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• SNES
• 18 / 20
• France

Secret of Evermore se révèle être un petit bijou vidéoludique, et même après tout ce temps le charme opère toujours. Doté d’une originalité sans précédent, où l’imaginaire et le mystère laissent aussi la place à un humour totalement décalé, ce subtil mélange prend vie sous la forme d’un perpétuel rêve éveillé dans lequel le joueur ne cessera d’être émerveillé. Il est alors bien malheureux de déplorer qu’un tel jeu n’ait pu connaître le succès qu’il méritait. Maintes fois comparé au fameux Secret of Mana, voire pressenti comme sa suite, il fut ainsi la cible d’innombrables critiques négatives alors que les deux univers sont pourtant radicalement opposés. Secret of Evermore est indéniablement un jeu d’une rare qualité, à l’ambiance onirique, que l’on peut ouvertement qualifier de chef-d’œuvre de la 2D.

• PS
• 15 / 20
• France

WipEout s'approprie le concept de courses futuristes et écrase la concurrence avec un univers parfaitement réussi. Il pose les fondations d'une grande série sans souffrir de défaut majeur, et propose un véritable défi à ceux qui se laisseront emporter. Les autres passeront leur chemin en pestant contre un pilotage difficile ou une nausée soudaine. Ils ne savent pas ce qu'ils ratent car WipEout est un jeu enivrant, novateur et plein de richesses.

• PS
• 15 / 20
• France

Ridge Racer compte plus sur son habillage que sur le fond. On est autant admiratif devant ces graphismes d'un nouveau genre que déçu face à la pauvreté de son contenu. Le jeu possède néanmoins une certaine aura, et on se laisse facilement embarquer dans cette course, à la recherche du tour parfait, en profitant des sensations grisantes qu'il propose. Et c'est bien ce qui compte au final pour ce jeu qui aura tout de même grandement participé au succès de la Playstation.

• GB/C
• 15 / 20
• France

Excellent jeu Gameboy, Le Roi Lion propose tout ce qu'il faut pour faire un bon jeu de plates-formes. Ses quelques défauts n'entachent pas le plaisir que l'on a à diriger Simba au travers des différents environnements.

• PC
• 17 / 20
• France

Vous l’aurez compris, le principal défaut de X-Com : Terror from the Deep se révèle être un positionnement hasardeux entre l’add-on et la véritable suite. En effet, bien que se reposant sur les excellentes bases de son illustre aîné, le titre se montre être trop frileux sur les véritables nouveautés que l’on serait en droit d’attendre pour un nouveau volet d’une série aussi formidable. Certes, il ne se sera écoulé guère plus de six mois entre les deux épisodes, mais le jeu fut pourtant vendu à prix fort, et annoncé comme une suite à part entière. La nouvelle ambiance donnée sera laissée à l’appréciation de chacun, mais l’on saluera tout de même l’amélioration globale de la qualité esthétique du jeu. Après, rien à faire : la spirale X-Com est toujours aussi entraînante et les heures s’enchaînent aussi vite que la plongée d’un sous-marin alien. En attendant une véritable suite respectueuse de ses nobles modèles(ou à défaut, un remake mis au goût du jour), sombrez vous aussi dans les ténèbres aqueuses de cet excellent titre.

• PS
• 15 / 20
• France

Pour de nombreux fans, ce premier Worms est le meilleur de la série. Même si le jeu a vieilli d’un point de vue graphique, la recette reste imparable. Une souris, un ordinateur, et vous pouvez jouer avec une demi-douzaine de potes à l’un des meilleurs jeux multijoueurs de l’histoire du jeu vidéo. Pourquoi se priver ?

• PC
• 15 / 20
• France

Pour de nombreux fans, ce premier Worms est le meilleur de la série. Même si le jeu a vieilli d’un point de vue graphique, la recette reste imparable. Une souris, un ordinateur, et vous pouvez jouer avec une demi-douzaine de potes à l’un des meilleurs jeux multijoueurs de l’histoire du jeu vidéo. Pourquoi se priver ?

• PC
• 18 / 20
• France

Si de notre point de vue actuel, le jeu ne semble pas très beau et est très "classique", il ne faut pas oublier qu'en son temps, Dark Forces réussissait l'exploit de surpasser Doom et toutes les productions de l'époque. Ses forces ? Une réalisation et un gameplay supérieurs, un scénario travaillé et pour la première fois, des buts spécifiques pour vos missions. Pour tout fan de Star Wars ou de FPS, Dark Forces est une perle qui a beaucoup apporté à son genre et qu'il ne faut louper pour rien au monde.

