Notes de presse

• PS2
• 13 / 20
• France

• XBOX
• 8.8 / 10
• États-Unis

• PS2
• 7.1 / 10
• États-Unis

• GBA
• 8 / 10
• France

• PS2
• 82%
• France

• PS2
• 14 / 20
• France

• PS2
• 14 / 20
• France

Un bon titre qui se voit malheureusement entaché par une caméra mal réglée. Celle-ci n'empêchera pas les fans de l'extra-terrestre de s'y essayer mais rebutera certainement les joueurs déjà peu amateurs du genre.

• PS2
• 17 / 20
• France

Inutile d'attendre encore pendant des mois l'éventuelle sortie de Virtua Tennis 2 sur Playstation 2. Smash Court Tennis Pro Tournament est un jeu tout simplement hors pair que tout fan de jeux de tennis se doit de se procurer. Beaucoup plus réaliste que le titre de Sega, le soft de Namco aurait pourtant gagné à être plus impressionnant graphiquement. Pour cette raison, SCTPT devra se contenter d'un 17/20 largement mérité en espérant qu'une suite encore plus réussie voit le jour prochainement.

• PC
• 3.6 / 10
• États-Unis

• PS2
• 82%
• France

• NGC
• 8.2 / 10
• États-Unis

• GBA
• 7.3 / 10
• États-Unis

• GBA
• 7.3 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 9.4 / 10
• États-Unis

Finally, I'll admit Morrowind isn't for everyone. It's a huge, sprawling, megapolis of a game that can take a couple hours just to get into and a hundred hours to complete. In an industry where most games present clear, linear paths guiding you from one pre-defined problem (a jumping puzzle, a monster, or some other dexterity test) to the next, some gamers will find Morrowind's open-endedness unfamiliar, bewildering, even perplexing. They'll sit there, waiting for someone to come along and tell them what to do. But others will find it liberating. Freedom is intoxicating. If the purpose of games is to provide absolute escapism, to immerse us deeply in another world that never was, and then to give us the ability to go through it and do what we want to do, then Morrowind accomplishes that brilliantly.

• NGC
• 65%
• Allemagne

• PC
• 5 / 5
• France

En attendant, GTA 3 est un pur bonheur. A condition, bien sûr, de comprendre que ce n'est qu'un jeu qui manie le second degré à la louche. N'empêche, dans cette caricature plutôt honnête des métropoles américaines, il est difficile de ne pas se sentir un peu visé. Ce n'est pas vraiment le fait de se défouler en bravant tous les interdits qui dérange. Comme dirait l'autre, j'ai passé toute la semaine à écraser des badauds et je n'ai même pas eu envie de me garer sur les passages piéton. Il faut dire aussi que le couplet moralisateur sur la violence des jeux responsable de la violence des rues, fait divers à l'appui, on commence à bien le connaître. GTA 3 est d'ailleurs un excellent contre-exemple : ce sont les jeux qui s'inspirent de la réalité et pas l'inverse. Non, ce qui gêne plutôt, c'est que Liberty City est salement réaliste. Caricaturale oui, mais jusqu'à quel point ? C'est peut-être le seul petit arrière-goût qui reste coincé au fin fond du gosier quand on arrête de jouer et qu'se dit, avec une petite hésitation : heureusement que ce n'est qu'un jeu.

• XBOX
• 15 / 20
• France

Un portage que l'on aurait souhaité beaucoup plus novateur. Cette version Xbox n'apporte rien de neuf aussi bien en termes de contenu qu'au niveau de la réalisation. Mais le soft reste toujours aussi explosif et hallucinant. A réserver uniquement à ceux qui ne connaissent pas le premier SSX et recherchent un titre plus fun que réaliste.

• XBOX
• 8.8 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 16 / 20
• France

• XBOX
• 88%
• France

• PS2
• 7.6 / 10
• États-Unis

• XBOX
• 7 / 10
• France

• PS2
• 13 / 20
• France

Même si la mise en scène un peu exagérée et le doublage décevant de ce titre risquent de rebuter les joueurs les plus exigeants, son atmosphère originale renouvelle un peu la catégorie. Le gameplay n'a en revanche rien de vraiment subtil, et décevra sans doute les habitués de Time Crisis 2. Si l'expérience s'avère divertissante, elle se révèle toutefois bien trop limitée pour relancer l'intérêt du jeu à long terme.

• GBA
• 55%
• France