Notes de presse

• SNES
• 96%
• Espagne

• PS2
• 78%
• Espagne

• PS2
• 9 / 20
• France

Yu Yu Hakusho : Dark Tournament est à mettre dans le même bac que Saint Seiya et ce malgré quelques idées astucieuses, comme le mode Token Game, destinées à augmenter la durée de vie. Dommage que la réalisation graphique soit indigne d'une PS2, que le gameplay incite un peu au bourrinage ou que la difficulté soit si mal dosée. Encore une fois, si vous êtes bien décidé à essayer de dénicher ce jeu uniquement destiné à certains pays européens (dont la France ne fait pas partie), ayez en tête qu'il ne mérite pas vraiment que vous dépensiez des sommes folles pour l'acquérir, à bon entendeur...

• PS2
• 7.3 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 7.9 / 10
• États-Unis

• PS2
• 5 / 20
• France

• NGC
• PS2
• XBOX
• 7.5 / 10
• États-Unis

• PC
• 7 / 10
• France

• PS2
• 8.7 / 10
• États-Unis

• PC
• 16 / 20
• France

• XBOX
• 7.4 / 10
• Italie

• PS2
• XBOX
• 7 / 10
• États-Unis

• PS2
• 9 / 10
• Allemagne

Der Wechsel von Acclaim zu EA hat der Crashorgie gut getan. Von Anfang bis Ende durchgestylt, mit famoser Grafik und Geschwindigkeit ausgestattet und spektakuläreren Crashs als je zuvor, übernimmt der Highspeed-Racer nahezu die Spitzenposition im Arcade-Genre. Zwar hat man alle grundlegenden Rennmodi im Einzelspielermodus schon nach sehr kurzer Zeit gesehen, doch die nach und nach freigeschalteten Fahrzeugklassen sorgen schnell wieder für neue Motivation. Und über die Qualitäten des mit mittlerweile über 100 Kreuzungen stark aufgestockten Crash-Modus braucht man seit dem Vorgänger nicht mehr diskutieren. Und dann haben Unfall-Fanatiker ja auch noch die Möglichkeit, sowohl off- als auch online in durchdachten Mehrspieler-Modi das Blech fliegen zu lassen. Und selbst der auf Dauer die Nerven penetrierende Radiosprecher kann den wohlverdienten Award nicht in Gefahr bringen. Die Lernkurve ist nahezu optimal und die Steuerung schnell und direkt, so dass sowohl Hardcore-Fans als auch Rennspiel-Neueinsteiger angesprochen werden. Wenn es einen Racer gibt, den man auch Auto-Hassern empfehlen kann, dann ist es Burnout 3!

• GBA
• 14 / 20
• France

• PS2
• 31 / 40
• Japon

• PS2
• 4 / 5
• États-Unis

• PS2
• 11 / 20
• France

• NGC
• 10 / 20
• France

• PS2
• 13 / 20
• France

Et hop un point de moins pour ce troisième épisode qui tout comme Mutation n'apporte qu'une ou deux nouveautés noyées sous un flot de divers petits problèmes. Le scénario stagne trop, se veut plus ambitieux qu'il ne l'est vraiment et on souffle plus qu'on ne prend du plaisir en jouant à ce titre. Ceci étant, Dot Hack // Outbreak dispose de quelques atouts sympathiques, d'un univers intéressant et de personnages au design soigné. Mais bon dieu, quelle honte de scinder en quatre, un jeu qui aurait tenu sur un DVD, et qu'on ne me parle pas du prétendu cadeau en la présence des OAV de Liminality !

• GBA
• 17 / 20
• France

• GBA
• 16 / 20
• France

Camelot nous a laissé trois mois pour nous entraîner sur la version GameCube de Mario Golf. Trois mois pour peaufiner notre swing, pour acquérir la science du timing et mettre à genoux les champions du jeu. A présent, il est temps de tester nos acquis sur la version portable, une version qui surprend par l'ajout d'une dimension RPG et par son évidente efficacité.

• NGC
• 11 / 20
• France

Bien plus réussi que son prédécesseur risible, Terminator 3 : The Redemption se montre à nous comme un jeu honnête, qui sans révolutionner le genre du titre d'action, permet de passer un bon moment, et développe des idées intéressantes. Un constat qui pourra toutefois se trouver amoindri du fait de l'énorme difficulté présente dans le soft. Seuls les plus acharnés y trouveront de quoi justifier le fond. Cela est dommageable, car on sent bien que le tout pourrait aller plus en avant. Espérons pour la prochaine fois.

• XBOX
• 8.6 / 10
• Italie

• PS2
• 16 / 20
• France