Notes de presse

• SWITCH2
• 9 / 10
• Italie

• SWITCH
• 9 / 10
• Royaume-Uni

Rune Factory: Guardians of Azuma manages to reinvent itself while still maintaining the bones that make the Rune Factory series feel like itself. It takes bold new strides in unexpected directions that thankfully pay off. Guardians of Azuma is a must-play for Rune Factory fans and would be well-enjoyed by newcomers to the series as well.

• PC
• 9 / 10
• États-Unis

Rune Factory: Guardians of Azuma revitalizes the long-running farming-action RPG franchise with a thoughtfully crafted blend of engaging storytelling, strategic combat, and robust life simulation. Set in the richly imagined eastern land of Azuma, the game delivers a deeply emotional narrative, a charming cast of characters, and refined mechanics that elevate both farming and exploration.

• PC
• 94%
• Japon

• SWITCH
• 7 / 10
• France

Rune Factory Guardians of Azuma se positionne sans mal comme, à mes yeux, le meilleur opus de la série à ce jour. Il séduit par sa boucle de gameplay accrocheuse et sa DA tape-à-l’œil, qui accompagne une histoire bien ficelée, et l'on avale les heures à toute vitesse, perdu dans cet univers solide, jonglant entre missions, gestion du village, dates et combats. Comme je l'ai déjà dit, aucune de ces mécaniques n'est révolutionnaire prise séparément, mais Marvelous a su mélanger tout ceci pour nous offrir un opus 2025 plaisant en tout point. Certes, au fond, il s'agit encore d'un « simlife aventure rpg » comme la maison en propose beaucoup, mais Guardians of Azuma a un petit truc en plus qui fait qu’on l’aime plus quoi qu’il arrive.

• XSX/S
• 8.9 / 10
• États-Unis

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

• PC
• PS4
• XONE
• PS5
• XSX/S
• 16 / 20
• France

Même si on retrouve la patte graphique et quelques zones familières, on sent toutefois un léger manque de prise de risque artistique, un bestiaire quelque peu recyclé et des menus qui n’ont pas bougé d’un iota. Côté gameplay, l’équilibrage des classes demande encore des ajustements et les événements mondiaux comme les raids, les terrains rares ou les cataclysmes restent trop rares pour casser durablement la routine. Le système de communication se résume à un ping pas toujours précis, et tenter l’aventure en solo frôle l’exploit, tant la difficulté et la nécessité d’avoir une équipe soudée sont élevées. Pourtant, le jeu parvient à créer une forte addiction : même quand une run vire au désastre, on a envie de retenter sa chance pour profiter de la courbe de progression de notre personnage et de la fierté de venir à bout d’un boss. Nightreign ne séduira pas tous les joueurs, sa sévérité et ses petits défauts risquent d’en frustrer plus d’un, mais il apporte une bouffée d’air frais au studio. C’est un bon début, dirons-nous.

• PC
• 16 / 20
• France

Comme souvent avec la licence F1 estampillée EA et Codemasters, les opus se suivent mais ne se ressemblent pas vraiment dans le contenu. Car cette année, Point de Rupture est de retour et le prochain film F1 sont mis en avant pour relancer l'intérêt scénarisé de la saga. De bons apports ponctuels, même si pour le long terme, on retiendra plutôt le mode Carrière qui va un peu plus loin que les années précédentes. Même s'il ne renouvelle pas vraiment son gameplay et son rendu graphique, F1 25 reste tout de même solide pour une simulation officielle et abordable pour les néophytes.

• PS5
• 8 / 10
• Australie

Taken as intended, Elden Ring Nightreign is a thrilling slice of contemporary multiplayer action. It’s not entirely bereft of fresh juice, and gives me immense hope for The Duskbloods as a more fully realised push into genre experiment. But it’s also the first time I’ve witnessed FromSoftware craft something so blatantly uninterested in its own artistic merits or potential. A studio that has reached such heights through its unyielding commitment to weaving together narrative and systems, theme and formalism, now bent to breaking point for the sake of another of these games on the market. Gameplay is king here, artists made toymakers in its court.

