Notes de presse

• PC
• PS5
• XSX/S
• 8.1 / 10
• Espagne

Platinum ha añadido una capa por encima de la fórmula Ninja Gaiden y eso se nota tanto que dividirá a la comunidad. A los mandos está claro que es diferente, pero funciona. El combate es frenético, de esos que te meten en un torbellino de velocidad que es la especialidad del estudio, con unas animaciones perfectas y marca de la casa. Pero también es marca del estudio descuidar todo lo que no es gameplay puro. El diseño de niveles es de lo peor que he visto esta generación: escenarios pobres, repetitivos y llenos de transiciones con raíles y corrientes de aire que interrumpen y evidencian la falta de ganas de hacer algo más que arenas de combate. Además, hay un conflicto entre dificultad y accesibilidad, con puntos de control recortados y pociones regaladas, que choca con la esencia de Ninja Gaiden. Es un gran hack and slash, eso no se puede negar, y de ahí que me decante por el recomendado, porque divierte hasta el final. Pero sé que va a ser divisivo, porque su danza no es la misma que hizo Tecmo en sus dos primeras entregas y se ha sustituido sobriedad y frialdad a los mandos por frenetismo y velocidad. Una parte del espíritu de Itagaki permanece. Otra se ha ido para siempre con él.

• XSX/S
• 8.75 / 10
• États-Unis

• XSX/S
• Royaume-Uni

Ninja Gaiden 4 is a balls-to-the-wall action game with a relentless pace and an almost comedic level of gory combat. It's very much a one-trick pony, however, and as thoroughly entertaining as fighting waves of enemies is, its tendency to recycle assets near the end of the game means it can start to overstay its welcome if you don't take it upon yourself to use the wide variety of optional moves available to you.

• PC
• 3.5 / 5
• Royaume-Uni

• XSX/S
• 9 / 10
• Australie

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

Jurassic World Evolution 3 is exactly what it needs to be. There's new additions to the formula set by its predecessors that enhance the experience rather than detract from it, and it accentuates what the series did well before to new heights. Dinosaurs are the name of the game, and whether you're here to help create dino families or if you just want to see a giant lizard eating the clientele, this third instalment delivers.

• PC
• 9 / 10
• Australie

• PC
• 9.5 / 10
• États-Unis

Ball X Pit is, in several ways, an idealization of the indie gaming experience. An exceptionally addictive, gratifying, and replayable smash-hit for a mere fraction of the price of larger-scale AAA releases on the market is no meager feat to achieve. Plus, its intuitive pick-up-and-play nature, alongside impressive variety for builds, puts it at the top of the crop with other implementations of this genre. Slight annoyances with mid-run progression aside, I can’t deny that Ball X Pit, in terms of just raw gameplay, is the most satisfied I’ve been this year, and I’ll likely keep coming back for quite some time.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• PC
• 6.5 / 10
• France

Vampire: The Mascarade – Bloodlines 2 est finalement très loin d’être catastrophique. L’ambiance du titre originel a été respectée religieusement, et nous avons été plus que surpris par sa narration, finalement bien amenée, prévisible certes, mais proposant quelques rebondissements appréciables. Le tout, avec quand même des choix de dialogues à conséquences qui font plaisir. Reste que malheureusement, le poids du changement de studio se fait ressentir avec pas mal d’éléments de RPG simplifiés, des quêtes peu inspirées et un Seattle ouvert pas très grisant. Tout ce mélange fait que l’on va aimer cette suite comme la repousser violemment, d’autant que les combats sont un peu trop omniprésents et répétitifs dans l’ensemble. Une expérience qui vaut quand même le détour si vous voulez votre dose d’univers vampirique, avec le mordant en moins sur trop d’aspects pour prétendre à être une suite très réussie.

• PS5
• 7 / 10
• Australie

• PC
• 6 / 10
• France

Est-ce que Ninja Gaiden 4 est un mauvais jeu ? Non. Yakumo propose une véritable évolution de la formule instaurée par Tomonobu Itagaki (paix à son âme) mais PlatinumGames doit composer avec une équipe relativement jeune et inexpérimentée, introduisant quelques problèmes d'équilibrage avec les nouvelles mécaniques, qui tendent à trivialiser les affrontements quand elles sont bien exploitées. Et ce n'est pas le level design, d'une grande pauvreté, qui sauve les meubles. C'est plutôt le plaisir instantané de l'action, le gore et la mise en scène des exécutions, ainsi qu'une poignée de boss bien pensés qui donnent envie de relancer une partie en Maître Ninja ou de s'adonner aux défis optionnels post-game. Bien que l'on sente que PlatinumGames doit encore retrouver sa précision chirurgicale d'antan, le résultat est encourageant pour la nouvelle génération, et Ninja Gaiden 4 sera probablement une bonne porte d'entrée pour les néophytes. À voir !

• PC
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• France

C’est une quinzaine d’heures qu’il nous a fallu pour venir à bout de la petite vingtaine de niveaux de Ninja Gaiden 4. Et plus le temps de jeu passait, plus l’expérience et notre compétence à découper les gens, s’est aiguisée et perfectionnée. L’histoire, même avec des thèmes intéressants, manque un peu le coche certes. Cependant, on apprécie le rappel aux décennies passées élevé par des standards et des moyens de production actuels. Même commentaire pour le gameplay qui reprend les bases de la licence en y apportant une touche de modernité approfondissant l'expérience sans la dénaturer. Ce savant équilibre fait de Ninja Gaiden 4 un excellent jeu d’action, aux combats à la nervosité et la profondeur hors-norme.

