JV.com

• GBA
• 17 / 20
• France

Véritable renouveau dans le domaine en progression du RPG Tactique, ce qui n'est pas pour nous déplaire, Fire Emblem impose sa marque sur la petit portable de Nintendo, et surpasse même le pourtant magnifique Shining Force. Comblé de talents, d'innovations, il rassemble tout ce qui est la base d'un excellent T-RPG, dépassant pratiquement ce que FFTA a pu nous proposer en son temps. Si vous deviez ne choisir que deux jeux de ce type sur votre rutilante GBA, laissez-vous surprendre par ce Fire Emblem, et craquez pour Tactics Ogre : Knights Of Lodis. Désolé pour FFTA qui reste toujours dans les meilleurs softs à ce jour, mais les élèves ont sans doute dépassé le maître.

• PC
• 12 / 20
• France

Au final, NHL Eastside Hockey Manager ne va certainement pas aider à convertir les néophytes en fans de la discipline. Assez vilain et doté d'une interface vieillotte, confuse et peu intuitive, il a cependant pour lui sa grande complétude aussi bien en termes de données que de possibilités de gestion.

• PS2
• 11 / 20
• France

Présentée comme la simulation ultime, le renouveau du jeu de rallye, Richard Burns Rally ne parvient pas à convaincre de ses aspirations, malgré de bonnes idées et une prise en main demandant des efforts constants. Contenant en trop grand nombre des errances indiscutables et n'arrivant pas véritablement à se trouver une finalité, le soft estampillé SCI Games reste entre deux eaux. Un mauvais équilibrage est à la base de cette "déchéance". Non que le titre soit mauvais, mais son absence de finalisation, et son manque de profondeur ne peuvent le conduire sur les hautes marches du podium. Une alternative intéressante si vous venez de terminer récemment Colin Mc Rae 4 ou WRC 3. Un genre nouveau qui ne demande qu'à s'affiner. Espérons un deuxième épisode, s'axant convenablement. Gauche léger sur droite dure.

• XBOX
• 11 / 20
• France

Présentée comme la simulation ultime, le renouveau du jeu de rallye, Richard Burns Rally ne parvient pas à convaincre de ses aspirations, malgré de bonnes idées et une prise en main demandant des efforts constants. Contenant en trop grand nombre des errances indiscutables et n'arrivant pas véritablement à se trouver une finalité, le soft estampillé SCi Games reste entre deux eaux. Un mauvais équilibrage est à la base de cette "déchéance". Non que le titre soit mauvais, mais son absence de finalisation, et son manque de profondeur ne peuvent le conduire sur les hautes marches du podium. Une alternative intéressante si vous venez de terminer récemment Colin Mc Rae 4 ou WRC 3. Un genre nouveau qui ne demande qu'à s'affiner. Espérons un deuxième épisode, s'axant convenablement. Gauche léger sur droite dure.

• GBA
• 15 / 20
• France

Voilà bien un jeu Nes Classics qui mérite largement ses 20 euros ! En sortant la version originale de The Legend of Zelda sur GBA, Nintendo offre à tous les néophytes l'opportunité de découvrir enfin le soft le plus mythique de la Nes et permet aux nostalgiques d'acquérir ce chef-d'oeuvre sur portable à l'heure où il est devenu bien difficile de faire tourner le jeu sur une console d'époque. Faisant fi du passage du temps et de l'avancée technologique, The Legend of Zelda passionnera pour toujours des générations de joueurs conquis par un plaisir de jeu inimitable.

• GBA
• 12 / 20
• France

Ne décelez pas dans cette note un soupçon d'injustice. Si le premier opus de Zelda offre encore aujourd'hui une quête immense et passionnante, le plaisir de jouer à Super Mario Bros est certes peut-être aussi grand mais beaucoup plus éphémère. En même temps, Nintendo pouvait difficilement choisir un autre jeu pour inaugurer la gamme Nes Classics.

• PC
• 11 / 20
• France

Après des opus consoles honnêtes et ludiquement parlant agréables, Activision nous fait une mauvaise surprise avec ce Spiderman 2 PC. Mettant de côté tous les bons points inhérents aux autres versions, il nous propose un fond insipide, épicé simplement d'une pointe d'intérêt ne suffisant pas à lui redonner du goût. L'ambiance est là, les personnages sont présents, les jouissives figures libres par le biais de la solide toile demeurent en ces lieux, mais le corps du titre est absent. Un soft véritablement moyen, mais qui saura peut-être attirer l'oeil des Peter Parker en herbe... en occasion. Reviens-nous en forme la prochaine fois Spider. Sans rancunes.

• GBA
• 3 / 20
• France

Nintendo a le chic en ce moment pour se moquer un tantinet des gens. Bien que j'adore cette société, ils prennent vraiment les joueurs pour des idiots au pouvoir d'achat conséquent. Ce Pac-Man en est l'illustration évidente. Au lieu de le glisser amoureusement dans une compilation, comme l'a fait Namco par exemple, big N se permet de nous proposer une version "simple" ne correspondant pas du tout aux attentes du public. Au lieu de promouvoir cette légende, il la décrédibilise, et subit du coup le même sort.

• GBA
• 5 / 20
• France

Le principe des Nes Classics est au départ louable. Faire connaître les vieux classiques de la firme, par le biais de son étoile, sa principale source de revenus, la GBA. Mais l'aspect financier reprend vite ses droits. Alors que l'on aurait pu retrouver ces concentrés de légende avec d'autres softs, ou en bonus, comme Métroid, les voilà vendus seuls, et à plus de 20 euros qui plus est. Donkey Kong était un très bon jeu, qui a fait son temps maintenant, et qui ne devrait pas sortir sans être accompagné. La nostalgie peut faire renaître des mythes, mais pas sous cette forme.