• SWITCH
• 80%
• Espagne

• XSX/S
• 81%
• Espagne

• XSX/S
• États-Unis

• PC
• PS5
• 7 / 10
• France

• PC
• PS4
• XONE
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• France

Elden Ring Nightreign est un pari audacieux de FromSoftware, une relecture intense et resserrée de son magnum opus de 2022 qui tranche radicalement avec les envolées contemplatives de Shadow of the Erdtree. Pensé comme un standalone multijoueur nerveux, Nightreign transforme la majesté ouverte de l’Entre-Terre en une arène de survie procédurale haletante, avec ses runs de trois jours, ses boss imposants, et sa synergie d’équipe essentielle. Le concept fonctionne à merveille sur le papier, et quand tout s’aligne, il offre des moments de bravoure collective inédits dans l’univers FromSoft. Mais c’est justement là que le bât blesse : sans crossplay ni chat vocal, l’expérience coopérative devient rapidement chaotique et frustrante, surtout en matchmaking. Trop souvent, on subit plutôt qu’on ne joue, faute de pouvoir coordonner ses actions. Et dans un jeu où chaque minute compte, cette absence de communication tue l’intensité qu’il cherche à bâtir. Nightreign n’est donc pas une extension ni une suite, mais une proposition à part entière, un roguelite à la sauce Souls qui fascine autant qu’il irrite. Un joyau brut, plein de promesses… mais qui demande une équipe soudée (et des app tierces) pour révéler tout son éclat.

• PC
• 8 / 10
• France

Elden Ring Nightreign est définitivement un jeu à part dans le catalogue de FromSoftware. Malgré une exigence manifeste principalement orientée pour de la coopération à trois joueurs, on a légitimement passé de nombreux moments mémorables sur ce spin-off « Rogue-Lite Survie » d’une manière globalement réussie et franchement addictive, malgré d’évidents soucis d’équilibrage et des choix douteux pour un titre centré sur le multijoueur. Pour en apprécier pleinement toute la saveur, nous ne pouvons cependant que vivement vous conseiller d’y jouer avec un groupe d’amis. Si vous êtes un joueur principalement solo, à moins d’être un véritable dieu des Souls-like, il est clairement préférable de passer votre chemin, ou d’en souffrir amèrement les conséquences.

• PC
• 80%
• France

• PS5
• 80%
• Espagne

Elden Ring Nightreign puede ser el juego más difícil que ha hecho FromSoftware, pero no por culpa de sus jefazos o por todas las mecánicas que hay que entender para superar las partidas, sino porque para disfrutarlo como es debido hay que tener amigos; amigos locos por los Souls.

• XSX/S
• 90%
• Espagne

• XSX/S
• 8.5 / 10
• Italie

• PC
• XSX/S
• PS5
• 8.8 / 10
• France

• PC
• 7 / 10
• Espagne

F1 25 es mejor que su predecesor, sí, pero Codemasters tiene que ponerse las pilas. La conducción es más satisfactoria que en F1 24, el Modo Mi Equipo brilla con más gestión que nunca y el escaneo con LIDAR de algunos circuitos es genial, pero Braking Point 3 tiene una historia flojísima, F1 World está abandonado y faltan novedades de peso. Es innegable que es divertido y accesible, pero también que es conservador. Si eres muy fan y quieres estar al día, lo disfrutarás. Si no, vuelve a F1 23.

• XSX/S
• 4 / 5
• Royaume-Uni

Startling realism mixed with clever fantasy elements create one of the most compelling motorsport games of the current gen.

• PC
• XSX/S
• PS5
• 8 / 10
• France

Sans révolutionner la licence, F1 25 continue sa route de l’évolution constante avec un gameplay toujours aussi accrocheur, une technique de pointe et un contenu dantesque. Il ne reste pas grand-chose sur lequel Codemasters pourrait aller plus loin pour approcher de la perfection, hormis pour les joueurs avides de simulation sans concession, F1 restant avant tout un jeu grand public. C’est beau, c’est soigné, c’est bien fini… Bref, F1 25 est l’un des opus les plus complets et fédérateurs de la licence à ce jour.