien que peu surprenant : on se retrouve donc avec une production très efficace, renouant avec l’ambiance exotique propre à la saga et s’épaulant de quelques efforts louables en matière de narration. Du Far Cry solide, à n’en pas douter.

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• 16 / 20
• France

Il ne faut pas grand chose pour replonger avec plaisir dans Alan Wake. Avec un rendu graphique mis à jour et plus saisissant que par le passé (4K, 60 fps, occlusion ambiante / effets de lumière retravaillés, cinématiques et visages légèrement remaniés), le monde "Stephen King-esque" de Remedy gagne en ambiance et en crédibilité. La traversée des paysages de Bright Falls, de jour comme de nuit, est encore plus hypnothisante, donnant davantage de corps et de poids à une trame scénaristique et un rythme certes inchangés, mais toujours aussi efficaces. Cerise sur le gâteau : il n'y a plus de pubs in-game et les deux DLC sortis à l'époque, “Le Signal” et "L'écrivain", sont de la partie. Bien sûr, il ne s'agit ici "que" d'un remaster, et le poids des années se fait ressentir de temps en temps, en particulier pour les animations et le rendu des visages. Bref, un retour très agréable pour ceux qui ont déjà terminé le jeu à l'époque. Un immanquable pour les autres.

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• 12 / 20
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Après Banana Blitz HD jugé trop simple par la majorité des joueurs, la saga Super Monkey Ball décide de revenir à ses débuts pour offrir aux fans de la première heure ce qu'ils attendent : une difficulté à la hauteur. Malheureusement, même si le challenge est bel et bien présent, Super Monkey Ball : Banana Mania déçoit. Le combo 4K/60fps disponible sur next-gen ne suffit pas à masquer les nombreux défauts de ce remaster, à commencer par la caméra qui manque de souplesse et le level-design général qui joue trop avec le hasard. Toutefois, si vous accrochez à la formule, notez que vous en aurez pour votre argent. Le contenu est plus que généreux, la rejouabilité est forte et la boutique est une bonne surprise qui ajoute un intérêt supplémentaire.

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• 14 / 20
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Nickelodeon All-Star Brawl est bourré de défauts. Pas bien joli, pas toujours très précis, un peu chiche en contenu, les doublages des dessins animés originaux sont absents... Toutefois, le jeu de combat de Fair Play Labs transpire la passion. Nous ne le recommandons pas à tout le monde, car NASB cible une niche très particulière. En singeant la physique de Super Smash Bros Melee et en implantant une de ses techniques avancées, ce brawler atypique parvient à séduire les nostalgiques du début des années 2000. Ceux-là y verront un bon moyen de se replonger dans les licences de leur enfance tout en retrouvant des sensations familières et un environnement compétitif solide. Espérons que le suivi du studio sera de qualité, car Nickelodeon All-Star Brawl tient quelque chose.

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• 15 / 20
• France

Encore cette année, FIFA 22 sera la parfaite cible des critiques sur le manque d'inventivité de la licence. À part quelques petites idées neuves notables en Carrière ou Clubs Pro, le contenu n'est pas à la fête avec un FIFA Ultimate Team au ralenti, tandis que le mode VOLTA propose une formule tournée vers le jeu en ligne pas franchement inspirée dans la forme. Cependant, le titre propose peut-être le gameplay le moins frustrant et le plus agréable depuis une belle poignée de saisons. Celui-ci est galvanisé par la technologie Hypermotion qui offre des duels concrets, de nouvelles animations séduisantes en plus de trajectoires de balle réalistes et Xbox Series. Mention à la refonte du comportement des gardiens, spécialement réussie ainsi qu'à la défense un peu plus facile à prendre en main qu'auparavant. La belle plus-value de cette version étant l'apport des nouvelles consoles sur le rendu graphique et l'absence de temps de chargement. En résumé, le gameplay a donc réussi à prendre le train de la nouvelle génération tandis que le contenu de FIFA 22, loin des références du genre sportif, est toujours bloqué dans les années 2010.

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• 14 / 20
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Après de nombreuses heures passées sur la version next-gen de FIFA 22 (PS5-Xbox Series) et son penchant old-gen, le constat est là : les joueurs PC, Xbox One et PS4 disposeront d'une version avec les défauts sur nouvelle génération, mais amputée de ses points forts. La technologie Hypermotion et ses nouvelles animations manquent à l'appel, et on a la sensation désagréable que le gameplay n'a pas trop changé d'une année sur l'autre, si ce n'est au niveau des gardiens. Ceux-ci sont un peu plus mobiles et efficaces dans leurs sorties, les trajectoires de balles sont aussi plus fidèles à la réalité, mais pour le reste, c'est assez terne pour une simulation de football. Le mode FUT s'essouffle, le nouveau Volta peine à convaincre, mais heureusement, la Carrière très complète et les nouveautés en Clubs Pro rattrapent un peu la donne. On ne saurait que conseiller aux habitués de sauter le pas de la nouvelle génération pour reprendre du plaisir à taper dans la balle, et d'avertir aux nouveaux-venus que l'herbe est un peu plus verte et Xbox One.

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• 13 / 20
• France

Grâce à la beauté de ses graphismes et de sa musique, Astria Ascending possède un charme indéniable. Loin de se contenter d'être une belle carte postale, le titre n'en oublie pas pour autant de proposer des mécaniques de RPG solides pour offrir un challenge relevé aux amateurs du genre. Malheureusement, son déroulé trop classique et ses soucis d'ergonomie rendent l'aventure par moment laborieuse au point de nuire au plaisir du joueur. N'en reste pas moins un sympathique titre qui, derrière ses défauts, possède une atmosphère qui pourra ravir les nostalgiques de J-RPG à l'ancienne.