JV.com

• PC
• 10 / 20
• France

En voulant changer l'orientation de la série, Square Enix et Double Helix en ont fait un jeu de tir à la troisième personne d'une banalité sans nom. Même la customisation, quand on nous laisse en faire usage, n'est finalement qu'un gadget. Ni repoussant, attirant, Front Mission Evolved est juste un de ces titres qui sont tout sauf mémorables. A l'exception de ses boss avec qui on fait connaissance pendant des heures.

• PS3
• 18 / 20
• France

NBA 2K11 prouve qu'un partenariat avec une star du milieu n'est pas qu'une question de gros sous et de publicité. L'image et le jeu de Michael Jordan sont magistralement exploités dans différents modes qui rendent hommage à l'âge d'or de l'arrière et de son équipe des Bulls. En plus de cela, la simulation de Visual Concepts parvient petit à petit à s'assouplir grâce à un système de dribbles très bien pensé. Beau, réaliste, grisant, NBA 2K11 maintient au sommet une série qui ne l'a plus quitté depuis de longues années. Et c'est tant mieux !

• X360
• 18 / 20
• France

NBA 2K11 prouve qu'un partenariat avec une star du milieu n'est pas qu'une question de gros sous et de publicité. L'image et le jeu de Michael Jordan sont magistralement exploités dans différents modes qui rendent hommage à l'âge d'or de l'arrière et de son équipe des Bulls. En plus de cela, la simulation de Visual Concepts parvient petit à petit à s'assouplir grâce à un système de dribbles très bien pensé. Beau, réaliste, grisant, NBA 2K11 maintient au sommet une série qui ne l'a plus quitté depuis de longues années. Et c'est tant mieux !

• PS3
• 16 / 20
• France

Soyons francs, Enslaved n'est pas un titre qui brille par son originalité : il reprend à son compte des recettes qui ont déjà fait ses preuves dans des Prince of Persia ou des Uncharted, mais il le fait bien. Au final, et ce malgré quelques petits défauts techniques, on reste bluffé devant sa mise en scène dynamique et on est séduit par son design particulièrement soigné.

• X360
• 16 / 20
• France

Soyons francs, Enslaved n'est pas un titre qui brille par son originalité : il reprend à son compte des recettes qui ont déjà fait ses preuves dans des Prince of Persia ou des Uncharted, mais il le fait bien. Au final, et ce malgré quelques petits défauts techniques, on reste bluffé devant sa mise en scène dynamique et on est séduit par son design particulièrement soigné.

• PSP
• 16 / 20
• France

NBA 2K11 exploite au mieux le profil et les capacités de votre PSP pour vous offrir un condensé de fun et de réalisme. Accessible mais équilibrée, cette simulation se destine à tous les fans de basket mais un peu moins aux adorateurs de Michael Jordan qui seront déçus du contenu réservé à leur idole. Toutefois, grâce au mode Mon Joueur, NBA 2K11 dispose de vraies garanties pour occuper un joueur de très longues heures en solo.

• PC
• 14 / 20
• France

Moins inspirée que l'excellent King Arthur, la nouvelle production de Neocore ne manque tout de même pas d'arguments. Associant avec intelligence phases de gestion typées jeu de rôle et batailles rondement menées, le titre nous offre une excellente occasion de nous plonger dans une version imaginaire de la Troisième Croisade.

• PC
• 18 / 20
• France

NBA 2K11 prouve qu'un partenariat avec une star du milieu n'est pas qu'une question de gros sous et de publicité. L'image et le jeu de Michael Jordan sont magistralement exploités dans différents modes qui rendent hommage à l'âge d'or de l'arrière et de son équipe des Bulls. En plus de cela, la simulation de Visual Concepts parvient petit à petit à s'assouplir grâce à un système de dribbles très bien pensé. Beau, réaliste, grisant, NBA 2K11 maintient au sommet une série qui ne l'a plus quitté depuis de longues années. Et c'est tant mieux !

• PS2
• 12 / 20
• France

NBA 2K11 n'est pas vendu à petit prix pour rien. Copie quasi conforme de son aîné, il se contente d'offrir un contenu actualisé sans que le gameplay ne soit réellement amélioré. A ce jour, il reste assez compliqué d'accrocher au point de jouer des saisons entières mais à défaut d'autre chose, NBA 2K11 est un titre qu'on peut conseiller pour de courtes sessions de jeu.

• WII
• 12 / 20
• France

NHL 2K11, malgré son contenu pharaonique et son multi en local vraiment fun rate une marche sur Wii. Si dans le fond, le gameplay n'a rien de mauvais, les sensations ne sont pas toujours au rendez-vous, la faute à des commandes très complexes et à un certain déséquilibre dû aux frappes. La simulation de hockey reste un titre à essayer si vous possédez une manette classique et quelques potes avec qui délirer.

• WII
• 12 / 20
• France

Sur Wii, NBA 2K11 étonne par l'exhaustivité qu'apporte son contenu, identique aux versions HD, ce qui n'est pas toujours le cas dans les simulations sportives. En revanche, le gameplay manque de son côté d'équilibre, que ce soit parce qu'il alterne maladroitement les phases arcades et simulation ou parce que défendre est un vrai chemin de croix. On s'attendait en outre à quelques nouveautés en dehors des excellents défis Jordan. A essayer quand même !

