Notes de presse

• XSX/S
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• PC
• 9.5 / 10
• Australie

DOOM: The Dark Ages feels almost entirely made from my dreams. A slightly more grounded shooting experience, with an emphasis on well executed timing and shooting massive demons with your even more massive guns – it’s a hit. My only real point of concern is the stark truth that the game is banking heavily on people engaging with it from a completionist perspective, given the lack of any co-op or multiplayer option. It almost feels like DOOM: The Dark Ages has slid a little too far into the past, emerging as a 16 hour story experience and nothing more. I know when I finished my initial playthrough, I marvelled at how I had managed to scrape by with 90-100% completion on most chapters – so there are still some secrets left for me to explore, but man, what if I had achieved 100%? It would feel like a punch in the gut. I know there is some DLC coming, described as a ‘campaign’ DLC which is neat – but man, if ever there was a DOOM for co-op, it was this one.

• PC
• 80%
• États-Unis

• XSX/S
• 8 / 10
• France

• PC
• 6.5 / 10
• Australie

• PC
• PS5
• XSX/S
• 8 / 10
• France

Avec DOOM: The Dark Ages, id Software prend un virage audacieux, en enfonçant les deux bottes dans un univers de dark fantasy crasseux et sacrifié. Loin de la nervosité fulgurante qui avait fait de DOOM Eternal un chef-d’œuvre de violence chorégraphiée, le Slayer est plus lourd, plus bestial, plus ancré dans la terre et le sang. Techniquement, c’est une démonstration. L’id Tech 8 crache ses particules à +150 fps sans broncher, et chaque zone visitée regorge d’un travail artistique qui mérite qu’on s’y attarde même si l’exploration, justement, manque parfois d’intérêt ou casse un peu le rythme. Côté gameplay, les combats restent d’une efficacité redoutable, en particulier grâce à des armes bien pensées. Mais The Dark Ages n’est pas le meilleur DOOM depuis le reboot de 2016. Il lui manque cette énergie animale et cette nervosité pure qui faisaient de DOOM 2016 mais surtout d’Eternal, des uppercuts constants. Certains choix de mise en scène comme les phases en dragon ou en mécha impressionnent visuellement mais s’avèrent pauvres manette en main. Et l’exploration trop mise en avant ralentit parfois un tempo qui, dans cette série, devrait rester au seuil de la crise d’adrénaline. Reste toutefois, un très bon jeu, un DOOM différent, qui a le mérite de tenter autre chose. Plus contemplatif, plus technique, mais parfois moins jouissif. Pas le meilleur de la saga moderne, non. Mais une pierre intéressante dans le mausolée sanglant qu’id Software continue d’ériger.

• PS5
• 8 / 10
• France

• PS5
• 9.5 / 10
• États-Unis

• SWITCH
• 18 / 20
• France

• PC
• SWITCH
• PS4
• XONE
• 7 / 10
• France

Cette collection ne révolutionne pas la formule établie ces dernières années et ne saurait trouver son public qu'à condition que les fans soient absolument acquises à la cause d'un ou plusieurs des titres inclus. Reste à savoir si Capcom cherche ici à prendre la température pour un éventuel retour d'une de ses licences restées silencieuses depuis trop longtemps, ou simplement à donner une opportunité aux fans de retrouver leurs madeleines de Proust. Bref, à l'instar de la première, Capcom Fighting Collection 2 cible un public précis et sera évidemment porté par la qualité de son mode multijoueur en ligne, ainsi que par le retour d'un opus très apprécié des connaisseurs : Capcom VS SNK 2.

• SWITCH
• 4.6 / 5
• Italie

• XONE
• 9 / 10
• France

En nous emmenant vers cette époque où l’on osait tout et parfois un peu n’importe quoi, Capcom Fighting Collection 2 est certainement la plus éclectique des compilations de jeux de baston de l’éditeur japonais. Retrouver au même endroit Power Stone, Capcom vs SNK et Rival School 2 relève d’une certaine idée de la perfection pour le joueur qui a vécu ces années désormais lointaines sur Dreamcast ou en Arcade au rythme des prouesses signées Capcom. Si l’on peut rester de marbre devant une paire de jeux et trouver que les titres 3D de l’époque ont pris un coup de vieux visuel, la proposition est de très haut niveau dans son ensemble et peut surtout compter sur Capcom vs SNK 2, monument de la baston 2D, pour justifier à lui seul de se lancer tôt ou tard à l’assaut de Capcom Fighting Collection 2.

