Notes de presse

• PSP
• 6.5 / 10
• Allemagne

• PS2
• PSP
• XBOX
• 5 / 10
• Royaume-Uni

With a great game engine and genuinely enjoyable racing, it's a shame that the story mode, annoying AI and lack of multiplayer modes prevent the game from being a blast to play.

• PS2
• 6 / 10
• États-Unis

• NGC
• 13 / 20
• France

• PS2
• 13 / 20
• France

• PS2
• 15 / 20
• France

• PC
• 15 / 20
• France

• PC
• 15 / 20
• France

• PC
• 9 / 10
• Allemagne

• PS2
• 8.5 / 10
• Italie

Una gemma dell'intrattenimento videoludico. Dalla genialità di Fumito Ueda non potevamo, del resto, aspettarci nulla di meno. Un'opera che non accetta compromessi e che, proprio per questo, non è destinata a tutti. E' facile lasciarsi rapire dalle atmosfere sapientemente sognanti e maestose, ma è altrettanto facile farsi prendere dalla noia nella peregrinazione verso un nuovo colosso. Troppo semplice sarebbe bollare come 'eretico' chiunque non sia in grado di apprezzare il gioco per il capolavoro che è; piuttosto è doveroso sottolineare che, così come era avvenuto con ico, il prodotto finale è particolarissimo nella sua meravigliosa unicità. Così come spesso un buon vino, un quadro d'autore o una magnifica poesia non vengono apprezzati da un pubblico distratto o poco sofisticato, così Shadow of the Colossus trova forza nel suo peggior difetto: quello di essere un gioco criptico, misteriosamente affascinante e visceralmente elitario. Inadatto ad una partita veloce. Gli amanti di Ico non se lo lascino sfuggire. Chi in un videogioco (e nell'intrattenimento in generale) cerca un'anima, un significanto ed un messaggio che sappia coinvolgere e scuotere le corde del proprio cuore dovrebbe acquistarlo ad occhi chiusi. Chi invece dalla propria console chiede solo un'evasione disimpegnata e divertita farebbe decisamente meglio a rivolgere le proprie attenzioni altrove.

• PC
• 7 / 10
• France

• XBOX
• 5 / 10
• France

• NGC
• 6 / 10
• Royaume-Uni

If you can look past its flaws you'll find an enjoyable wrestling game; there's just better available elsewhere.

• PS2
• NGC
• XBOX
• PC
• 5 / 10
• Royaume-Uni

As the set includes two or three games that are worth looking at, the collection might just be worth its low price tag, but calling them treasures might be going a little too far.

• PS2
• 1 / 5
• France

Toujours fidèle au concept ultra gore et ténébreux, The Suffering : Les liens qui nous unissent est essentiellement gâché par sa maniabilité et l'utilisation sans améliorations du premier moteur. Il plonge tout de même le joueur dans un univers troublant – peu de titres peuvent se vanter d'y arriver avec une telle intensité. Doté d'une durée de vie très raisonnable, il séduira ceux qui cherchent un bain de sang tout en se moquant d'avoir une maniabilité excellente à la Total Overdose et se contentent d'un gameplay proche des premiers Resident Evil. Il est absolument déconseillé pour les non fans du genre, mais aussi de l'offrir aux enfants pour noël ou à sa copine, sauf si on ne sait pas comment jeter ce monstre qui laisse des poils dans la baignoire et qui n'aime pas le sport à la télé. Les curieux attendront de le croiser dans un bac en occasion et lui pardonneront bien des défauts si son prix est baissé d'au moins de moitié.

• XBOX
• 7.4 / 10
• États-Unis

• DS
• 8 / 10
• Italie

La quintessenza del gioco per DS, ecco cosa si ripropone di essere questo titolo targato Atlus. Difficile negare l’unicità del gameplay offerto in Trauma Center, che a più riprese riesce nella maestosa opera di divertire ed appassionare. Forte dell’innovazione che porta e del totale sfruttamento delle potenzialità tattili del portatile Nintendo, questo gioco centra pressoché tutti gli obbiettivi che si pone. Peccato giusto per un livello di difficoltà non sempre bilanciato ed una longevità generale piuttosto bassa del main game, poco aiutato anche dai bonus sbloccabili, pressoché inesistenti. Consigliato a tutti coloro che amano le novità e le innovazioni, tutti gli aspiranti Clooney e gli assetati di sfide vere e proprie.

• PS2
• 16 / 20
• France

• PS2
• 13 / 20
• France

Loin d'être désagréable, The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent est malgré tout sorti à la va-vite pour profiter du succès du premier épisode. Bien que l'absence d'évolution graphique ne soit pas un vrai problème en soi, il est dommage que les développeurs aient construit ce second opus sur des gunfights qui ne s'arrêtent pour ainsi dire jamais, sans prendre le temps d'améliorer la jouabilité. Le scénario est un peu laissé en retrait, même s'il suit directement celui de The Suffering, et on aimera ou non cette nouvelle orientation, synonyme d'une difficulté plus importante. Dans l'absolu, on prend tout de même du plaisir à suivre Torque dans ses déboires psychotiques et à avancer, rien que pour avoir le plaisir de découvrir les nouvelles créations du studio de Stan Winston.

• XBOX
• 13 / 20
• France

Loin d'être désagréable, The Suffering : Les Liens Qui Nous Unissent est malgré tout sorti à la va-vite pour profiter du succès du premier épisode. Bien que l'absence d'évolution graphique ne soit pas un vrai problème en soi, il est dommage que les développeurs aient construit ce second opus sur des gunfights qui ne s'arrêtent pour ainsi dire jamais, sans prendre le temps d'améliorer la jouabilité. Le scénario est un peu laissé en retrait, même s'il suit directement celui de The Suffering, et on aimera ou non cette nouvelle orientation, synonyme d'une difficulté plus importante. Dans l'absolu, on prend tout de même du plaisir à suivre Torque dans ses déboires psychotiques et à avancer, rien que pour avoir le plaisir de découvrir les nouvelles créations du studio de Stan Winston.

• PSP
• 9 / 20
• France

• PS2
• 8.9 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 13 / 20
• France

• PSP
• 7.8 / 10
• États-Unis

Battlefront II on PSP mirrors its console brethren in terms of complexity and scope but can’t keep up in performance. So while every vehicle, unit and weapon is at your disposal, you’ll need to contend with an unstable framerate and lackluster visuals while you take over the galaxy. Still, the game feels very polished in areas, especially the interface and quality of the soundtrack and sound effects. So even though it’s fun and definitely worthwhile, it just feels as though Battlefront II asks too much of the PSP.