• DS
• 10 / 20
• France

Captain Tsubasa : New Kick Off est l'exemple type de l'adaptation bancale mais pas totalement ratée, clairement destinée aux fans, qui sauront peut-être lui pardonner les errements que le joueur lambda ne pourra pas tolérer. De fait, si sa fidélité exemplaire à la série pousse à se montrer indulgent avec son gameplay répétitif, il est regrettable que sa réalisation manque autant d'envergure et que cette version européenne ait été amputée des voix qui dynamisaient la version japonaise. L'ensemble n'est pas brillant et nous ne saurions trop conseiller aux inconditionnels de Tsubasa d'attendre une baisse de prix avant de se le procurer.

• PS3
• 17 / 20
• France

Alors qu'on pourra taxer Castlevania : Lords of Shadow de simple pot-pourri vidéoludique, force est de reconnaître que, paradoxalement, le mélange d'influences sied à merveille au renouveau de la série en lui offrant une véritable cohérence et surtout une touche plus démesurée que jamais. Multipliant les clins d'oeil à Devil May Cry, Shadow of the Colossus ou God of War, ce nouveau cru de Castlevania opte pour une évolution, certes plus grand public, mais aussi et surtout une vision romancée et hollywoodienne à la fois d'une saga légendaire. En définitive, MercurySteam signe un bel exploit tout en tenant la dragée haute aux ténors du genre. Honnêtement, nous n'en attendions pas tant...

• X360
• 17 / 20
• France

Alors qu'on pourra taxer Castlevania : Lords of Shadow de simple pot-pourri vidéoludique, force est de reconnaître que, paradoxalement, le mélange d'influences sied à merveille au renouveau de la série en lui offrant une véritable cohérence et surtout une touche plus démesurée que jamais. Multipliant les clins d'oeil à Devil May Cry, Shadow of the Colossus ou God of War, ce nouveau cru de Castlevania opte pour une évolution, certes plus grand public, mais aussi et surtout une vision romancée et hollywoodienne à la fois d'une saga légendaire. En définitive, MercurySteam signe un bel exploit tout en tenant la dragée haute aux ténors du genre. Honnêtement, nous n'en attendions pas tant...

• WII
• 15 / 20
• France

NBA Jam réussit son come-back et devrait trouver chez les plus de 25 ans un public réceptif à ces 2 contre 2 endiablés, nerveux, surréalistes mais ô combien jouissifs. Tout en conservant le charme visuel de l'époque, tout en ne reniant aucun mécanisme qui ont fait la réputation du jeu, ce remake apporte un lot de petits plus qui assouplissent le gameplay et allongent sensiblement la durée de vie. Dommage qu'il ne soit pas traduit et surtout, qu'il débarque sans mode multijoueur en ligne. Au final, le profil de NBA Jam correspond parfaitement à la Wii, offrant de courtes mais intenses parties à apprécier ponctuellement entre amis.

• PS3
• 10 / 20
• France

WRC avait toutes les cartes en mains pour s'imposer comme indispensable aux yeux des amateurs de la discipline. Un contenu riche, des modes complets, un multi bien présent... Malheureusement, le gameplay ne suit pas, les mécanismes n'étant tout bêtement pas ceux d'un jeu de rallye. Les tentatives des développeurs pour nous donner l'impression de conduire la C4 de Sébastien Loeb restent ainsi vaines. Inertie surprenante, réactions irréalistes, plaisir de conduire absent... Ajoutons à cela des temps de chargement longuets et quelques bugs, WRC manque le coche et c'est toute une communauté qui restera frustrée.

• X360
• 10 / 20
• France

WRC avait toutes les cartes en mains pour s'imposer comme indispensable aux yeux des amateurs de la discipline. Un contenu riche, des modes complets, un multi bien présent... Malheureusement, le gameplay ne suit pas, les mécanismes n'étant tout bêtement pas ceux d'un jeu de rallye. Les tentatives des développeurs pour nous donner l'impression de conduire la C4 de Sébastien Loeb restent ainsi vaines. Inertie surprenante, réactions irréalistes, plaisir de conduire absent... Ajoutons à cela des temps de chargement longuets et quelques bugs, WRC manque le coche et c'est toute une communauté qui restera frustrée.

• PC
• 10 / 20
• France

WRC avait toutes les cartes en mains pour s'imposer comme indispensable aux yeux des amateurs de la discipline. Un contenu riche, des modes complets, un multi bien présent... Malheureusement, le gameplay ne suit pas, les mécanismes n'étant tout bêtement pas ceux d'un jeu de rallye. Les tentatives des développeurs pour nous donner l'impression de conduire la C4 de Sébastien Loeb restent ainsi vaines. Inertie surprenante, réactions irréalistes, plaisir de conduire absent... Ajoutons à cela des temps de chargement longuets et quelques bugs, WRC manque le coche et c'est toute une communauté qui restera frustrée.