Notes de presse

• PS5
• 7.5 / 10
• Italie

F1 25 è tutto ciò che un appassionato di Formula 1 possa desiderare: per la stagione 2025 l’attenzione di Codemasters si è focalizzata sul ritorno di Braking Point 3 e sulla Carriera Scuderia, evoluzione 2.0 del vecchio My Team. Il comparto grafico e sonoro si mantiene su ottimi livelli, con un lavoro di rinnovamento apprezzabile su alcuni circuiti e un esperimento "reverse" che si è rivelato positivo. Il modello di guida sim-cade ha virato verso quello dell'apprezzato F1 23 per soddisfare le richieste della community, ma il motore fisico e la struttura di gioco restano pressoché invariati con tutti i pro e contro del caso. F1 25 resta un'esperienza godibilissima per i fan di Leclerc, Norris, Piastri, Russell e compagni. Iniziano però a mancare nuove idee, mentre diverse modalità e aspetti del gioco cominciano a mostrare i segni del tempo. Questo gioco segna anche la chiusura di un ciclo per Codemasters: tra il prossimo cambio di regolamento del 2026 e la necessità di ridefinire il proprio assetto all'interno di EA, il futuro della serie rimane un punto interrogativo.

• PS5
• 7 / 10
• États-Unis

EA Sports F1 25 is overall another rock solid entry in the annual franchise. The driving is reliably good fun and impressively flexible, and the return of Braking Point is a welcome one, even if it's not the best story ever told. A robust set of modes means there's something for everyone, and it looks and sounds great on the whole. One or two career mode changes might ruffle some feathers, and navigating the game can feel slow, but by and large it's a podium finish for this F1 racer.

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

• PC
• PS4
• XONE
• PS5
• XSX/S
• 16 / 20
• France

Même si on retrouve la patte graphique et quelques zones familières, on sent toutefois un léger manque de prise de risque artistique, un bestiaire quelque peu recyclé et des menus qui n’ont pas bougé d’un iota. Côté gameplay, l’équilibrage des classes demande encore des ajustements et les événements mondiaux comme les raids, les terrains rares ou les cataclysmes restent trop rares pour casser durablement la routine. Le système de communication se résume à un ping pas toujours précis, et tenter l’aventure en solo frôle l’exploit, tant la difficulté et la nécessité d’avoir une équipe soudée sont élevées. Pourtant, le jeu parvient à créer une forte addiction : même quand une run vire au désastre, on a envie de retenter sa chance pour profiter de la courbe de progression de notre personnage et de la fierté de venir à bout d’un boss. Nightreign ne séduira pas tous les joueurs, sa sévérité et ses petits défauts risquent d’en frustrer plus d’un, mais il apporte une bouffée d’air frais au studio. C’est un bon début, dirons-nous.

• PC
• 16 / 20
• France

Comme souvent avec la licence F1 estampillée EA et Codemasters, les opus se suivent mais ne se ressemblent pas vraiment dans le contenu. Car cette année, Point de Rupture est de retour et le prochain film F1 sont mis en avant pour relancer l'intérêt scénarisé de la saga. De bons apports ponctuels, même si pour le long terme, on retiendra plutôt le mode Carrière qui va un peu plus loin que les années précédentes. Même s'il ne renouvelle pas vraiment son gameplay et son rendu graphique, F1 25 reste tout de même solide pour une simulation officielle et abordable pour les néophytes.

• SWITCH
• 9 / 10
• États-Unis

• PS5
• 8 / 10
• Australie

Taken as intended, Elden Ring Nightreign is a thrilling slice of contemporary multiplayer action. It’s not entirely bereft of fresh juice, and gives me immense hope for The Duskbloods as a more fully realised push into genre experiment. But it’s also the first time I’ve witnessed FromSoftware craft something so blatantly uninterested in its own artistic merits or potential. A studio that has reached such heights through its unyielding commitment to weaving together narrative and systems, theme and formalism, now bent to breaking point for the sake of another of these games on the market. Gameplay is king here, artists made toymakers in its court.

