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• DS
• 15 / 20
• France

La version DS de Marvel Super Hero Squad : Le Gant de l'Infini est une agréable surprise, qui propose un mélange savamment dosé de combats et de puzzles dans l'univers de la série animée. Sa prise en main facile et sa réalisation réussie, qui s'appuie sur un doublage intégral en français, font partie de ses nombreuses qualités. Que pourrait-on lui reprocher ? Son manque d'originalité, sa légère répétitivité, son absence de réel challenge et sa durée de vie trop faible. Certes, mais ce sont autant de défauts qui doivent être relativisés eu égard au public de joueurs de 7 à 12 ans auquel il se destine.

• PS3
• 12 / 20
• France

Marvel Super Hero Squad : Le Gant de l'Infini fait mieux que son aîné, malgré quelques défauts crispants, sa maniabilité parfois énervante en tête. C'est au final un jeu au capital sympathie assez élevé, qu'on aura plaisir à parcourir, à deux joueurs comme en solo.

• WII
• 12 / 20
• France

Marvel Super Hero Squad : Le Gant de l'Infini fait mieux que son aîné, malgré quelques défauts crispants, sa maniabilité parfois énervante en tête. C'est au final un jeu au capital sympathie assez élevé, qu'on aura plaisir à parcourir, à deux joueurs comme en solo.

• PSP
• 17 / 20
• France

Cette version portable de BlazBlue Calamity Trigger est une très bonne adaptation d'un jeu qui était lui-même une belle réussite. Les amateurs de jeux de combat peuvent donc une nouvelle fois se frotter les mains en remerciant les petits gars d'Arc System Works qui cherchent visiblement à rendre leurs titres accessibles au plus grand nombre de joueurs.

• X360
• 12 / 20
• France

Marvel Super Hero Squad : Le Gant de l'Infini fait mieux que son aîné, malgré quelques défauts crispants, sa maniabilité parfois énervante en tête. C'est au final un jeu au capital sympathie assez élevé, qu'on aura plaisir à parcourir, à deux joueurs comme en solo.

• DS
• 8 / 20
• France

Les Pingouins de Madagascar s'en vont doucement grossir les rangs des adaptations quelconques dont l'ambition principale est de nous déposséder de nos précieux deniers. En voulant se rendre accessible aux plus jeunes, le jeu tombe en effet dans le piège d'une simplicité condescendante, synonyme d'intérêt très limité. C'est fort dommage, car la perspective de partager les péripéties des manchots les plus barrés de la galaxie avait de quoi mettre l'eau à la bouche.

• WII
• 16 / 20
• France

Bien plus complet que l'Odyssée Spatiale qui avait semble-t-il laissé beaucoup de joueurs sur leur faim, ce nouveau Worms renoue avec panache avec ce qui a fait le succès de la série. La plupart des armes les plus débiles sont de retour, le contenu très conséquent et on profite enfin d'un mode multijoueur en ligne ! Team 17 a manifestement fait son possible pour se racheter et se réconcilier avec les fans en donnant naissance à un titre qui cette fois, devrait être en mesure de satisfaire tout le monde.

• X360
• 6 / 20
• France

Crash Time 4 est un florilège d'aberrations sonnant comme une vaste escroquerie. Au lieu de rendre hommage à la série Alerte Cobra, "The Syndicate" finit malgré lui par s'en moquer, la faute à des missions grotesques et incohérentes. Techniquement dépassé, le jeu de Synetic accumule les maladresses qui découlent d'un manque d'investissement flagrant. Alors qu'on s'attendait à des courses-poursuites haletantes, on n'a finalement droit qu'à des errements interminables sur une map bordélique, face à une IA buggée et cheatée. Plutôt que de relancer une série bien médiocre, Crash Time 4 l'enterre jusqu'au toit.

• WII
• 14 / 20
• France

La mignonne Dora est coutumière de la Wii puisque c’est sa troisième aventure sur la machine de Nintendo. Comme les précédents, cet épisode reste évidemment destiné avant tout aux enfants en bas âge qui devraient être séduits à cause de la grande facilité des mini-jeux et de la bonne maniabilité à la Wiimote. Cela dit, la répétitivité de l’action et le manque de diversité handicapent le titre, qu’il est donc préférable de consommer avec modération et par petites bouchées, au risque de s’en lasser.

