Notes de presse

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

• XSX/S
• 8 / 10
• États-Unis

• PC
• 8 / 10
• États-Unis

RoboCop: Rogue City – Unfinished Business doesn’t reinvent the Rogue City formula, but it does build off of its most fun elements. By shrinking the scope to one building, the experience zeroes in on character and environmental beats that just wouldn’t have worked before. Still, many of the glitches and gameplay limitations remain, and even though they work well within the Robocop series, optimization would go a long way toward enhancing the experience. If you were wondering if you should play Unfinished Business, well, that’s easy, because hell ya, you should.

• PC
• 7 / 10
• France

• PC
• 7.5 / 10
• France

Le studio Teyon maitrise mieux son sujet avec RoboCop: Rogue City – Unfinished Business. S’il y a logiquement les mêmes écueils que le jeu de base, avec sa structure répétitive, voire dans ses éléments de gameplay ou sa technique, l’ensemble est beaucoup plus dilué et bien plus digeste. Les petites nouveautés apportent, elles aussi, un petit truc en plus dans l’expérience de jeu, la rendant plus agréable, diversifiée et surtout équilibrée. La fidélité aux adaptations cinématographiques est toujours intacte, et la narration est un poil plus passionnante que le jeu de base. Bien entendu, il est encore regrettable d’assister à quelques couacs techniques qui ternissent l’expérience, mais il faut féliciter le travail de Teyon qui a réussi, par le biais de ce stand alone, à proposer un nouveau jeu Robocop plus court, compact, mais tout aussi palpitant que le précédent.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 7 / 10
• France

Avec une expérience plus rythmée, mais au prix d'un sentiment de redondance légèrement accru, Robocop Rogue City : Unfinished Business reprend les bases du premier opus et améliore certains points sans révolutionner sa formule dans un seul but : procurer du fun. Disponible à petit prix (29,99 euros), c’est un excellent moyen de prolonger le plaisir pour les fans de la licence, voire de découvrir cet univers old school mais solide de Robocop pour ceux qui ne le connaîtraient pas. Tout n’est peut-être pas parfait, mais quel plaisir de contrôler Robocop et de faire le ménage dans cette Omnitower !

• PS5
• 55%
• France

Après avoir terminé ce Robocop: Rogue City – Unfinished Business, un sentiment contrasté nous anime : on retrouve le fun du premier épisode mais ce standalone ne prend pas de risques, et c’est bien ça le problème. On restera finalement dans une certaine continuité par rapport à l’opus précédent mais avec un level design bien moins inspiré : couloirs étroits et élimination de vagues d’ennemis successives seront les maître-mots d’une expérience vidéoludique qui ne restera pas dans les livres d’histoire. S’ajoute à cela bon nombre de problèmes techniques qui, espérons-le, seront rapidement corrigés par le biais de mises à jour. Toutefois, on appréciera toujours l’utilisation intelligente de l’Unreal Engine et la présence d’un doublage de qualité qui raviront les fans de la franchise. Une aventure somme toute dispensable qui s’adressera finalement aux personnes ayant apprécié Robocop: Rogue City et qui en demandaient davantage. Si vous n’avez pas fait le précédent épisode, nous vous conseillons de vous orienter vers ce dernier plutôt que ce standalone.

• PS5
• 68%
• Espagne

RoboCop: Rogue City Unfinished Business se siente tan divertido como el primer juego al ofrecer interesantes añadidos que refuerzan el cariño hacia el policía cíborg ochentero. Sin embargo, la sensación de repetición y poca variedad persiste pese a las novedades. Además, sus fallos técnicos y bugs lastran el resultado final más de la cuenta.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 7.5 / 10
• Espagne

Pocas veces una expansión o DLC consigue superar al juego del que toma su origen, y aunque Unfinished Bussines no lo consiga, el hecho de que no necesites de Rogue City para disfrutarlo lo convierte en una anomalía. Lo decimos en el sentido de que, incluso con sus carencias y fallos, hará que te pique el gusanillo para volver a jugar al primero. O mejor aún, si te lo perdiste, hará que tengas mucha curiosidad por experimentar el germen de este 'stand alone'. Lástima que sus desarrolladores no hayan querido arriesgarse un poco más con lo que ofrece, ya que a muchos les parecerá excesivamente continuista, pero insistimos: como el personaje que lo protagoniza, hay más bajo la chapa de lo que se ve, y te deja con una buena sensación al completarlo.