• SWITCH
• 80%
• Espagne

• XSX/S
• 81%
• Espagne

• PC
• PS5
• 7 / 10
• États-Unis

When Elden Ring Nightreign is played exactly as it was designed to be played, it’s one of the finest examples of a three-player co-op game around. The eight character classes are each fun to use and feature a surprising amount of depth despite their limited movesets, the new Nightlord boss battles are among the best FromSoft has ever crafted and make the most of the three-player dynamic, and the fast-paced, race-against-the-clock nature of each run leads to exciting moments of split-second decision making and frantic rushes to try and finish up a fight before the circle closes in. But a lack of crossplay, duo matchmaking, and built-in communication tools makes it hard to create the conditions needed to have this kind of experience unless you’re bringing two real-life friends on every run, and if you want to just play by yourself, I can’t recommend it because of the poor solo mode balancing. All of this amounts to an ambitious spin-off that’s exhilarating when you’re able to create the proper conditions, and one that quickly flips to incredibly frustrating when you’re not.

• PC
• États-Unis

• PC
• PS4
• XONE
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• Australie

• PC
• PS5
• 7 / 10
• France

• PC
• PS4
• XONE
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• France

Elden Ring Nightreign est un pari audacieux de FromSoftware, une relecture intense et resserrée de son magnum opus de 2022 qui tranche radicalement avec les envolées contemplatives de Shadow of the Erdtree. Pensé comme un standalone multijoueur nerveux, Nightreign transforme la majesté ouverte de l’Entre-Terre en une arène de survie procédurale haletante, avec ses runs de trois jours, ses boss imposants, et sa synergie d’équipe essentielle. Le concept fonctionne à merveille sur le papier, et quand tout s’aligne, il offre des moments de bravoure collective inédits dans l’univers FromSoft. Mais c’est justement là que le bât blesse : sans crossplay ni chat vocal, l’expérience coopérative devient rapidement chaotique et frustrante, surtout en matchmaking. Trop souvent, on subit plutôt qu’on ne joue, faute de pouvoir coordonner ses actions. Et dans un jeu où chaque minute compte, cette absence de communication tue l’intensité qu’il cherche à bâtir. Nightreign n’est donc pas une extension ni une suite, mais une proposition à part entière, un roguelite à la sauce Souls qui fascine autant qu’il irrite. Un joyau brut, plein de promesses… mais qui demande une équipe soudée (et des app tierces) pour révéler tout son éclat.

• PC
• 8 / 10
• France

Elden Ring Nightreign est définitivement un jeu à part dans le catalogue de FromSoftware. Malgré une exigence manifeste principalement orientée pour de la coopération à trois joueurs, on a légitimement passé de nombreux moments mémorables sur ce spin-off « Rogue-Lite Survie » d’une manière globalement réussie et franchement addictive, malgré d’évidents soucis d’équilibrage et des choix douteux pour un titre centré sur le multijoueur. Pour en apprécier pleinement toute la saveur, nous ne pouvons cependant que vivement vous conseiller d’y jouer avec un groupe d’amis. Si vous êtes un joueur principalement solo, à moins d’être un véritable dieu des Souls-like, il est clairement préférable de passer votre chemin, ou d’en souffrir amèrement les conséquences.

• PC
• PS4
• XONE
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• France

Nous avons été assez déroutés par cette première expérience sur Nightreign. La dynamique globale du jeu est si différente de ce à quoi FromSoft nous a habitués depuis une quinzaine d’années qu’il faut un peu de temps pour prendre ses marques, et certaines facettes du jeu semblent encore un peu brutes de décoffrage. On pense notamment à l'absence de chat vocal, qui complique fortement la coopération dans un jeu où elle est pourtant essentielle. Il nous reste aussi de nombreuses questions par rapport aux mécaniques de randomisation – un point crucial pour la longévité des jeux construits sur ce modèle. Après quelques parties, l’exploration de Limveld commençait déjà à devenir un tantinet redondante, surtout lors de nos parties en solo. Mais nous n’avons pas encore eu le temps d’explorer toutes les mécaniques additionnelles qui se débloquent au fil de la progression, et nous sommes curieux de voir dans quelle mesure elles contribuent à diversifier l’expérience. Et au-delà du manque de maturité compréhensible dont souffre Nightreign, il faut admettre que le potentiel de cette boucle de gameplay est immédiatement évident. C’est une vraie bouffée d’air frais pour les vétérans des Dark Souls et d’Elden Ring. Le fait de pouvoir enfin profiter de ces mécaniques si jouissives dans un jeu spécifiquement conçu pour le multijoueur met décidément l’eau à la bouche, et il nous tarde déjà de découvrir tout ce que le jeu a à offrir.

