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Proposez une note de presse sur ce jeuMalgré un système de sauvegarde un peu frustrant, White Night se présente comme une bonne surprise. Les studios OSome ont réussi à nous plonger dans un univers sombre et effrayant, avec une direction artistique réussie et une bande sonore impeccable. Il est certain que White Night ne laissera pas indifférent les amateurs de bons vieux survival horror.
White Night n'est assurément pas le grand frisson que l'on attendait. En raison de trop nombreuses erreurs que l'on mettra sur le compte de la jeunesse du studio (angles de caméra, système de sauvegarde mal pensé, maladresse d'écriture et de réalisation), l'aventure monochrome d'OSome ne s'érige pas au rang d'incontournable de l'angoisse. Toutefois, empruntant beaucoup à l'esprit des vieux survival, White Night pourrait vous séduire par sa direction artistique originale, son atmosphère réussie et la qualité de son habillage sonore.
The art style and premise are great: as a detective, you’re meant to introduce light into White Night’s world of darkness. And early on, it definitely feels like this is going to be a neat, smart idea that’ll be central to everything. But once you get into the house, it mainly involves scrambling about in the dark and bumping into furniture you can’t see as you run away from ghosts you can’t see either. The bones of a decent procedural horror game are buried under roughly six feet of frustrating fixed camera angles, insta-death, and bad checkpointing. Ultimately, it’s just not that much fun being a detective in the dark.
Le style artistique et les débuts du jeu sont bons : en tant que détective, vous êtes censé apporter la lumière dans le sombre monde de White Knight. Et au commencement, on a bien l’impression que tout cela est une brillante idée qui sera au coeur du jeu. Mais une fois arrivé dans la demeure, cela se résume surtout à être perdu dans le noir, se heurter à des meubles que l’on ne peut pas voir ou encore à fuir les esprits invisibles. Ce jeu d’horreur était prometteur mais a été grossièrement enterré six pieds sous terre par des angles de caméra capricieux, un système de morts instantanées frustrant, et des check-points mal placés. En fin de compte, ce n’est pas si drôle d’être un détective dans le noir, si vous voulez mon avis...
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