• GBA
• 5 / 20
• France

Xevious nous ramène au source du shoot'em up. A une époque où on pouvait se passer de power up et où notre imagination pouvait nous permettre d'associer des petits carrés à un vaisseau de guerre surarmé ! Aujourd'hui, ça passe moins bien.

• GBA
• 4 / 20
• France

Mis à part titiller notre fibre nostalgique, on ne voit pas bien où Nintendo veut en venir avec cette réédition de Ice Climber. Le jeu n'est pas particulièrement fun à jouer et sa maniabilité gâche tout le peu de plaisir qu'on aurait pu en tirer.

• GBA
• 2 / 20
• France

Rarement un jeu n'avait connu telle carence d'intérêt. Creux et désespérément absent, ce soft estampillé Hudson Soft, n'a rien à faire dans la collection Nes Classics. Sans doute possède-t-il un statut culte, car fondateur du gameplay des futurs chefs-d'oeuvre multijoueurs, mais ce dernier n'est pas une raison suffisante pour le proposer à l'achat. Décidément, Nintendo aurait dû mieux choisir son équipe gagnante. Pourquoi ne pas avoir plutôt réédité de somptueux titres Super Nes, adaptés à la puissance de la GBA ? Mystère. Qui a dit argent ?

• GBA
• 8 / 20
• France

Véritablement sympathique dans son principe et rapidement addictif, Excitebike aurait aisément pu acquérir des lettres de noblesse, si seulement il n'était pas autant restrictif dans ce qu'il propose. La lassitude vient en effet rapidement frapper à votre porte et s'ajoute à la qualité graphique correcte, mais soumise à une mauvaise utilisation des couleurs. Nintendo a encore fait les choses en grand, en omettant volontairement d'implémenter un système de sauvegarde convenable pour l'éditeur de pistes, un des seuls points clairement intéressant du titre. Dommage. Je vous conseille tout de même de l'essayer.

• GBA
• 12 / 20
• France

Spider-man 2 ressemble beaucoup (trop) au premier volet. Certains niveaux sont même presque identiques (comme celui où il faut descendre d'un immeuble en feu en sauvant les victimes dans les étages). Le jeu comporte des passages en 3D, mais ceux-ci sont proches de l'injouable. Heureusement que la variété des niveaux et le fait de pouvoir acheter des capacités spéciales en fin de level viennent relever le niveau d'un titre qui aurait certainement été bien meilleur si la jouabilité avait été plus travaillée.

• PC
• 15 / 20
• France

World Championship Snooker 2004 est un bon jeu de billard, mais il n'amène finalement aucune grosse nouveauté comparé à ses concurrents directs. Toujours est-il que les réactions de petites boules colorées sont sans reproche, que le jeu bénéficie des licences lui permettant d'afficher les vrais noms des tournois et des joueurs, que les modes de jeu sont classiques mais complets et que les effets sonores ne souffrent d'aucun défaut. Les amateurs de simulation de billard réalistes seront à n'en pas douter aux anges, tandis que les joueurs plus occasionnels se tourneront du côté de Pool Paradise, moins austère et plus fun.

• PS2
• 17 / 20
• France

Pour une conclusion, Onimusha 3 ne manque pas de surprendre, d'impressionner et de ravir quiconque aura parcouru les deux premiers volets. Le soft s'apparente un peu à une spirale qui nous emporte dès les premières secondes sans que l'on puisse décrocher jusqu'à la fin du jeu. Un épisode qui constitue, à mon sens, le plus intéressant des trois, et qui conclut avec brio cette admirable trilogie.

• PC
• 15 / 20
• France

Avec The Path of the Shell, le joueur ne risque pas d'être surpris. En effet, hormis le fait d'ajouter de nouveaux âges et énigmes, la possibilité de nager et de nouvelles options de personnalisation de son avatar, rien n'a été fait pour améliorer les graphismes ou le gameplay qui restent identiques au jeu original. C'est bien dommage, on aurait aimé avoir une jouabilité optimisée avec une meilleure gestion des collisions. Cependant, cette extension plaira à coup sûr aux joueurs qui veulent prolonger leur voyage dans les mystérieux âges d'Uru. Quant à ceux qui ne connaissent pas encore le titre de Cyan, ils peuvent profiter du pack regroupant le jeu et ses deux add-on.

• PS2
• 11 / 20
• France

J'en attendais énormément, ayant toujours été un adepte converti au culte de Gabriel Logan et je n'en suis que plus déçu devant le résultat final. Si l'ambiance est intacte (pour ce qui est du scénario ou de l'aspect intense des missions), la construction du titre souffre de mille problèmes (difficulté mal dosée, trop de points de contrôle, missions bonus qui se méritent un peu trop) et fait qu'on joue au titre sans éprouver énormément de plaisir. Le mode Multijoueur est heureusement un peu plus intéressant mais ne suffit pas pour relancer complètement l'intérêt. Le titre sera sans doute difficilement accessible aux non initiés (le gameplay étant particulier, le scénario faisant constamment référence aux anciens épisodes) et décevra quelque peu les fans de la première heure. Personnellement ça a été le cas et je puis vous dire que ça me fait vraiment mal de mettre cette note bien basse. Voici l'exemple type du soft qui aurait dû bénéficier de plus de phases de brainstorming autour du système de progression pour convaincre. En l'état Syphon Filter : The Omega Strain ne cesse de s'étioler et se place en deçà de ses prédécesseurs, ce qui ne veut pas forcément dire qu'il en sera le tout dernier segment, c'est du moins ce que tout bon membre de l'Agence devra se dire !