• PS5
• 6 / 10
• États-Unis

You can't really go wrong with Unfinished Business if you enjoyed its underrated predecessor, but expectations need to be kept in check. This standalone follow-up is disappointingly rough around the edges, and although its comically violent combat remains satisfying, it's not varied enough to elevate the entire action-heavy campaign.

• PS5
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• PC
• PS5
• XSX/S
• 6 / 10
• États-Unis

As someone who delighted in blasting through the original RoboCop: Rogue City, my hopes for this standalone Unfinished Business expansion were higher than a junkie on Nuke. However, outside of the exhilarating playable cameo from ED-209, there’s really not enough new here to make another 10 hours as everyone’s favourite baby food-slurping supercop worth going out of your way for. Peter Weller’s deadpan delivery is as endearing as ever, and the cryo gun is an icy blast (though ironically still not quite as cool to use as the Auto 9), but the supporting cast of characters is seriously shoddy and the raft of performance issues on PlayStation 5 make for a bumpier ride than accelerating up the exit ramp from the Metro West carpark. If you thirst for some more Auto 9 bursts flourished with TJ Lazer-inspired twirls then RoboCop: Rogue City - Unfinished Business will certainly scratch the itch on your trigger finger, but it’s far from the future of law enforcement.

• XSX/S
• 7 / 10
• États-Unis

• PS5
• 8 / 10
• Canada

• PS5
• 78%
• Mexique

• PC
• PS5
• XSX/S
• SWITCH
• SWITCH2
• 8 / 10
• Espagne

Shadow Labyrinth es una reimaginación tremendamente interesante de la figura de Pac-Man, adaptando su mitología y jugabilidad a los estándares de un divertido y adictivo metroidvania.

• PC
• PS5
• XSX/S
• SWITCH
• SWITCH2
• 8.5 / 10
• Espagne

Aunque pueda parecer una locura, Bandai logra hacer el más difícil todavía y sacar oro de un corto de animación y un personaje de casi 50 años de edad. Shadow Labyrinth no es para nada revolucionario, pero sí un ejercicio de estilo como pocas veces hemos visto en los videojuegos. Aunque tiene un ritmo algo irregular y unos picos de dificultad que pueden desanimar en lugares puntuales de la aventura, es un juego ambicioso que te tendrá entretenido durante no pocas horas.

• PS5
• 3.2 / 5
• Italie

• PS5
• 6 / 10
• États-Unis

Shadow Labyrinth is an admirable big swing that places Pac-Man in a strange new space. Unfortunately, while there are some fun elements taken from the arcade classic and a few neat ideas sprinkled in, the majority of the game is a by-the-numbers Metroidvania that doesn't quite come together. It feels like a game built to please Pac-fans and hardcore players that lap up the likes of Hollow Knight, but the end result is something that underserves both. It's not bad, but with so many incredible 2D Metroidvanias these days, this one doesn't quite do enough to measure up.

• PC
• 8 / 10
• France

• SWITCH2
• 7 / 10
• Espagne

• SWITCH2
• 9 / 10
• France

Donkey Kong Bananza marque un tournant audacieux pour le gorille iconique de Nintendo en proposant un jeu d’aventure 3D destructible à la fois inventif, accessible et débordant d’idées. Porté par une direction artistique expressive, un gameplay malin et un duo attachant, le titre brille par sa générosité et son sens du rythme. S’il pèche parfois par un manque de challenge, une narration un peu trop en retrait, et quelques ralentissements, il n’en reste pas moins l’un des titres les plus marquants du line-up de lancement de la Switch 2. Un titre qui fait plaisir pour la licence Donkey Kong, et qui montre que Mario n’est pas le seul à pouvoir briller dans les hautes sphères, à la fois en 2D et en 3D.

• SWITCH2
• 95%
• France

Qu'importe ses quelques fautes de goût et sa quête principale vite expédiée, Donkey Kong Bananza est un titre d'une qualité rare, à même de marquer l'histoire de notre média chéri de son empreinte. Pour cette seconde aventure du gorille en 3D, Nintendo convoque 40 ans de jeux Donkey Kong pour caresser les fans de la première heure dans le sens du poil et faire le pont avec une nouvelle génération de joueurs biberonnée à Minecraft, grâce à un gameplay de destruction intelligent, aux surprises sans cesse renouvelées. Possesseurs de Nintendo Switch 2, vous pouvez avoir la banane, la première killer app de la console est là !

• SWITCH2
• 8 / 10
• France