• PC
• 80%
• France

• SWITCH
• 7 / 10
• Australie

Despite the game’s issues, many of which I haven’t the space to detail, I could not help but keep playing. Although it feels like Guardians of Azuma would have benefited from a bit more development time, there was enough satisfaction and enjoyment in the steady cadence of explore-build-socialise-rinse-repeat that I simply didn’t want it to end. In good news for anyone sharing these sentiments, to a certain extent it doesn’t end; you can continue to explore, expand your villages, and develop your relationships in the post-game. The main gameplay components fit together like jigsaw pieces, and, if you can look past the issues, on the whole it’s a bit of an unpolished gem – multifaceted, perhaps a little scratched up, but ultimately with some value under those surface imperfections.

• XSX/S
• 90%
• Espagne

• SWITCH
• 9 / 10
• Espagne

Rune Factory: Guardians of Azuma ha sido mi primera toma de contacto con la saga, y me ha enamorado tanto como su maravilloso elenco de personajes. Estar de chill gestionando las ciudades y entablando tanto amistades como robando corazones durante la mañana, antes de salir a la acción para salvar el mundo, es una mezcla tan brillante como adictiva. Siempre querremos pasar un día más en Azuma, logrando al fin enamorarnos de ese personaje que nos lleva poniendo ojitos desde que lo conocimos y explorando un poco más de este maravilloso mundo. Los tres pilares sobre los que se sostiene el juego son excelentes, y da igual si os gustan las granjitas, los dating sim o los RPGs de acción. Rune Factory: Guardians of Azuma es capaz de conquistarnos por cualquiera de estos géneros y convertirse en nuestra próxima obsesión videojueguil. De mis juegos favoritos de lo que llevamos de año, y sólo tengo una pregunta: ¿dónde habías estado toda mi vida, Rune Factory?

• PC
• 7 / 10
• Espagne

F1 25 es mejor que su predecesor, sí, pero Codemasters tiene que ponerse las pilas. La conducción es más satisfactoria que en F1 24, el Modo Mi Equipo brilla con más gestión que nunca y el escaneo con LIDAR de algunos circuitos es genial, pero Braking Point 3 tiene una historia flojísima, F1 World está abandonado y faltan novedades de peso. Es innegable que es divertido y accesible, pero también que es conservador. Si eres muy fan y quieres estar al día, lo disfrutarás. Si no, vuelve a F1 23.

• PC
• XSX/S
• PS5
• 8.3 / 10
• Italie

F1 25 ingrana la marcia ed effettua il sorpasso, segnando un netto passo avanti per la serie di Codemasters, con un comparto tecnico migliorato e un gameplay più simulativo. Tra le novità ci sono un My Team più profondo, il ritorno di Braking Point, l’introduzione dei piloti iconici e una grafica potenziata anche grazie alla tecnologia laser per le piste. Il feeling alla guida è più realistico, l’audio curato nei minimi dettagli, e le novità rendono il gioco una scelta consigliata per ogni fan della Formula 1. Di certo la migliore versione di F1 dal passaggio di testimone a EA Sports.

• XSX/S
• 4 / 5
• Royaume-Uni

Startling realism mixed with clever fantasy elements create one of the most compelling motorsport games of the current gen.

• PC
• XSX/S
• PS5
• 8 / 10
• France

Sans révolutionner la licence, F1 25 continue sa route de l’évolution constante avec un gameplay toujours aussi accrocheur, une technique de pointe et un contenu dantesque. Il ne reste pas grand-chose sur lequel Codemasters pourrait aller plus loin pour approcher de la perfection, hormis pour les joueurs avides de simulation sans concession, F1 restant avant tout un jeu grand public. C’est beau, c’est soigné, c’est bien fini… Bref, F1 25 est l’un des opus les plus complets et fédérateurs de la licence à ce jour.