Gameblog

• PC
• 6 / 10
• France

Tout le kawai d'une magical girl violemment confrontée aux intrigues d'un royaume cruel en ebullition : c'est ce qui fait le charme et l'humour de Long Live thé Queen, dont l'histoire va vous donner du fil à retordre. "A song of skills and decisions" pourrait-on dire, où les choix et les événements auraient pu être plus nombreux et variés encore pour éviter une certaine répétition. Peut être pour un prochain titre ?

• PC
• 5 / 10
• France

• PC
• 4 / 10
• France

S'il y a un jeu caché à l'intérieur de X Rebirth, je n'ai vraiment pas le temps et l'envie de percer à travers sa coque de bugs et d'idées de game design idiotes pour le trouver. En tapant dessus, il me semble d'ailleurs que ça sonne creux... C'est bien triste, mais je ne crois même pas que plusieurs patch pourront remettre ce 4X à flot. À éviter...

• PS3
• 1 / 10
• France

• PS3
• X360
• 6 / 10
• France

Les années passent et se ressemblent pour l'unique série de catch sur console. Ce WWE 2K14 propose un contenu aussi massif qu'André le Géant : 30 ans de Wrestlemania à revivre, des modes de jeu à foison, une saison à réécrire, un peu moins d'une centaine de superstars d'hier et d'aujourd'hui et un mode création permettant toutes les folies. Si cette année il gagne également en accessibilité, WWE 2K14 possède toujours les mêmes défauts de gameplay. Comme tous les ans. Chaque combattant semble faire le même poids (et ils sont lourds !) et la raideur des animations rend l'ensemble très robotique. Sans compter les bugs divers et variés d'un moteur totalement dépassé graphiquement. Seul représentant de la discipline, WWE 2K14 fera cette année encore (assez bien) l'affaire auprès des fans, principalement grâce à son contenu énorme et sa fidélité à l'ambiance de la WWE. Cependant, il faut espérer que sur Xbox One et PS4, WWE saura se réinventer, ne se limitant plus, par son gameplay usé, à une frange de passionnés de la discipline. En attendant peut-être aussi que la concurrence relance la machine... En tout cas, il y a la place et les joueurs y seraient forcément gagnants.

• PS3
• 7 / 10
• France

Pour ce dernier volet, l'épopée futuriste de Ratchet & Clank se focalise sur la gravité, et ce dans plusieurs sens du terme. Ainsi, cette approche se traduit par un ton sensiblement plus sérieux au travers de l'atmosphère inquiétante qui émane de cet univers désolé, mais également par l'usage accru de l'apesanteur dans les mécaniques de gameplay. Il en résulte une plus grande liberté dans l'exploration de l'environnement, associée à des gunfights aériens littéralement explosifs. Dommage que ces séquences de voltige soient trop rares, à l'image des phases qui mêlent la plate-forme et une once de réflexion aux commandes d'un Clank plus que jamais relégué au second rôle. Par conséquent, c'est Ratchet et son copieux arsenal d'armes évolutives qui occupe le devant de la scène, la quête effrénée de puissance et la mise en scène décapante palliant la relative brièveté de l'aventure.

• WIIU
• 6 / 10
• France

• 3DS
• 8 / 10
• France

• 3DS
• VITA
• 5 / 10
• France

• WIIU
• 7 / 10
• France

• IOS
• ANDROID
• 9 / 10
• France

• PS3
• 3 / 10
• France

L'attrait principal de la série InviZimals, c'est la magie de voir des créatures apparaître en réalité augmentée dans son environnement. Avec ce titre pour PS3 qui ne prend pas en compte la RA pour proposer un jeu d'action 3D pathétique, on se demande où veut en venir Sony. Ce n'est en tout cas pas avec ce titre que la série se fera un nom, ou alors si, dans la catégorie des jeux pour mioches à éviter... surtout qu'on a quand même aujourd'hui l'embarras du choix avec de meilleurs titres. Une chose à sauver : Tigershark et ses potes, qui feraient de super figurines à la manière des Streets Sharks des années 90.

• X360
• 8 / 10
• France

• PC
• PS3
• X360
• 6 / 10
• France

A part son ambiance de teen movie et ses clins d'oeil aux itérations d'Obscure, ce spin-off n'a pas grand chose à voir avec la saga. Mighty Rocket Studio s'éloigne ainsi du survival horror pour s'essayer au side-scroller, en suivant scrupuleusement les règles de la discipline. Malgré son pragmatisme en matière de narration, de réalisation et de gameplay, Final Exam constitue toutefois une application trop scolaire de la formule pour convaincre en solo. Cela manque de sang frais, même avec de telles doses d'hémoglobine. Car si les prétextes varient, les missions se révèlent assez redondantes, à l'instar des vagues d'ennemis. Difficile alors de se motiver pour cette course au scoring et la montée en puissance des personnages qui l'accompagne. Heureusement, l'expérience devient nettement plus sympathique à plusieurs, certaines tâches étant naturellement taillées pour la coopération, ne serait-ce que la survie. Et ce gameplay simple mais percutant prend tout son sens lors des feux d'artifice sanguinolents suscités par les bagarres, en dépit des quelques débordements qu'entraîne fatalement ce genre de réunions entre de vieux camarades résolument frappés.

• PS3
• X360
• 8 / 10
• France

• VITA
• 5 / 10
• France

• VITA
• 5 / 10
• France

• PC
• 7 / 10
• France

Warface pourrait bien venir jouer les trublions dans le monde du FPS multijoueur et grappiller du terrain face aux ténors du genre. S'il n'est pas foudroyant en terme d'innovations, il reste néanmoins intéressant à plus d'un titre : complet dans ses modes de jeu, efficace dans son gameplay et honorable dans ses finitions. À ce titre, le dernier né de Crytek mérite d'être essayé par ceux qui cherchent une alternative aux concurrents historiques du genre, Call of Duty en tête. Certes, il est regrettable qu'il ne propose rien d'extraordinaire sur le fond, mais il possède un avantage indiscutable sur la forme : il vous en coutera à peu près zéro euro pour l'acquérir. Et ça, ça n'a pas de prix.