• XSX/S
• 5 / 10
• France

On s’attendait à un retour en grâce de Ryu Hayabusa avec Ninja Gaiden 4, fruit d’une collaboration entre deux studios de renom (Team Ninja et PlatinumGames). Flanqué d’un acolyte peu charismatique, le ninja loupe le coche en raison de choix douteux sur beaucoup trop d’éléments cruciaux. Entre son gameplay bancal, à peine sauvé par de bonnes sensations dans le tranchage ennemi, et sa direction artistique vomitive, Ninja Gaiden 4 ne donne jamais envie. Les ninjas méritent mieux que ça et, fort heureusement, il existe des jeux bien meilleurs dans le paysage vidéoludique.

• XSX/S
• 8.5 / 10
• États-Unis

After finishing Ninja Gaiden 4, I kept thinking about how rare it is for a sequel to respect its roots while still trying something new. The story might stumble, and a few fights feel half-baked, but when the action hits, it’s everything I’ve ever loved about this series. Yakumo might not carry the same weight as Ryu Hayabusa yet, but he’s earned his place, and I’m already looking forward to seeing where his story goes. The game provides you with action skills you didn’t know you had, and even after the credits, you’ll want to keep perfecting your approach and chasing that perfect run. It’s classic action reimagined for this era, and it reminded me how much I missed the simple fun of moving from point A to point B with nothing but skill and style. It’s punk rock, challenging, and endlessly satisfying, the way Ninja Gaiden should be.

• PC
• 8.5 / 10
• Italie

Ninja Gaiden 4 nasce da fondamenta solide e da una visione chiara. È stata una scommessa importante su un’eredità pesante, ma anche un’occasione per ridefinire i confini del combat system d’azione hardcore su PC e console moderne. Yakumo non ha il carisma di Ryu e ci auguriamo che in futuro venga dato più spazio al protagonista indiscusso della saga, ma le mani di Platinum Games, nonostante le numerose defezioni, sono ancora d'oro.

• XSX/S
• 8.5 / 10
• Italie

L’unione fa davvero la forza e la collaborazione tra Team Ninja e PlatinumGames colpisce nel segno; al di là di qualche piccolo difetto, Ninja Gaiden 4 resta fedele allo spirito della serie, arricchendolo con nuove meccaniche che portano la firma del team di Bayonetta. Il risultato è un combat system spettacolare, tecnico e vario, capace di regalare immense soddisfazioni una volta padroneggiato fino in fondo.

• PS5
• États-Unis

• PS5
• 8.5 / 10
• France

• PC
• 70%
• France

• PC
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• Espagne

Ninja Gaiden 4 hace honor a la fama de la saga y nos presenta una experiencia tan sangrienta como disfrutable. A pesar de caer en la monotonía visual y argumental en algunos momentos, el increíble combate toma las riendas para entregar una experiencia inolvidable para los fans de los juegos de acción.

• PC
• XSX/S
• 7 / 10
• France

Oui, nous avons apprécié découvrir Keeper. Le titre est beau, sa bande originale est plutôt réussie, même si elle est inégale, et son univers tordu et intrigant permet de nouveau de rappeler que le jus vidéo peut être par moment un véritable art. Mais tout cela ne suffit pas à faire de ce jeu une expérience inoubliable. Si l’histoire laisse la place aux joueurs pour qu'ils interprètent ce qu’ils veulent y voir, on se retrouve parfois devant un effet « rêve fiévreux » plutôt qu’une véritable œuvre contemplative. De même, on en oublie l'intérêt vidéoludique du jeu. Il parvient certes à proposer plusieurs mécaniques durant sa courte durée de vie, mais celles-ci sont également traitées de manière inégale, donnant parfois l'impression que le jeu se prend les pieds dans le tapis. Au final, Keeper reste mal assis entre deux lignes directrices qu'il ne parvient pas à suivre pleinement. Soit le jeu aurait dû approfondir son gameplay pour en sortir une saveur plus originale, soit il aurait dû aller plus loin encore dans son histoire, touchante mais convenu et prévisible au demeurant. Nul doute que Keeper trouvera son public, mais dans cette longue liste de jeux contemplatifs, nous craignons qu'il ne fasse pas l'unanimité.

• PC
• 7 / 10
• États-Unis

• PC
• 8 / 10
• France

Vampire The Masquerade Bloodlines 2 est clairement une expérience radicalement différente de son illustre aîné. Malgré la perte regrettable de l’aspect « jeu de rôle » et de la liberté emblématiques du premier volet au profit d’une formule plus typée « Action-RPG narratif » dirigiste, sa suite s’en sort malgré tout globalement bien pour nous plonger avec une indéniable maîtrise dans l’ambiance si unique du Mondes des Ténèbres. Ce notamment grâce à une histoire passionnante portée par deux personnages offrant une belle dualité ; synonyme de deux gameplay qui se complètent habilement en alternant phases d’action/infiltration vraiment grisantes et phases d’enquêtes avec un brin de folie bien amené. Le titre de The Chinese Room pèche cependant par un monde ouvert parfaitement anecdotique, et une technique certes pas désagréable à regarder, mais qui a besoin d’un peu de peaufinage pour exhiber comme il se doit ses séduisants crocs de vampire.