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Proposez une note de presse sur ce jeuA conti fatti l’esperimento di Tindalos Interactive, la trasfigurazione di Battlefleet Gothic in un Tattico-Strategico è stato un successo. Le nuove meccaniche gestionali legate ai sistemi solari da amministrare e le multiple flotte da coordinare non spezzano il ritmo della campagna, che continua a procedere con i ritmi serrati dettati dalle missioni critiche e dal crescente livello di Urgenza nel completarle. A parte l’interfaccia meno “chiara” rispetto al predecessore, frutto di scelte di design avventate, e una percepibile mancanza di varietà nel tipo di obiettivi affrontabili nelle battaglie normali (non mi mancano assolutamente le missioni scorta, intendiamoci) l’esperienza complessiva risulta molto coinvolgente, grazie anche ai diversi approcci alla gestione della campagna delle razze proposte al lancio. A proposito di queste ultime, ci auguriamo che ne arrivino altre nel prossimo futuro incentrate sulle altre razze coinvolte, a iniziare dal Chaos, assente ingiustificato se consideriamo che proprio la Tredicesima Crociata Nera di Abaddon è il catalizzatore degli eventi narrati nel gioco.
Malgré toute l’ambition du monde qu’a pu avoir Tindalos Interactive sur Battlefleet Gothic : Armada 2, force est de constater que le soft est un chouïa en deçà de son prédécesseur. On peut cependant saluer la prise de risques des développeurs, qui ont revu leur copie sur l’aspect tour par tour qui est concrètement grisant, mais surtout par la fait de pouvoir enfin simuler diverses batailles. Mais en définitive, les mécaniques instaurées tournent vite en rond à cause d’objectifs relativement répétitifs, mais également une interface assez confuse qui pourra perdre le joueur les premières heures de jeu, inondé aussi par la vague de didacticiels. On pestera aussi sur une absence de personnalisation poussée de nos flottes mais surtout d’une partie STR doté de batailles devenant vite brouillonnes. En revanche, ces dernières offrent un côté tactique et très technique plaisants avec un gameplay différent à chaque faction, mais aussi quelques nouveautés franchement bienvenues. La direction artistique en met encore plein la vue avec plus de détails, et sa durée de vie est juste colossale entre les trois campagnes et le multijoueur, classique dans son approche, mais efficace. Dans l’absolu, Battlefleet Gothic : Armada 2 reste cependant un STR relativement solide au mépris de ses changements majeurs, et il est certain que les fans hardcore de Warhammer seront aux anges. Pour sûr, le titre ne sera pas à mettre entre toutes les mains étant donné son côté très technique et stratégique dans tous ses aspects.
Cumple con las expectativas de lo que es un buen juego, tiene calidad y no presenta fallos graves, aunque le faltan elementos que podrían haberlo llevado a cotas más altas.
Battlefleet Gothic: Armada 2, nonostante le critiche che gli abbiamo mosso nel corpo della recensione, è un buon titolo, addirittura ottimo se si considera l'universo che va ad esplorare: si tratta probabilmente di uno dei migliori utilizzi della licenza di Games Workshop. Il rispetto e la cura, non solo artistica, con cui gli sviluppatori hanno trattato i personaggi di Warhammer 40,000 è uno dei motivi di vanto di questa produzione. Oltre a tutto questo è rimarchevole anche la profondità tattica, malgrado qualche inevitabile problema di bilanciamento che si spera possa essere risolto con delle patch. Purtroppo l'impressione è che la troppa carne al fuoco abbia distratto gli sviluppatori che sono scivolati su alcune bucce di banana. Avremmo preferito un'unica campagna, magari un po' più variegata, e un supporto multiplayer più strutturato. Le poche modalità e l'esiguo numero di partecipanti lasciano un senso di potenziale inespresso.
Battlefleet Gothic : Armada 2 est une belle surprise et respecte ses engagements, à savoir proposer un jeu plus vaste, plus varié et plus épique que le premier épisode. On saluera au passage un scénario bien ficelé pour lier les campagnes entres elles, très respectueux de l'univers de Warhammer 40.000 et de ses fans. Clairement, on ne se moque pas de nous et on nous propose une vraie histoire qui densifie le background déjà gargantuesque de la licence. Le gros point noir concerne la clarté générale du jeu et de ses divers menus, qui rendent brouillons les affrontements lorsque trop d'unités sont à l'écran.
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