Notes de presse

• PC
• 9 / 10
• Italie

• PS5
• 15 / 20
• France

u final, Rise of the Ronin n’est sans doute pas le jeu d’action-aventure au Japon que tout le monde attend, mais c’est une expérience solide et qui a plus d’un tour dans son sac. Les combats sont réussis (et s’appuient sur une richesse assez dingue), l’exploration n’est pas très organique mais reste agréable, et la Team Ninja exploite bien la période “Bakumatsu”, en particulier dans son écriture… Malgré tout, on reste sur notre faim, notamment à cause de niveaux à la Nioh qui ont du mal à nous faire vivre les enjeux à l'œuvre ! Le studio mise avant tout sur ses acquis, se prend même les pieds dans le tapis dans sa quête d’équilibre entre exigence et accessibilité. Rise of the Ronin reste, cependant, une bonne expérience.

• XSX/S
• 6 / 10
• France

Taxi Life: A City Driving Simulator nous propose une virée à Barcelone qui n’est pas inintéressante. Ne serait-ce que pour le cadre, bien exploité dans sa diversité, aussi bien au service des décors que de l’expérience routière à proprement parler. La conduite fonctionne bien, l’accessibilité est au rendez-vous. Mais d’un autre côté nous avons une IA qui se plait à nous gâcher la balade, un aspect gestion très timide et donc fatalement une certaine répétitivité qui s’installe une fois la ville découverte dans ses grandes lignes. On y vient avec un certain plaisir, mais on aurait aimé être invité à avoir envie d’y rester plus longtemps. Un jeu sympathique donc, mais léger. Ou certes léger, mais tout de même sympathique : comme dirait l’autre le nord, le sud, selon comme on est placé, ça change tout ! A vous de voir si vous cherchez une expérience plus ou moins prenante ou récréative, c’est à cette seconde option que Taxi Life répond le mieux.

• PS5
• 6 / 10
• France

Rise of the Ronin avait sûrement trop d'ambition car le jeu n'a pas su s'y tenir. Ses promesses étaient pourtant alléchantes. Pour un jeu où le combat est maître, rien n'est intuitif ou vraiment abouti. Pour un jeu qui traite maladroitement son inspiration historique, l'exploration n'est pas une priorité et seul le côté RPG tient la route tout au long de l'aventure. S'il était sorti 5 ans plus tôt, l'indulgence aurait été de mise, mais il faut vivre avec son temps et malheureusement Rise of the Ronin arbore un caractère vieilli. L'attention aux détails et à la pertinence aurait pu tout changer pour lui.

• SWITCH
• 8 / 10
• États-Unis

• PS5
• 8.5 / 10
• Italie

• PC
• États-Unis

• SWITCH
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• IOS
• 8 / 10
• Italie

Call of Duty: Warzone Mobile punta a diventare il migliore sparatutto disponibile su iOS e Android e si presenta al lancio con un impianto già solidissimo, tanto sul fronte del gameplay quanto su quello delle modalità e dei contenuti. Verdansk, i 120 giocatori contemporanei, le playlist multiplayer, la cross-progression e il supporto per il controller si pongono come caratteristiche entusiasmanti, sebbene al momento ci siano diversi spigoli da smussare: una sfida non da poco per Activision, ma la strada è lunga e il potenziale evidentissimo.

• XSX/S
• 8 / 10
• États-Unis

To summarize: Alone In The Dark has a palpable feeling of trying to balance a lot of things at once, and struggling with some, while getting it right on others. This leads to an experience that’s enjoyable while you’re playing it, but starts to feel a bit lacking once you put down the controller and try to analyze it further. This doesn’t mean it’s a bad game by any means, just one that’s a little confused and doesn’t quite reach the heights of some other recent horror gaming experiences, where the bar has been raised extremely high in the last few years. This new reimagining of an influential survival horror title shows a lot of love for the original in some small ways, but also disregards and tramples over much of its DNA, so some hardcore fans may be disappointed if looking for a 1:1 remake. At the end of the day, Alone In The Dark is an enjoyable retelling of a horror classic that aimed high and only partially stuck the landing with its story. However, it’s still a fun experience for those looking for a new non-action survival horror game in 2024 and is a nice alternative to the action-packed, over-the-shoulder titles of the last few years.

