IGN France

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• 6 / 10
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Derrière ce road trip au design Comics se cache une histoire à la fois critique de nos sociétés, mais également du regard des autres et de la quête de soi. Si une de ces thématiques ne vous intéresse pas ou pire encore vous refroidit au plus haut point, passez votre chemin. Car Dustborn ne pourra captiver autrement que pas son histoire tant sa technique n'est pas au niveau et son gameplay, bien que diversifié, ne brille sous aucune de ses formes. Il restera un bon jeu narratif, qui ne marquera malheureusement que celles et ceux se retrouvant dans l'évolution de ces personnages.

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• 7 / 10
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Difficle d'être incroyablement excité par Dungeons of Hinterberg, mais pas question d'être déçu ou ennuyé non plus. Le charme du jeu, sa difficulté bien maitrisée, la variété du gameplay ou encore la bonne inertie de son scénario avec ses thèmes en font un titre très agréable à jouer sur une quinzaine d'heures, d'autant qu'il se montre original dans son décor et son message. Peut-être en tirerez vous une leçon de vie ou deux ? C'est l'heure de lâcher le Steamdeck deux secondes et d'aller faire une balade.

• PS5
• 7 / 10
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On attendait énormément de Flintlock The Siege Of Dawn et bien qu’imparfait, on a apprécié notre périple en compagnie de Nor et d’Enki. Le socle du gameplay est connu, et assez simpliste dans le genre Souls mais ces ajouts maison lui procurent suffisamment de cachet pour qu’on adhère à la proposition. Le voyage reste quand même trop court à notre goût et on aurait aimé un peu plus de variété sur la fin de la balade. Peut-être est-on un peu trop gourmand à la vue de son statut de AA. Disponible à petit prix, et en plus dans le GamePass (pc comme console), aucune excuse pour ne pas découvrir cette production fraiche et originale.

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• 8 / 10
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Kunistu-Gami est une proposition presque indé supportée par un géant comme Capcom. Et au delà de savoir si c’est bien ou pas, on peut déjà louer l’initiative de la part du studio japonais. Mais en plus, cette proposition fonctionne, combinant habilement un jeu d’action compétent avec un bon tower defense, le tout enrobé dans un décor japonisant convaincant et maitrisé. Bref, c’est la bonne surprise de l’été.

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Spy X Anya Operation Memories est un voyage agréable, où l'on retrouve l’ambiance qu’on adore de l’animé et du manga, et qui vise aussi bien les plus jeunes que les plus âgés grâce à une expérience finalement simple, mais efficace. Les adeptes de la licence apprécieront les nombreux clins d’œil et le fan service. À déguster doucement, pour éviter l’effet de routine qui pourrait débarquer après de trop longues sessions.

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• 7 / 10
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Le premier "nouveau" Monkey Ball depuis plus de dix ans fait le café, respecte ses aînés et injecte de nouvelles mécaniques cohérentes et sans fioritures. Les quelques à-côté apportent un bonus bienvenu, mais l'ensemble est descendu par un bilan technique qui se fait largement planter par la Gamecube. Dommage !

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• 8 / 10
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Tout au long de l’aventure, Still Wakes The Deep parvient habilement à alimenter la tension qui guide le joueur. Une intrigue très bien narrée, des personnages attachants, des moments d’émotions, un gameplay classique mais parfaitement maitrisé, une entité menaçante, et un énorme travail fait sur l’immersion : le jeu de The Chinese Room a tout ce qu’il faut (ou presque) pour répondre aux attentes des plus fervents fans de survival-horror.

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• 10 / 10
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Si From Software a encore beaucoup de progrès à réaliser en ce qui concerne l’ergonomie de leurs productions ou encore sur la partie strictement technique avec un jeu qui souffre encore sur PC de quelques stutterring ici et là, nous avons déjà sanctionné cet aspect en 2022 lors de notre critique d’Elden Ring et nous ne sommes pas défenseur de la double peine. D’autant que des progrès ont été fait sur la partie ergonomie du jeu avec une carte bien plus lisible et contenant beaucoup plus d’informations qu’auparavant. Même si cela doit rester un chantier prioritaire pour les développeurs japonais, Shadow of the Erdtree reste époustouflant en termes de qualité et de quantité. Il est la cerise parfaite sur le gâteau déjà hors pairs qu’était Elden Ring.