• PC
• 8.5 / 10
• Italie

• PC
• 85%
• France

• PC
• 7 / 10
• Italie

È molto più difficile creare un videogioco godibile dove sei un poliziotto, che non uno dove sei un criminale – e il motivo è abbastanza semplice: nel secondo caso, il divertimento ludico passa proprio dal poter fingere, nel gioco, di non avere regole, di avere totale libertà di azione. Nel primo, invece, proprio il rispetto delle regole del protocollo è la base, rendendo ogni tentativo di esperienza free roam, come quella di The Precinct, necessariamente "simulativo", basato su una routine. Questo, in effetti, il gioco di Fallen Tree Games lo realizza molto, molto bene: in un'atmosfera anni '80 ben tratteggiata e ben musicata, chi è affascinato dall'idea di diventare un poliziotto virtuale trova qui, ludicizzato, ogni piccolo aspetto: dalle multe al vandalismo, dalla guerra tra gang alle mansioni della Stradale, dalla Volante di supporto all'Investigativa per un omicidio all'interrompere un tentativo di rapina. Dove The Precinct arranca è proprio nel suo loop, che per la sua natura fatica a prestarsi a un'esperienza ludica duratura, ed esaurisce la sua spinta vitale un po' prima di quanto non finisca il gioco. Complici anche, certo, degli spigoli tecnici ancora presenti, che non sempre permettono al gioco di brillare pienamente. Ma, nonostante tutto questo, rimane il più riuscito "simulatore di Polizia" da molto, molto tempo: meno ingessato dei concorrenti, a fuoco nella sua atmosfera, stiloso nelle scelte di regia e di direzione artistica. Non sarà GTA né il suo esatto contrario col distintivo, ma è un gioco di personalità dove è vero che si dimostra che fare i buoni in un videogame può essere più noioso che fare i cattivi – ma anche che sa essere gratificante.

• XSX/S
• 8.5 / 10
• États-Unis

• PS5
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• XSX/S
• 88%
• Brésil

• PC
• PS5
• 9 / 10
• États-Unis

The Midnight Walk is a living storybook that blends melancholy, surreal atmosphere, and emotional resonance into something unforgettable.

• X360
• 80%
• Mexique

• PC
• SWITCH
• PS4
• XONE
• 17 / 20
• France

• PC
• 4 / 5
• États-Unis

• PS5
• 5 / 10
• France

The Precinct ne sera malheureusement pas la pépite surprise attendue, loin de là même. Si certains apprécieront sans nul doute l’hommage aux anciens GTA, mais en étant de l’autre côté de la barrière et les mécaniques liées à cela, les limites du jeu en termes de narration, de répétitivité et d'approximations de gameplay trahissent les ambitions. Au final, malgré une proposition de base intéressante, le jeu est vite rattrapé par tous ces défauts trop importants qui ne permettent pas d’avoir l’expérience « fun » promise par le studio;

• XSX/S
• 6.5 / 10
• France

Nous attendions beaucoup de The Precinct suite à nos premières minutes dessus l’année dernière. Peut-être trop finalement. La plus grosse déception réside dans sa narration très pauvre et sa structure de jeu peu intéressante. En revanche, le titre propose une expérience de résolution des crimes et délits bien plus sympathique. Avec son système de génération d’infraction dynamique et aléatoire dans une ville certes petite, mais vivante, The Precinct nous donne toujours quelque chose à faire. Amendes de stationnement, trafic de stupéfiant, courses poursuites en voiture ou en hélicoptère, les situations sont variées auxquelles s’ajoutent du contenu annexe à parcourir. Dommage que la prise en main soit entachée par quelques soucis de collision en véhicule et que leur conduite soit un peu trop savonneuse. Malgré cela, The Precinct demeure tout de même un titre plutôt agréable à parcourir que l’on peut vous conseiller.