• DS
• 8 / 20
• France

En se contentant de reprendre bêtement la formule déjà dépassée des Ninja Council, Takara Tomy semble se moquer éperdument des attentes des joueurs. Naruto Vs Sasuke a plus de choses en commun avec les jeux d'action sortis sur GBA il y a presque dix ans qu'avec la production DS actuelle. Espérons que les fans de la série ne s'y tromperont pas.

• WII
• 16 / 20
• France

Les développeurs de Gaijin Entertainment frappent une nouvelle fois très fort avec le cinquième opus de la série Bit. Trip. Fate est en effet un shoot'em up original qui mérite le détour pour son ambiance et son gameplay. Il ne nous reste plus qu'à croiser les doigts en espérant que le sixième et dernier opus de cette série soit du même acabit que ses aînés.

• WII
• 11 / 20
• France

En analysant ce titre d’un point de vue adulte, on réalise que le fond de l’aventure est assez douteux. Car il ne s’agit ni plus ni moins que de considérer ses chiens comme des poupées ou des jouets à exploiter : on les habille, on leur fait faire un tas de choses contre nature et on finit même par les exposer. Pas sûr que la Société Protectrice des Animaux approuve la chose. Pas sûr également que les parents veuillent enseigner ce genre de valeurs à leur marmaille. Maintenant, du point de vue d’une fillette – cible évidente visée – le soft dispose de quelques atouts (Barbie en premier) mais aussi de certains défauts quasi rédhibitoires (les temps de chargement !). Finalement, un jeu moyen, ni original, ni excitant, qui se contente du strict minimum.

• DS
• 5 / 20
• France

Il ne suffit pas d'une idée pour faire un bon jeu. Il faut aussi des équipes motivées et un minimum de moyen. C'est ce que nous prouve une fois de plus Barbie et le salon de beauté pour chiens. En singeant Nintendogs, les développeurs pensaient peut-être faire illusion. Mais il n'en est rien. Le titre est catastrophique de bout en bout. Il existe un nombre important de jeux plus intéressants pour les enfants. Il serait donc dommage de passer, ne serait-ce qu’une minute, sur celui-ci.

• WII
• 12 / 20
• France

• X360
• 8 / 20
• France

Difficile de trouver des points positifs à cette adaptation qui semble se viander avec conviction dans tout ce qu'elle entreprend. Harry Potter et les Reliques de la Mort - Partie 1 associe en effet avec maladresse des séquences de shoot au gameplay bien poussif à des scènes d'infiltration archaïques, tant dans leur structure que dans les mécaniques employées. Quant aux fonctionnalités Kinect, elles se limitent en fait à une dizaine de défis inintéressants et pas vraiment jouables. On ressort donc très déçu de cette aventure qui promettait pourtant d'être rafraîchissante. Les joueurs seront bien plus avisés de conserver leur argent, de relire le livre de J.K. Rowling et de croiser les doigts pour que le film vaille le coup d'oeil !

• PS3
• 8 / 20
• France

Difficile de trouver des points positifs à cette adaptation qui semble se viander avec conviction dans tout ce qu'elle entreprend. Harry Potter et les Reliques de la Mort - Partie 1 associe en effet avec maladresse des séquences de shoot au gameplay bien poussif à des scènes d'infiltration archaïques, tant dans leur structure que dans les mécaniques employées. On ressort donc très déçu de cette aventure qui promettait pourtant d'être rafraîchissante. Les joueurs seront bien plus avisés de conserver leur argent, de relire le livre de J.K. Rowling et de croiser les doigts pour que le film vaille le coup d'oeil !

• X360
• 18 / 20
• France

On pouvait craindre le pire avec un temps de battement aussi court et le recyclage d'un univers déjà exploité, pourtant Assassin's Creed Brotherhood est loin d'être une bête extension, même s'il conserve l'essentiel de ses bases (et certaines lacunes). Rome est une ville riche et vaste, Ezio profite de nouvelles capacités et les activités sont innombrables. Quant au mode multijoueur, si on ignore ce qu'il adviendra sur le long terme, c'est malgré tout une étonnante réussite.

• PS3
• 18 / 20
• France

On pouvait craindre le pire avec un temps de battement aussi court et le recyclage d'un univers déjà exploité, pourtant Assassin's Creed Brotherhood est loin d'être une bête extension, même s'il conserve l'essentiel de ses bases (et certaines lacunes). Rome est une ville riche et vaste, Ezio profite de nouvelles capacités et les activités sont innombrables. Quant au mode multijoueur, si on ignore ce qu'il adviendra sur le long terme, c'est malgré tout une étonnante réussite.