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• 6 / 10
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Astor a ce je ne sais quoi qui rappellera un nombre infini d'autres jeux avant lui. À la fois un titre d'exploration/aventure/action en empruntant des touches de plateformer, il sera vécu différemment par les joueurs. Certains le verront comme une pâle copie sans saveur alors que d'autres le traverseront avec plaisir en picorant ça et là les références de ses aînés. Toutefois, le jeu parvient à extirper un début d'univers rien qu'à lui que nous souhaitons revoir par l'intermédiaire d'un nouvel opus à l'avenir. Ce sera l'occasion pour le titre de C2 Game d’améliorer son système de combat encore perfectible ainsi que la trop forte présence de ses affrontements, et une linéarité enfin parfois trop flagrante.

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• 9 / 10
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La Forme Finale est tout ce dont un fan de Destiny aurait pu rêver. Une destination marquante avec plein de trucs à faire, une très bonne campagne, une histoire poignante, un raid déjà culte, des nouveaux pouvoirs grisants. Bungie réussit presque miraculeusement à offrir une conclusion satisfaisante à sa première saga et on ne peut qu’espérer que ce niveau de qualité, que le studio a historiquement du mal à maintenir sur le très long terme, sera au rendez-vous pour la suite.

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• 8 / 10
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ous ses allures de jeu indé sans prétention, Hypercharge Unboxed délivre une expérience réussie axée fun immédiat, dans son aspect le plus simple, mais au final des plus efficaces. On a du contenu à la pelle, on customise nos parties comme bon nous semble et on se lance dans des joutes arcade explosive en boucle. Orienté multi, on apprécie pouvoir s’y adonner jusque quatre sur une seule et même console. Depuis sa sortie Switch, le titre s’est bonifié et propose aujourd’hui une mouture Xbox Series solide et son prix maîtrisé (26,99 euros) est clairement un atout.

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• 9 / 10
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En definitiva, Hellblade 2 es toda una experiencia. Gráficamente hablando es uno de los juegos más brutos y espectaculares que puedes encontrar en el mercado. En sus mejores momentos es una de esas aventuras que te deja sin palabras; que te maravillan hasta el punto de soltar incluso alguna exclamación de asombro. Y luego está Senua, que una vez más te roba el corazón. Su viaje, es tu viaje. Por eso me da tanta pena que sea tan continuista. Después de todos estos años, Hellblade 2 peca de las mismas carencias que ya tuvo el original, entorpeciendo a veces el propio curso de la historia con puzles y caminatas interminables que no aportan absolutamente nada a la experiencia. Ninja Theory ha pegado un salto de gigante a nivel técnico, pero ha perdido la oportunidad de llevar Hellblade un paso más allá, también en lo jugable. Es un viaje que marca, que emociona, y que merece la pena ser vivido; pero Hellblade 2 es también una pequeña decepción. Y en esa dualidad, entre la emoción y la decepción, me he movido hasta su mismo desenlace.

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• 8 / 10
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Le moteur GEM fait une fois de plus des miracles, mais le tour de force de Best Way ne s’arrête pas là. Les joueurs ont trop souvent reproché à Best Way de resservir la même soupe que les opus précédent en un peu plus beau, et bien cette fois Men of War 2 déroge à la règle en proposant un RTS généreux en contenu et en ajouts de gameplay dès sa sortie. Des heures de fun en solo comme en multi avec ses potes ! Même si le contexte est plutôt classique, tout comme le gameplay qui sait pourtant s'enrichir, il est peut-être temps de redonner une chance à cette licence qui transforme ses efforts avec ce nouvel opus.

