Notes de presse

• SWITCH2
• 4 / 10
• France

La Nintendo Switch 2 a fait le choix d’ajouter Cyberpunk 2077 à sa liste des jeux de lancement et ce n’était clairement pas une bonne idée. Malheureusement, ça n’est ni bon pour la console que l’on sait capable de beaucoup mieux, ni pour le jeu, dont on ne peut pas profiter pleinement comme il le mérite. Le jeu est vilain, peu importe le mode choisi, et parmi les 4 possibilités d’y jouer, seule une reste viable et vous demandera tout de même de grosses concessions : le mode Performance avec la console dans son dock. Pour le reste, mieux vaut passer son chemin. Dommage, puisque cette version de Cyberpunk 2077 exploite très bien la fonctionnalité permettant de transformer les Joy-Con en souris, les sensations sont très bonnes, et en prime il embarque le DLC Phantom Liberty et toutes les mises à jour sorties jusqu’ici. C’était ambitieux, et bien tenté, mais ça tombe à plat. Demander 70€ aux joueurs en leur disant de faire des concessions, au lancement même d’une nouvelle console, ce n’est juste pas possible. À éviter donc, sauf si vous n’avez vraiment pas le choix et que jouer au jeu vous brûle les doigts depuis très longtemps.

• PS5
• 7 / 10
• France

• PC
• 8 / 10
• Italie

• PC
• XSX/S
• PS5
• 65%
• États-Unis

FBC: Firebreak is a quirky but uninspired co-op FPS with flashes of brilliance drowned in repetition and shallow design. Remedy's magic is barely felt here.

• PC
• 60%
• États-Unis

• PS5
• États-Unis

• PC
• 9 / 10
• Royaume-Uni

An incredibly fun and engaging Horde Shooter, it isn’t perfect, but it’s an absolute blast to play!

• PC
• 6 / 10
• France

• PC
• 8 / 10
• Australie

• PS5
• 6 / 10
• Italie

• XSX/S
• 5.5 / 10
• États-Unis

FBC Firebreak delivers an experience that is, at best, competent and, at worst, tedious. Given the glut of options in the multiplayer FPS market and the $40 price tag this game carries, it is hard to suggest it to anyone.

• PS5
• 6 / 10
• Royaume-Uni

• PC
• XSX/S
• PS5
• 5 / 10
• France

FBC: Firebreak est un jeu qui donne constamment l’impression de rester en surface. Il a de bonnes idées, une base intéressante et quelques mécaniques qui sortent timidement du lot. Son système de soins, ses synergies élémentaires ou encore sa direction artistique soignée montrent qu’il y avait matière à proposer une expérience coopérative plus marquante. Mais au lieu de creuser, le jeu se contente de répéter une formule très classique, avec trop peu de contenu pour vraiment accrocher sur la durée. Cinq missions seulement, un arsenal limité, des objectifs sans relief et une progression artificiellement ralentie : autant d’éléments qui freinent l’adhésion. Même les sensations de tir, fondamentales dans un FPS, peinent à convaincre. Il faut monter dans les difficultés les plus élevées pour que le gameplay prenne enfin un peu de relief. Et c’est là tout le paradoxe, Firebreak n’est pas un mauvais jeu, mais il donne l’impression d’un accès anticipé déguisé, pas encore prêt à exploiter son potentiel. Avec quelques armes en plus, des ennemis plus variés et un contenu narratif un peu plus affirmé, il pourrait devenir bien plus qu’un shooter coop parmi d’autres. En l’état, il reste juste fonctionnel. Et c’est un peu trop peu.

• PS5
• 74%
• Espagne

FBC Firebreak es un multijugador con buenas ideas y una gran ambientación que trae el universo de Control de vuelta. Pese a algunas imprecisiones y a que podría incorporar más contenido, lo que ofrece aporta algo frescura al género del cooperativo con amigos. No es una locura, pero tampoco es el típico first person shooter, por suerte.

• PS5
• 6 / 10
• États-Unis

FBC: Firebreak stings a little, because it has so much of what we’re looking for in a co-op shooter. It’s got the killer world and aesthetic, it’s got quirky powers and role based kits, it’s got tight first-person gameplay, and doesn’t require you to grind things out for dozens of hours. However, despite all of that, Firebreak's just fine, and ironically lacks the fire that we expect from Remedy's output. It’s a fun, casual time, but you’ll play it, you’ll finish it, and before long you’ll forget about it and wish you had been playing Control 2 instead.

• PS5
• 8 / 10
• France

Lost in Random: The Eternal Die est une franche réussite. Probablement pas le roguelite le plus abouti au niveau sa profondeur de gameplay pour certains, mais son univers, sa soif d’inclure le joueur ou la joueuse dans son histoire ou encore ses mécaniques de roguelite agrémentées à la sauce Lost in Random, en font une proposition solide, accessible même aux moins habitués du genre, et techniquement au top. Se terminant en à peu près 12 h et promettant pas mal de contenu en end-game pour celles et ceux qui voudraient poursuivre l’aventure, Lost in Random: The Eternal Die est une excellente surprise en cette période estivale, à un prix contenu qui plus est.

• XSX/S
• 8 / 10
• France

Cette suite du premier Lost in Random est une franche réussite. Par sa capacité à retranscrire parfaitement un univers qui était déjà parvenu à nous embarquer en 2021, tout en nous proposant une expérience de jeu totalement différente. Cette fois-ci, les développeurs suédois de Stormteller Games s'approprient totalement le genre du roguelite à la Hadès sans pour autant le révolutionner, et proposent finalement un titre solide et sur lequel on ne voit pas le temps passer.

• PC
• PS5
• XSX/S
• SWITCH
• 7.5 / 10
• Italie

Lost in Random: The Eternal Die è un roguelike competente e piacevolmente immediato, capace di offrire una bella manciata di ore di puro divertimento e di portare a compimento ogni sua idea senza dilungarsi oltre il necessario. L'intuizione di un sistema di progressione basato su artefatti colorati era ottima e, nonostante la profondità delle build resti tutto sommato limitata, la combinazione di combattimenti nervosi e lancio del dado come arma rende l'esperienza molto più che piacevole. La varietà estetica e ludica dei biomi e dei potenziamenti poteva spingersi oltre, e chi cerca build complesse potrebbe avvertire la mancanza di scelte tattiche di lungo termine. È un'esperienza calibrata e compatta, in cui la riproposizione di stanze simili non inficia troppo la qualità del gameplay, ma ne segna chiaramente i confini. Si tratta di un ottimo antipasto prima delle grandi portate che merita un posto nella libreria degli amanti del genere e dei più curiosi.

• PC
• PS5
• XSX/S
• SWITCH
• 8 / 10
• Italie

• PC
• 8 / 10
• États-Unis

• PC
• 5 / 10
• France

• PS5
• 66%
• Japon

• PS5
• 9 / 10
• États-Unis

• SWITCH2
• 9 / 10
• France

Mario Kart World est une réussite quasi totale et reste incontournable quand bien même on pestera sur deux ou trois petites choses. Sa prise de risque est payante et il réussit très bien son virage en épingle vers un gameplay plus subtil, mais toujours aussi fun et grisant. Les nouveautés demanderont un peu de prise en main, mais se montreront rapidement indispensables pour briller lors des courses multijoueur. On peut aussi s’incliner devant le nouveau mode de jeu survie, une réussite absolue qui lui promet un très bel avenir dans la licence au détriment du mode bataille qui s’estompe peu à peu. Mario Kart World est en tout cas un indispensable de la Nintendo Switch 2 et certainement le meilleur jeu de lancement de la console.