Notes de presse

• GBA
• 14 / 20
• France

• SNES
• 92%
• Espagne

• PS2
• 12 / 20
• France

• PS2
• 6.4 / 10
• États-Unis

• PS2
• 3 / 5
• États-Unis

• XBOX
• 5.3 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 6 / 10
• France

• XBOX
• 5 / 10
• France

• XBOX
• 4 / 10
• France

• NGC
• 5 / 10
• France

• XBOX
• 7.9 / 10
• États-Unis

• PS2
• 6 / 10
• France

• GBA
• 17 / 20
• France

• PS2
• 5 / 10
• France

• GBA
• 16 / 20
• France

Camelot nous a laissé trois mois pour nous entraîner sur la version GameCube de Mario Golf. Trois mois pour peaufiner notre swing, pour acquérir la science du timing et mettre à genoux les champions du jeu. A présent, il est temps de tester nos acquis sur la version portable, une version qui surprend par l'ajout d'une dimension RPG et par son évidente efficacité.

• PS2
• 16 / 20
• France

Le scénario instaure malaise et surprises macabres même si la fin du jeu est assez décevante. Certains joueurs aimeront le surplus d'action, d'autres non, et si je fais partie de la seconde catégorie, je confirme que cet aspect ne nuit pas vraiment à l'éclosion d'une histoire intéressante qui, bien que moins développée que celle de Silent Hill 2, demeure envoutante. La construction du jeu est perfectible mais apporte une durée de vie un peu plus conséquente et la maniabilité a été revue et ne souffre pas de gros défauts. The Room clôt donc la série d'une bien belle façon et si vous entendez quelques esprits malins hurler contre la perle noire de Konami, ne reculez pas, prenez votre courage à deux mains, préparez-vous à façonner la réalité à votre convenance et rentrez de plain-pied dans une obscurité si... reposante.

• XBOX
• 16 / 20
• France

Le scénario instaure malaise et surprises macabres même si la fin du jeu est assez décevante. Certains joueurs aimeront le surplus d'action, d'autres non, et si je fais partie de la seconde catégorie, je confirme que cet aspect ne nuit pas vraiment à l'éclosion d'une histoire intéressante qui, bien que moins développée que celle de Silent Hill 2, demeure envoutante. La construction du jeu est perfectible mais apporte une durée de vie un peu plus conséquente et la maniabilité a été revue et ne souffre pas de gros défauts. The Room clôt donc la série d'une bien belle façon et si vous entendez quelques esprits malins hurler contre la perle noire de Konami, ne reculez pas, prenez votre courage à deux mains, préparez-vous à façonner la réalité à votre convenance et rentrez de plain-pied dans une obscurité si... reposante.

• NGC
• 11 / 20
• France

Bien plus réussi que son prédécesseur risible, Terminator 3 : The Redemption se montre à nous comme un jeu honnête, qui sans révolutionner le genre du titre d'action, permet de passer un bon moment, et développe des idées intéressantes. Un constat qui pourra toutefois se trouver amoindri du fait de l'énorme difficulté présente dans le soft. Seuls les plus acharnés y trouveront de quoi justifier le fond. Cela est dommageable, car on sent bien que le tout pourrait aller plus en avant. Espérons pour la prochaine fois.

• XBOX
• 9 / 20
• France

Alors qu'on tenait un jeu fort sympathique, le portage console de Vietcong est un pur ratage. L'IA ne vaut pas tripettes, la restructuration des missions n'a fait que les rendre ennuyeuses et les deux éléments combinés ont fait disparaître toute l'intensité et l'immersion du jeu. Je m'en vais soigner mon dégoût en m'écoutant Axis Bold As Love moi, na !

• PS2
• 8.6 / 10
• États-Unis

• PS2
• 88%
• Espagne

• XBOX
• 15 / 20
• France

• PS2
• 7.8 / 10
• États-Unis

• PS2
• 7 / 10
• Allemagne

Conflict: Vietnam hat bei mir gleich von Anfang an ein Wechselbad der Gefühle ausgelöst: »Mmmm, toller Soundtrack. Uuuuh, was sind denn das für hässliche Gesichter? Hey, coole Umgebung! Wääääääh, hat das Tutorial denn gar kein Ende? Hoi, gute Sprachausgabe. Neeein, wer hat denn die Steuerung verbrochen?« – und das war gerade mal das Ende der ersten Mission! Danach war ich aufgrund des gemäßigten Tempos und der spannend designten Aufträge wirklich guter Dinge, aber es folgte doch nur ein Absturz. Liebe Pivotals: Die Unart der endlos nachwachsenden Gegner-Scharen fällt mittlerweile unter die Genfer Spielekonventionen, und wird mit »Wok WM« nicht unter zwei Wochen bestraft! Ernsthaft: An einigen Stellen hatte ich einfach keine Lust mehr, viertelstundenlang von mehreren Seiten unter Beschuss zu stehen, bis mir die Munition aus- und die Laune verging. All die Spannung, all die Motivation, all die aufgrund der gewöhnungsbedürftigen Steuerung heruntergeschluckte Wut wird durch diesen Design-Klops heftig in Mitleidenschaft gerissen. Wer damit kein Problem hat: Viel Vergnügen im Dschungel! Ich für meinen Teil widme mich wieder dem Wüstenausflug, mit dem hatte ich wesentlich mehr Spaß.