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• 7 / 10
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Nul doute que votre appréciation du titre dépendra de votre attachement au mangaka nous ayant quitté en mars dernier. Sand Land a ce je ne sais quoi d'une petite sucrerie vidéoludique. Loin des titres se prenant trop au sérieux, ou voulant toujours surenchérir dans un domaine quelconque, le jeu parvient à délivrer l'essence de l'oeuvre de Toriyama, tout en y ajoutant une autre partie de l'histoire entre-aperçue dans la série animée. Si Sand Land se permet certaines libertés, c'est pour rendre le tout plus digeste. De même, son gameplay accessible permettra à l'ensemble de la famille de profiter de cette aventure sans frustrer qui que ce soit. Néanmoins, le format monde ouvert couplé avec de nombreux allers-retours futiles accentue le sentiment de répétitivité. De même, et comme expliqué plut tôt, Sand Land reste dans les clous sans jamais chercher à innover, ce qui pourrait frustrer plus d'un joueur espérant plus qu'une simple, mais néanmoins terriblement efficace, adaptation de manga.

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• 7 / 10
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En se basant sur les principes fondateurs de TopSpin 4, cette nouvelle mouture rebrandée 2K25 est une immense réussite sur le plan du gameplay. On va faire simple, le talent des développeurs de Hangar 13 et la passion pour le tennis du game director du jeu, Remi Ercolani, en font tout simplement le meilleur gameplay de Tennis de tous les temps et on y est depuis Pong ! Malheureusement le contenu ne suit pas, et si les efforts en termes de tournois sous licence, de marques présentes ou encore de réduction drastique de l’influence de la monnaie virtuelle sont d’excellents points pour TopSpin 2K25, certains aspects nous laissent finalement ce goût amer de jouer à une version early access du jeu. Pas de matchmaking entre amis, un roster d’athlètes extrêmement restreint et une progression en carrière assez mal calibrée indiquent que le jeu n’est pas totalement au point au lancement. Ceci étant, le pillier essentiel de TopSpin 2K25 atteint la quasi perfection, et avec un gameplay aussi réussi, 2K doit entendre le message, soutenez la licence, on arrive bientôt au banger indispensable !

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• 7 / 10
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Avec une direction artistique somptueuse, une bande originale extraordinaire et un scénario profond et riche en rebondissements, Harold Halibut est un OVNI dans le paysage vidéoludique actuel. Si toutes et tous ne trouveront pas chaussure à leur pied dans ce jeu au gameplay si minimaliste qu'il s'apparente plus à un film interactif, et souffrant de quelques redondances, il pourrait convaincre celles et ceux se laissant porter par le message et l'univers atypique de ce titre qui nous rappelle à nouveau que le jeu vidéo peut être un objet culturel et artistique par moment. Mais Harold Halibut ne plaira pas à tout le monde ; faut-il encore adhérer à cet univers décalé et absurde et aux propos abordés sans quoi votre expérience risque d'être extrêmement fade.

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• 5 / 10
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Avec un rendu graphique 3D qui déstabilisera beaucoup de fans, mais en bénéficiant d'un doublage officiel et de haut vol, que ce soit en VO ou en VF ; un format se rapprochant du roguelite, mais avec son contenu relativement faible ; et son gameplay (trop) simple et accessible gâché par une IA des alliés en solo aux fraises, South Park : Snow Day est un jeu qui ne conviendra qu'aux fans désireux d’acquérir tout ce qui touche à la licence de Trey Parker et Matt Stone. Son prix abordable compensera cependant la faible prise de risque du studio pour ce titre bien loin de ces prédécesseurs, Le Bâton de la Vérité ou Annale du Destin. Soyons honnêtes, Snowday aurait pu être pire que cela, il s'en sort finalement moyennement bien.

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• XSX/S
• 8 / 10
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Avec Planet Zoo, Frontier Developments propose surement sa formule la plus complète et addictive. Les heures défilent sans qu’on ne s’en rende compte, et on éprouve un réel plaisir à améliorer notre parc. Certes, la politique tarifaire est un peu limite et la mouture console connait quelques (minimes certes) ralentissements, mais cela n’altère que très peu notre ressenti global. Cette version console permet enfin à un plus grand nombre d’entre nous de profiter de cette perle qu’est Planet Zoo.