• PS5
• 70%
• Espagne

• PS5
• 8 / 10
• Espagne

• PS5
• Australie

• PS5
• États-Unis

• PS5
• 8.5 / 10
• Italie

Dragon's Dogma II è un gioco che, ancora di più, riflette la volontà di Hideaki Itsuno di non dare respiro o vantaggio ai giocatori. Benché in alcuni aspetti si sia ammorbidito, rimane un viaggio dove ogni singolo passo va conquistato e la nostra resilienza viene messa di continuo alla prova. È un'esperienza assuefacente nel momento in cui si accettano molte delle sue scelte di design e le si distingue da difetti veri e propri o altri elementi discutibili, implacabile verso chiunque e che prima di dare chiede molto. A dodici anni di distanza dall'originale l'ho affrontato con più consapevolezza e ho saputo trarne gli aspetti migliori, pur con le mie sfortune, venendo ricompensata da un sistema di combattimento stratificato e votato alla sperimentazione (pur con un livello di difficoltà minore), un'esplorazione votata al senso di sorpresa e scoperta nonché pronta a ricompensare ogni volta nel modo giusto, un mondo di gioco estremamente interconnesso e ricco di eventi imprevedibili, a cui correndo troviamo una trama piacevole nella sua semplicità. Per questo, nonostante alcuni difetti sensibili tra cui la gestione della peste draconica e alcune sbavature sparse, ho voluto premiarlo più di quanto inizialmente avessi pensato: non manca di pretese ma è in grado di ripagare a dovere.

• PS5
• 4 / 5
• Royaume-Uni

• SWITCH
• 8 / 10
• Royaume-Uni

Princess Peach: Showtime! sees Nintendo finally give everyone's favourite imaginary princess the rollicking adventure she deserves. We had expected a rather throwaway offering here, a bunch of minigames and Mario-lite platforming maybe, but what we've got is one of the better kid-focused games on Switch. There's creativity, style, and fun to spare here, with levels packed full of secrets, cool outfits, and enough new mechanics to ensure nothing ever outstays its welcome. Come for the fashion, stay for the boss battles, slo-mo bullet dodges, and cardboard horse chases. Besides a few niggling performance issues, this is Nintendo on rather cracking form. Encore!

• PS5
• 8 / 10
• Italie

• PC
• 5 / 5
• Royaume-Uni

• PS5
• 8.5 / 10
• Italie

• XSX/S
• États-Unis

• PS5
• 4.2 / 5
• Italie

• PS5
• 7 / 10
• Royaume-Uni

An entertaining open world action role-player, with an interesting approach to AI-controlled companions, but which proves disappointingly similar to the 2012 original.

• PS5
• 7 / 10
• France

Il faut savoir dans quoi on se lance avec Dragon’s Dogma 2. Celles et ceux en quête d’une expérience accessible peuvent passer leur chemin. Le RPG de Capcom est austère et met constamment des obstacles pénibles sur notre route. C’est l’aventure dans toute sa splendeur et toutes ses contrariétés. La barrière à l’entrée est immense, un peu trop pour un jeu à la structure insuffisamment maîtrisée. Il n’empêche, si on fait fi de ces défauts qui peuvent paraître rédhibitoires, Dragon’s Dogma 2 a de belles choses à offrir. Il est un diamant brut qui demande d’être poli pour accomplir tout ce qu’il entreprend. Il se destine alors à un public averti, qui saura se satisfaire de mécaniques hardcore et faire preuve d’indulgence pour pardonner une structure organique rattrapée par des scripts. Dragon’s Dogma 2 regarde plus loin que là où il lui est possible d’aller.