Notes de presse

• PS2
• 80%
• Espagne

• DS
• 12 / 20
• France

• DS
• 11 / 20
• France

• PC
• 68%
• Royaume-Uni

• DS
• 13 / 20
• France

• PC
• 32%
• Royaume-Uni

• PS2
• 15 / 20
• France

• DS
• 64%
• Espagne

• DS
• 7 / 10
• France

• DS
• 13 / 20
• France

• DS
• 16 / 20
• France

• PC
• 15 / 20
• France

Voilà un nouvel opus plutôt convaincant. Certes, quelques défauts sont toujours présents comme une bande-son pas très convaincante, quelques plantages, des temps de chargements parfois longs, des lacunes au niveau des licences et de la prise en compte du vent, mais Pro Cycling Manager réussit tout de même à intéresser le joueur grâce à son gameplay agréable et à son IA plus cohérente qu'auparavant.

• PS2
• 16 / 20
• France

Lucifer's Call est un jeu critiquable sur bien des points : évolution limitée du personnage principal, absence de quêtes annexes, imposante difficulté. Ceci dit, il serait vraiment dommage de passer à côté d'un soft qui offre en contrepartie une aussi grande richesse. Le scénario est tortueux et dispose d'une galerie de personnages incroyablement travaillés, le recrutement des monstres ainsi que la possibilité de les fusionner est passionnant, le character design est magnifique et le tout est entièrement localisé. Voici donc un Dungeon-RPG original qui marque l'arrivée en Europe d'une saga hypnotique que tout fan du genre se doit de connaître, ne serait-ce que pour son ambiance apocalyptique très bien restituée.

• PS2
• 4 / 10
• France

• PC
• 10 / 20
• France

Difficile de retranscrire dans un jeu vidéo une discipline comme la pêche. Rapala a de faux airs de titre complexe exigeant précision des gestes et connaissances techniques, mais il n'en n'est rien. Rapidement, on maîtrise les lancers et il y a suffisamment d'assistance pour que le côté raisonné (quel leurre, quelle couleur, quelle profondeur) devienne caduque. Finalement, Rapala fournit un bel effort, mais il est vain, puisque tout ce qu'il reste c'est l'attente du poisson, mais quitte à attendre que la bête morde, autant le faire à la fraîche. Comme dirait Stoub : "et bloub tiens".

• PS2
• 10 / 20
• France

Difficile de noter un jeu de pêche sur des critères de simple réalisme. En effet, le titre d'Activision se révèle assez intéressant à joueur, fort proche de situations réelles, mais demeure passablement lassant au bout de deux ou trois parties. Seul le mode tournoi propose un semblant de challenge et se posera immédiatement comme seul centre d'intérêt véritable d'un soft un peu trop écaillé. Pour finir, Rapala Pro Fishing n'est donc pas un jeu médiocre, mais reste vraiment trop limité pour convaincre totalement. Sinon, vous pouvez toujours prendre la canne à pêche de papa et faire semblant de taquiner le goujon devant histoires naturelles.

• XBOX
• 10 / 20
• France

Difficile de noter un jeu de pêche sur des critères de simple réalisme. En effet, le titre d'Activision se révèle assez intéressant à joueur, fort proche de situations réelles, mais demeure passablement lassant au bout de deux ou trois parties. Seul le mode tournoi propose un semblant de challenge et se posera immédiatement comme seul centre d'intérêt véritable d'un soft un peu trop écaillé. Pour finir, Rapala Pro Fishing n'est donc pas un jeu médiocre, mais reste vraiment trop limité pour convaincre totalement. Sinon, vous pouvez toujours prendre la canne à pêche de papa et faire semblant de taquiner le goujon devant histoires naturelles.

• GBA
• 8 / 20
• France

Ce n'est pas parce que Rapala Pro Fishing est l'un des seuls représentants du genre sur GBA que nous devons vous le conseiller. Le rendu de l'eau est affligeant de médiocrité, le gameplay est simplifié à l'extrême et les challenges trop peu nombreux pour relancer l'intérêt plus de quelques petites heures. A éviter.

• PS2
• 13 / 20
• France

La note peut paraître sévère pour un Guilty Gear, mais sachez bien qu'on a du mal à retrouver le plaisir des autres épisodes dans Isuka. Les affrontements donnent vite dans l'explosion visuelle. C'est peut-être beau, mais ce n'est pas forcément très jouable. Dommage, l'idée était là, mais le résultat n'est pas à la hauteur des espérances.

• DS
• États-Unis

• DS
• 68%
• Allemagne

• DS
• 3 / 10
• France

• PC
• 14 / 20
• France

Développant des personnage et un univers totalement décalé, The Bard's Tale aurait pu créer la surprise en profitant d'un fond étoffé et d'une réalisation plus probante. Malheureusement, accumulant des tares quelque peu gênantes, il ne parvient pas à se sortir du statut de jeu sympathique. En bref, il conviendra (en occasion) aisément aux novices du genre, par son accessibilité, mais lassera rapidement les habitués, même pris par l'humour général. Il n'empêche que je suis impatient d'aller renverser une nouvelle fois un boeuf sur le flanc.

• PS2
• 8 / 10
• Allemagne

So, der Barde ist weg und sein Spiel beendet. Trotz einiger Längen und des geringen Umfangs war The Bard‘s Tale sehr amüsant und teils erfrischend anders. Vor allem das an Lost Kingdoms angelehnte Beschwören und Dirigieren geeigneter Mitstreiter bot eine willkommene Abwechslung im ansonsten eher konventionellen Abenteurerdasein. Die vielen Parodien und der schwarze Humor sorgten dank erstklassiger Lokalisierung ebenfalls immer wieder für gehobenen Spielspaß. In den Genreklischees, die inXile schonungslos durch den Kakao zog, ist aber auch der Barde gelegentlich stecken geblieben, so dass unterm Strich zwar ein herrlich zynisches Rollenspielerlebnis strahlt, das rein spielerisch jedoch nicht so viele Akzente zu setzen vermochte wie erhofft und darüber hinaus ohne den sonst üblichen Koop-Modus auskommen muss. Wer auf unkomplizierte Hack‘n‘Slay-Kost à la Baldurs Gate: Dark Alliance oder Champions of Norrath steht, wird dennoch seine Freude mit dem tollpatschigen Barden und seinen Missgeschicken haben, die kein Rollenspielerauge trocken lassen dürften.