Notes de presse

• PS5
• XSX/S
• 7.5 / 10
• États-Unis

• XSX/S
• États-Unis

• PC
• 90%
• Japon

• PC
• 9 / 10
• États-Unis

• PC
• 8 / 10
• France

L’intérêt de Moonstone Island repose sur un mélange des genres savamment dosé. La direction artistique particulièrement soignée et la beauté des paysages – qui évoluent au fil des saisons – plongent le joueur dans un univers enchanteur qui regorge d’activités et de lieu à découvrir. Le système de capture d’esprits et de combat par cartes ajoute de la profondeur à l’expérience de jeu tandis que les relations avec les habitants de l’île créent une dimension sociale intéressante. Cependant, quelques problèmes techniques et une certaine répétitivité ternissement quelque peu l’expérience. Malgré ces défauts, Moonstone Island offre une aventure relaxante et addictive, accessible à un large public.

• PC
• SWITCH
• 4.5 / 5
• États-Unis

In Moonstone Island, there's a ridiculous amount of activities to keep yourself occupied as you progress through your days of Alchemist training, bringing together everything you could ever want in a cozy life-sim title. Gorgeous pixel graphics, a soothing, relaxing soundtrack, Quests, monster catching, turn-based battles, deck building, exploration, farming, Dungeon diving, foraging, crafting and building, treasure hunting, collecting, hidden mines, lovable NPCs, and multiple ways to traverse the lands and make new discoveries.

• PC
• 68%
• États-Unis

The Many Pieces of Mr. Coo is a short game – it took me just under two hours to complete with only a single peek at the hint book. The first half was quite enjoyable, but eventually it became clear why Mr. Rodriguez himself was dissatisfied with the final product, as the second half makes even this relative brevity drag, until I longed to be back playing the beginning with its bold animations and uniquely weird situations and characters. There are certainly things to appreciate here, but the best of them are always in how The Many Pieces of Mr. Coo looks rather than how it plays. The story ends on a cliffhanger, so let's hope that any future endeavour will itself be able to pick up the pieces and create something in the spirit of the original, just with more refined mechanics as its creator always intended.

• XSX/S
• États-Unis

• XSX/S
• États-Unis

• XSX/S
• 8 / 10
• Royaume-Uni

• XSX/S
• 4 / 5
• France

Pour l'instant, Mortal Kombat 1 est un épisode déstabilisant, et les années à venir nous diront si les choix opérés étaient salutaires. Posant drastiquement son rythme de jeu et apportant une nouvelle mécanique importante sur le papier (les kaméos), l'expérience semble pourtant s'apparenter à un recul. Moins d'interactions et de vie dans les décors, panel de personnages moins engageant, mode Invasions relativement futile... Reste un mode Histoire une fois de plus à la hauteur. Même les graphismes, déjà impressionnants sur Mortal Kombat 11, donnent parfois l'impression de stagner (voire régresser si on aborde la mise en scène). Ce constat global laisse dubitatif pour une licence qui s'est toujours vendue sur la base du divertissement – et à grands coups de DLC. Désormais et contrairement à ce que pourrait laisser penser l'arrivée des kaméos, Mortal Kombat parait sacrifier le spectacle au profit des combos (et peut-être de l'e-sport)... Dans un sens, la démarche est osée et même existentielle – le retour en arrière s'étend jusqu'à la réalisation, avec une caméra et une sobriété qui rendent hommage aux premiers volets. Reste à savoir si tout cela était judicieux. En essayant de remettre à plat la licence, Ed Boon/NetherRealm se retrouve en réalité confronté au même problème que Liu Kang au sein du jeu : peut-on supprimer le passé ? Rien n'est moins sûr. Comment conseiller ce nouveau volet tout en sachant que son grandiose prédécesseur – plus accessible, "speed" et spectaculaire – est fréquemment en promotion pour une vingtaine d'euros, en édition maous et avec un contenu autrement plus fourni ? C'est tout le problème du pop-corn : on peut s'en contenter, mais encore faut-il que l'on soit bien servi.

• PC
• 84%
• Japon

• PS5
• 8 / 10
• France

Lies of P s’impose alors comme un excellent Souls-like. Malgré la volonté de comparer ce dernier avec Bloodborne, il propose de nouvelles mécaniques permettant de prouver sa singularité et de dépasser clairement le stade de simple copie. Neowiz a réussi à innover dans un genre très codifié et dont la nouveauté est de plus en plus rare. Bien qu’il souffre d’une difficulté très variable et d’une rejouabilité bien plus limitée en raison de son aspect linéaire, Lies of P nous présente ici une très bonne histoire dont l’inspiration d’un conte est une complète réussite. Lies of P trouve parfaitement sa place dans la liste des Souls-like et devient même un incontournable du genre.

