Notes de presse

• XBOX
• 7.5 / 10
• Italie

• PS2
• 16 / 20
• France

• PS2
• 6.8 / 10
• États-Unis

• NGC
• 8 / 10
• France

• PS2
• 16 / 20
• France

• GBA
• 98%
• France

• PC
• 17 / 20
• France

Confier la meilleure série du jeu d'aventure au studio le plus en forme du moment (Ubi Montreal), c'est un peu jouer la carte de la sécurité en s'assurant d'un produit final de qualité. C'est exactement ce qu'il se passe ici : Myst 4 offre une expérience de jeu rarement atteinte en termes d'immersion dans un monde virtuel grâce à une surenchère technique parfaitement maîtrisée. Pour être tatillon, on peut reprocher à ce quatrième volet de grignoter sur notre imaginaire en nous imposant une certaine vision des choses au travers de l'amulette magique, mais ce serait bouder le plaisir de retrouver la série plus belle que jamais.

• PS2
• 10 / 10
• France

• PS2
• 7 / 10
• France

• PS2
• 4 / 5
• États-Unis

• PS2
• 9 / 10
• États-Unis

• PS2
• 17 / 20
• France

Lorsque nous avions consacré une vingtaine de pages à Star Ocean 3 lors de sa sortie en version japonaise, la distribution du jeu en Europe était encore hypothétique. Alors imaginer qu'un joueur friand de RPG puisse passer à côté d'une sortie aussi événementielle me paraît inconcevable. Tri-Ace nous offre là un titre bourré de bonnes idées, à l'ambiance enchanteresse et dramatique et doté d'une progression extrêmement riche et prenante. Que dire de plus sinon que vous avez devant vous la possibilité de passer une cinquantaine d'heures de jeu mémorables dans un univers passionnant qui n'attend qu'un geste de votre part pour vous dévoiler ses trésors.

• XBOX
• 14 / 20
• France

Ressemblant très fortement à son prédécesseur, ce nouveau Rocky se montre aussi sympathique sur le premier mais cette fois, il a une concurrence rude en matière de boxe. On le recommandera donc plus particulièrement aux fans de la trilogie qui seront ravis du nouveau mode carrière et de ses 3 héros. A noter, la regrettable annulation du mode online.

• PS2
• 14 / 20
• France

Ressemblant très fortement à son prédécesseur, ce nouveau Rocky se montre aussi sympathique sur le premier mais cette fois, il a une concurrence rude en matière de boxe. On le recommandera donc plus particulièrement aux fans de la trilogie qui seront ravis du nouveau mode carrière et de ses 3 héros. A noter, la regrettable annulation du mode online.

• PS2
• 17 / 20
• France

Digne successeur d'un grand frère peu avare en qualités, ce Def Jam : Fight For NY remplit fort bien son contrat en proposant un divertissement constant, original et de qualité. Renouvelant le jeu de combat sans révolutionner profondément la série, ce nouvel opus se pose comme un fer de lance fascinant de la gamme EA Games. Un choix qui ne peut que passionner, et qui sera à n'en pas douter dans peu de temps au creux de vos ludothèques. Pour finir après ces compliments, il serait juste intéressant que la prochaine fois EA revoit le statut de la gente féminine, assez caricaturale dans ce titre.

• PC
• 10 / 20
• France

On prend les mêmes et on recommence. Certes on trouve une ou deux nouveautés dans Port Royale 2 mais voilà qui est bien maigre comparé au fait qu'Ascaron nous ressert tout de même presqu'à l'identique un titre déjà peu convaincant il y a plus de 2 ans. Toujours aussi rébarbatif et lourdaud en dépit d'un potentiel une fois de plus mal exploité. En raison de petits soucis techniques, certains sreenshots ci-contre proviennent de l'éditeur.

• NGC
• 8 / 10
• Allemagne

Herrje! Wenn nur alles bei Def Jam Fight for New York so gewaltig wäre wie Präsentation, Optik und Soundkulisse. Doch auch die famose Atmosphäre, die durch klasse Sprachausgabe, passende Musik, eine nette Story, aufwändige Figurenmodelle und schnieke Animationen gebildet wird, kann die unterdurchschnittlichen Kampfmechaniken nicht verschleiern. Gerade in der wichtigen Anfangsphase hat man einfach zu wenige Grund-Schläge zur Verfügung, um sich wirklich in das Spiel hineinzufinden. Die gut gelungene Interaktion mit Umgebungen und Zuschauern kann dies zwar wieder etwas abmildern, doch unter dem Strich bleibt man in punkto Schlagvielfalt weit hinter der Konkurrenz zurück. Mit zunehmendem Spielverlauf kann man sich zwar neue Kampfstile aneignen, doch es bleibt ein fader Beigeschmack. Zudem hat man bei der Minimal-Steuerung nie wirklich das Gefühl, voll und ganz Herr der Lage zu sein, so dass manche Aktionen zufällig erscheinen. Auf Grund des durchweg gelungenen Hip-Hop-Rivalitäten-Gefühls durchaus empfehlenswert, doch als Prügler an sich etwas hinter dem Genrestandard.

• PS2
• 7 / 10
• France

• PC
• 10 / 20
• France

Au final, La Momie n'a pas énormément d'arguments en sa faveur. Hip nous sert un jeu pas vraiment passionnant, pas vraiment beau. En même temps, la plupart de ses défauts ne sont pas insurmontables, c'est simplement qu'on s'ennuie. Mais pour 20 euros, on n'allait pas demander la lune.

• PC
• 7.5 / 10
• Allemagne

Ich habe Battle Isle geliebt. Ich habe Advance Wars verschlungen. Jetzt hat Domination zugeschlagen! Bis tief in die Nacht brüte ich über meinen Zügen, um in der Online-Rangliste vordere Plätze zu erobern – selbst World of WarCraft fristet während dieser Grübelei ein Schattendasein. Das rundenbasierte Strategiespiel der Weißrussen unterhält auf gutem Niveau: egal ob Kulisse, Truppenvielfalt, Verbündetenplanung oder Bedienkomfort. Und im Gegensatz zu so manchem KI-Totalausfall der Echtzeit-Kollegen hat man es hier mit knackigen Gegnern zu tun, die schwache Züge gnadenlos ausnutzen – Schach lässt grüßen. Auch die Truppen können dank der coolen Mechs, der schwimmenden Kampfplattformen und der Transporter überzeugen. Allerdings hätte ich mir deutlichere Zusätze wie taktisch relevantes Wetter oder Tarnungsboni in Wäldern gewünscht. Außerdem vermisse ich gerade in der Kampagne immer noch dynamische Durchbrüche sowie Erfahrungspunkte, um nicht alle Einheiten gnadenlos zu verheizen. Hinzu kommen kleine militärische Inkonsequenzen: Wieso können Bomber z.B. Hubschrauber bekämpfen, aber keine Hangars attackieren? Die neue Story ist trotz lobenswerter deutscher Sprachausgabe zwar eine kitschige Enttäuschung, dennoch kommen Einzelspieler aufgrund der neuen Spezialeinheiten und der vielen Spielmodi auf ihre Kosten – und das für weit über 150 Stunden. Letztlich überzeugt Domination aber vor allem im Online-Bereich, denn die Rangliste lockt mit Auszeichnungen, die E-Mail-Züge garantieren ruhiges Planen und man zahlt keine monatlichen Gebühren. Wer auf lange Sicht taktieren will, sollte zugreifen!

• GBA
• 8.3 / 10
• États-Unis

• PC
• 66%
• Royaume-Uni

• PC
• 8.9 / 10
• États-Unis

• PS2
• 4.9 / 10
• États-Unis