• PC
• 17 / 20
• France

Si le premier opus avait posé les bases, Sim City 2000 améliore grandement l'aspect visuel, sonore, et surtout la profondeur du gameplay. La maniabilité est simple et intuitive, et tout est fait pour vous mettre dans l'ambiance. Pour peu que vous accrochiez ne serait-ce qu'un tout petit peu au concept du city-builder, et que vous preniez le temps nécessaire pour progresser dans le jeu, vous vous trouverez en face d'un des jeux les plus réalistes, les plus immersifs et les plus addictifs qui soient.

• PC
• 12 / 20
• France

L'intérêt ludique du jeu des Guignols est très limité, puisqu'il s'agit d'un point'n click médiocre, avec une durée de vie limitée. En revanche, l'esprit et l'humour de l'émission sont parfaitement retranscrits, grâce à un environnement sonore étoffé par les imitateurs, et à l'humour des auteurs des sketches. Une plongée dans l'univers des Guignols qui a pas mal vieilli, mais qui reste un agréable moment pour qui apprécie l'émission.

• GB/C
• 17 / 20
• France

Kirby’s Dream Land 2 est la digne suite de ses prédécesseurs. Il en reprend les mécanismes de base, tout en les améliorant et en apportant des innovations. Les joueurs passeront encore un agréable moment en compagnie de la boule rose, et cette fois-ci, pour une plus grande durée. Cependant, le manque de difficulté inhérent à la série la réserve plus aisément aux jeunes joueurs. Kirby continue toujours de s’ancrer dans le cœur de ses fans.

• SNES
• 12 / 20
• France

The Great Circus Mystery starring Mickey and Minnie Mouse est un bon jeu de plates-formes, très plaisant à jouer mais qui n'arrive pas à surpasser le must Disney de l'époque Castle of Illusion. La faute essentiellement à une difficulté absente et une durée de vie réduite. On aurait vraiment aimé plus de niveaux et surtout plus longs.

• MD
• 10 / 20
• France

Bonkers a principalement été conçu pour les enfants mais n'utilise pas assez la licence dont il s'inspire. Le gameplay est donc plat et peu varié. Des mini-jeux supplémentaires et quelques rounds auraient pu rattraper le coup. Malheureusement, le jeu Bonkers est donc plutôt à éviter et le joueur s'orientera plus facilement vers d'autres titres Disney mieux réussis.

• PC
• 18 / 20
• France

Alors que les jeux de stratégie en temps réel ont connu une avancée majeure avec Dune II qui a propulsé le genre à un niveau qui sert désormais de base aux STR contemporains, Warcraft : Orcs & Humans se distingue par un univers riche et passionnant où la survie des humains côtoie la fureur des orcs. Doté d'un contenu étoffé et d'une empreinte graphique unique, le soft constitue une valeur sûre offrant une profonde immersion dans les terres tourmentées d'Azeroth.

• PC
• 18 / 20
• France

A sa sortie, Grand Prix II a d'un coup donné un sacré coup de vieux à ses rivaux, en proposant une réalisation excellente et un niveau de simulation encore jamais atteints. Il restera pendant longtemps la référence du genre tous supports confondus, perpétuant ainsi la légende d'une saga de courses automobiles encore aujourd'hui adulée par de nombreux fans.

• MD
• 14 / 20
• France

Pour sa première apparition sur console, Tintin nous offrait un bon jeu avec de grandes qualités en dépit d'une difficulté ayant probablement rebuté plus d'un joueur. Nourrissant de belles promesses pour d'éventuelles suites, Infogrames ne confirmera pourtant qu'à moitié les belles choses entrevues dans ce premier opus. Après une suite sur Super NES reprenant les mêmes principes que son aîné, Tintin sera définitivement oublié par les programmeurs après l'insipide Objectif Aventure.

• MD
• 17 / 20
• France

Au fond, X-Men 2 : Clone Wars ne propose pas tant de régler un problème, de sauver un monde, mais surtout de jouer et de jouer de nombreuses façons. Le travail manifeste du gameplay et de l'atmosphère en général est impressionnant. Sans révolutionner quoi que ce soit, ce jeu à licence représente une excellente surprise là où la qualité n'est pas souvent au rendez-vous. A moins de ne pas du tout accrocher à la musique électronique ou d'exiger un véritable scénario, difficile de reprocher vraiment quelque chose au titre. Un petit chef-d'œuvre.

• GB/C
• 10 / 20
• France

Daffy Duck n'arrive pas à se démarquer dans le genre jeux de plates-formes 2D, genre éminemment présent sur Gameboy. L'idée de mettre le jetpack au cœur du jeu est une réussite, mais elle ne cache pas les lacunes du soft. Même les fans des Looney Toons risquent d'être déçus, car on ne retrouve pas le fun présent dans le dessin animé. Daffy Duck pourra vous distraire une paire d'heures, mais il y a peu de chances qu'il vous laisse un souvenir impérissable.