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• XBOX
• 12 / 20
• France

Que penser de ce Rugby 2006 ? Certainement que son prix est bien trop élevé pour quiconque posséderait déjà la version 2005 au vu du faible nombre de nouveautés. On a l'impression qu'EA n'a même pas essayé de se démarquer des précédentes moutures en proposant un jeu correct mais sans véritable personnalité et surtout très difficile à maîtriser pour le joueur lambda qui n'a pas l'habitude de la série. A réserver exclusivement aux fans.

• PC
• 12 / 20
• France

Que penser de ce Rugby 2006 ? Certainement que son prix est bien trop élevé pour quiconque posséderait déjà la version 2005 au vu du faible nombre de nouveautés. On a l'impression qu'EA n'a même pas essayé de se démarquer des précédentes moutures en proposant un jeu correct mais sans véritable personnalité et surtout très difficile à maîtriser pour le joueur lambda qui n'a pas l'habitude de la série. A réserver exclusivement aux fans.

• PS2
• 16 / 20
• France

En intégrant un certain nombre de nouveautés très pertinentes en termes de gameplay, Castlevania : Curse of Darkness parvient à se hisser à la hauteur de ce qu'on attendait de lui, malgré des faiblesses techniques évidentes. La notion de démons à invoquer et le système de combinaison des armes sont les principaux arguments de cet épisode qui aurait peut-être pu nous impressionner davantage si le level design avait été plus recherché.

• GBA
• 14 / 20
• France

Restant dans la lignée de son prédécesseur et par conséquent dans celle des bons jeux, ce dernier opus de la série Shaman King se complaît passionnément, entouré de son gameplay accrocheur et de sa réalisation graphique flatteuse. Néanmoins, à trop se reposer, notre bon ami a visiblement oublié de préparer sa valise de nouveautés et se contente de nous donner en consigne un sac avec des vêtements chics, certes, mais sales. Sorte de version 1.5, le titre de Konami semble quelque peu se moquer des joueurs en ne passant pas par la case innovation. Un titre de qualité, mais un peu trop sûr de lui pour être honnête.

• PC
• 7 / 20
• France

J'aimerais tout de même comprendre ce qu'a voulu faire Kuju ici. Attendre du joueur qu'il pratique l'art de la tactique sans nous en laisser la possibilité, voilà une idée bien saugrenue. Le résultat final n'a aucun sens et pas plus d'intérêt. Ce n'est donc pas aujourd'hui que Konami nous livrera un titre décent sur PC.

• DS
• 13 / 20
• France

En adaptant le principe de base de Frogger (une grenouille qui se déplace par petits bonds successifs), mais en l'enrichissant par un gameplay un peu plus riche et fouillé, Konami obtient un jeu à mi chemin entre l'arcade et la réflexion. Dans le genre, c'est plutôt bien fait, même s'il est vrai que la jouabilité ne plaira pas à tout le monde.

• PSP
• 13 / 20
• France

En adaptant le principe de base de Frogger (une grenouille qui se déplace par petits bonds successifs), mais en l'enrichissant par un gameplay un peu plus riche et fouillé, Konami obtient un jeu à mi chemin entre l'arcade et la réflexion. Dans le genre, c'est plutôt bien fait, même s'il est vrai que la jouabilité ne plaira pas à tout le monde.

• GBA
• 11 / 20
• France

La cartouche est réellement fidèle au support d'origine, c'est indéniable. Les personnages, l'humour ou la bande-son proviennent tous de la série télévisée ce qui plaira à coup sûr aux fans. Cela dit, les déplacements un peu lents et le manque de précision de certaines actions peuvent décourager les moins patients d'entre eux.

• XBOX
• 16 / 20
• France

En intégrant un certain nombre de nouveautés très pertinentes en termes de gameplay, Castlevania : Curse of Darkness parvient à se hisser à la hauteur de ce qu'on attendait de lui, malgré des faiblesses techniques évidentes. La notion de démons à invoquer et le système de combinaison des armes sont les principaux arguments de cet épisode qui aurait peut-être pu nous impressionner davantage si le level design avait été plus recherché.

• DS
• 10 / 20
• France

Petit jeu de plates-formes sans prétention, Kim Possible : Kimmunicator parvient quant même à nous distraire. Hélas, ses combats brouillons et sa durée de vie très courte lui portent préjudice et l'empêchant de prétendre à une note plus élevée.

• PS2
• 19 / 20
• France

• XBOX
• 13 / 20
• France

A prendre comme un petit OVNI lugubre d'humour noir, Stubbs The Zombie est à acheter en connaissance de cause, très court et offrant un gameplay des plus limités, il vaut pour son ambiance amusante et ses séquences drolatiques. Pour amateur de films d'horreur, des années 60 et de la parodie, en occasion de préférence. Les autres peuvent passer leur chemin.

• DS
• 14 / 20
• France

Considéré comme une "excellente surprise pour le lancement de la DS", Project Rub s'offre une suite sans réelle surprise mais qui n'en parvient pas moins à retenir l'attention en dépit d'une durée de vie limitée et de quelques moments de frustration. La concurrence dans ce domaine est plus rude aujourd'hui sur DS.

• PC
• 9 / 20
• France

Comparé à Torino 2006 récemment sorti, Winter Challenge fait peine à voir. Moins riche sur le plan du contenu, moins convaincant graphiquement et avec un gameplay largement inférieur, le titre de Cyanide a trouvé à qui parler. Il se retrouve de fait relégué dans la catégorie des titres que l'on ne vous conseillera pas d'acheter.

• X360
• 12 / 20
• France

Full auto est plein d'énergie, bourré d'action et doté de quelques bonnes idées divertissantes quelques heures. Pourtant, le jeu n'est techniquement pas très convaincant et aurait dû proposer davantage de modes de jeu pour tenir le joueur en haleine plus longtemps. Reste le mutli qui peut s'avérer être une option intéressante si vous disposez d'un compte Xbox Live pour affronter sept autres joueurs.

• PC
• 10 / 20
• France

Back To Gaya a tout du jeu sous licence mis en bouteille sans grands efforts de production. Court, maigre en contenu, inspiré comme une page et peu maniable, il fait un excellent produit de merchandising.

• PSP
• 8 / 20
• France

Impossible d'imaginer à quel point le potentiel de Rengoku est inexistant avant d'avoir le jeu en main. Le concept prometteur est ruiné par un level-design insipide et par une redondance pénible au niveau du gameplay. Le fait d'injecter des capsules pour transformer certaines parties du corps de l'androïde en armes constitue finalement la seule bonne idée de ce titre, extrêmement décevant au demeurant.

• PSP
• 17 / 20
• France

Tales Of Eternia peut se prévaloir d'une immense accessibilité qui le destine aussi bien aux novices, aux rôlistes confirmés, aux rêveurs d'un jour ou aux joueurs impétueux cherchant un mixe entre l'aventure made in Japan et le beat'em all. Prônant la candeur d'un univers attachant, ToE reste assez classique par bien des aspects tout en profitant d'un gameplay étudié, d'une touche graphique somptueuse et d'une histoire, certes peu originale, mais alignant malgré tout les morceaux de bravoure. Soyez à l'écoute, la lecture du conte commence et avec elle la promesse d'un émerveillement continu.