• PS5
• 7 / 10
• France

A force de sortir ses jeux tous les quatre ans en moyenne, on finit par se demander si cela ne joue pas des tours à NetherRealm Studios et Warner Bros. Games. Malgré ses qualités et les quelques bons moments éprouvés sur ce nouvel opus, Mortal Kombat 1 fait office de régression à certains égards. Peu d’évolution dans le gameplay, prise en main exécrable sorti du support manette, roster de base et contenu déblocable en retrait par rapport à l’opus précédent, système d’apprentissage mal fichu et pauvre pour découvrir le plein potentiel des personnages, on aurait aimé que les développeurs prennent quelques années supplémentaires pour nous revenir avec un Mortal Kombat efficace en tout point. Certains diront que le système de Kaméo apporte à la série une certaine fraîcheur, mais il s’agit ni plus ni moins que d’une version aboutie du travail entamé dans les itérations précédentes lors des combats sous conditions impliquant la présence d’un personnage en assist. Heureusement, Mortal Kombat 1 a pour lui sa réalisation soignée et son contenu solo, plus précisément, histoire et Invasions sympathiques et divertissants. Bien sûr, le online fait office de figure de proue et saura contenter les fans de la franchise, notamment avec le retour des combos à rallonge et aériens, concept disparu depuis Mortal Kombat: Armageddon.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 18 / 20
• France

Phantom Liberty est tout ce qu’on attendait d’une extension de Cyberpunk 2077, si ce n’est plus encore. Ce techno-thriller plonge les joueurs dans un récit haletant qui aura un impact sans précédent sur l’univers du jeu. Le quartier en ruines de Dogtown n’est pas en reste avec son atmosphère post-guerre où la loi du plus fort règne en maître. Riche en contenu pour une vingtaine d’heures de jeu, ce DLC conclut magistralement l’épopée dystopique de V à Night City.

• PC
• XONE
• XSX/S
• 7 / 10
• États-Unis

With smooth online multiplayer, a handful of mostly distinct maps, and downright adorable characters, Party Animals delivers a fun party game that brings cuddly, chaotic fun where it counts the most. The intentionally wobbly controls take a moment to get used to, but once you do it’s wonderfully satisfying to land a punch and send another player flying into an environmental hazard for a KO. It does commit an all-too-common cardinal sin for contemporary multiplayer games in making local play less enjoyable than going online, but all three main modes are a good time, especially in a full lobby of eight players.

• PC
• 5 / 10
• États-Unis

• PC
• 8 / 10
• Royaume-Uni

Party Animals is a great multiplayer title to play with friends that won’t get boring or super repetitive like other titles in the genre. With a huge variety of characters and maps to check out, this will keep you busy for a long time.

• PC
• 8 / 10
• Italie

Party Animals porta sulle sue spalle un macigno difficile da scrollarsi di dosso: il costante richiamo al suo "avversario" Gang Beasts. Il team di Recreate Studios ha fatto di tutto per scostarsi dalla spada di Damocle che pendeva dalla sua testa. E, in parte, ci è riuscito. Il gioco è un toccasana per l'anima, artefice di tutta quella gioia spensierata che si vuole provare quando si fa una partita veloce con gli amici per passare il tempo. Grazie anche al suo aspetto grafico, visivo, artistico e al suo stile già iconico, sarebbe stato uno dei gioielli più preziosi della corona dei party game. Ma per delle stupidaggini, delle scelte discutibili, rimane un diamante grezzo ancora incastonato nella roccia. Tuttavia, è indubbio che il potenziale per un videogioco esplosivo ci sia e sia ancora possibile raggiungere tale obiettivo, se si è disposti a estrarlo e a lavorarlo con cura. Ma, per il momento, resta una risata dolceamara che fa riflettere ancora più a fondo su quanto sia insensato andare alla ricerca della perfezione.

• XSX/S
• 8 / 10
• Italie

• PC
• États-Unis

• PC
• 7 / 10
• France

• PC
• 9 / 10
• France

Party Animals est une claque. Très simple en apparence, il garantit des fous rires avec vos ami(es). Intelligent, beau, simple d’accès et pourtant plein de challenge, c’est une petite merveille dont il serait dommage de se priver. D’autant qu’il sera disponible dès le lancement sur le Xbox Game Pass en plus de sa sortie sur Steam.

• PC
• 4 / 5
• États-Unis