Notes de presse

• PS5
• 7.5 / 10
• États-Unis

• SWITCH
• 8 / 10
• Royaume-Uni

Earthion is a terrific piece of work. It's more an accomplished production, arguably, than a shoot 'em up of incredible highs, but at the same time, that’s part of its charm. It has a different feel thanks to its shield system and mid-stage upgrade rungs, and this is a refreshing and welcome change from the norm. Much of the fun is in figuring out the order of bolstering your ship and the little tricks that various weaponry affords when faced with tricky junctures. It does some things other shoot 'em ups don’t do, and is all the more standout for it.

• PC
• PS5
• PS4
• SWITCH
• SWITCH2
• XONE
• XSX/S
• 14 / 20
• France

FC 26 est désormais disponible en accès anticipé, et ne comblera malheureusement pas toutes les attentes portées sur la célèbre licence d'EA Sports. S'il divise son gameplay en deux avec le compétitif en online et la possibilité du réaliste (plus lent et animé) en dehors, L'ex-FIFA ne calmera pas les frustrations des joueurs. En cause, des scores fleuves et scénarios toujours trop en faveur des attaquants-dribbleurs, calvaires pour les défenseurs ou gardiens IA. Dans les satisfactions, on notera tout de même le mode Carrière manager abouti avec des carrières Live pour prolonger le plaisir, même si le manque d'inspiration et de renouveau dans les cinématiques ou licences pèsera les habitués. Avec les potentielles futures concurrences de la FIFA pour la Coupe du Monde ou Take-Two sur la scène des jeux de foot, sans oublier un Football Manager 26 qui s'annonce dantesque, EA FC va devoir se réinventer ou aller plus loin pour retrouver de l'allant les années à venir.

• XSX/S
• États-Unis

• PC
• 70%
• États-Unis

• PS5
• 6 / 10
• États-Unis

• PC
• SWITCH
• PS5
• 17 / 20
• France

Opération réussie pour Falcom avec Trails in the Sky 1st Chapter ! En se donnant les moyens de ses ambitions, le studio japonais livre un remake idéal pour découvrir sa licence phare. Grâce à un excellent système de combat, des graphismes soignés et surtout une traduction française réussie, les premières aventures d'Estelle et Joshua sont plus captivantes et accessibles que jamais. Et si l'histoire est portée par un univers fascinant et des personnages attachants, on reprochera tout de même qu'elle mette du temps à démarrer et qu'elle souffre de certaines longueurs. Désormais, on a qu'une seule hâte : découvrir le remake du prochain épisode qui est considéré comme l'un des meilleurs opus de la saga et qui est déjà dans les tuyaux...

• PC
• SWITCH
• PS5
• 9 / 10
• France

Il y a des remakes ou des revisites dont on doute parfois de l’utilité, tant le titre d’origine est encore solide le plan visuel et technique, restant parfois timide voir perçu sous forme de « patch » adoucissant les performances. Ce qui n’est clairement pas le cas de Trails in the Sky 1st Chapter, qui nous propose limite l’équivalent d’un nouveau jeu. L’histoire et la narration sont restées les mêmes qu’à l’époque, mais l’ensemble a bénéficié de modernisations visant les standard actuels . On ne pouvait espérer mieux que ce remake de qualité pour un titre qui est le point de départ d’une saga iconique du JRPG, avec enfin la possibilité pour le plus grand nombre de s’y frotter grâce à la localisation des sous-titres dans notre langue. Espérons maintenant que le reste de l’arc suive avec la même qualité, et je serai ravi.

• PS5
• 7 / 10
• États-Unis

An open world was the right move for a Borderlands franchise that’s on its back foot. If you can grin and bear through some bad console performance, Borderlands 4 rewards you with a whole lot more looting and shooting. Some small new additions around the edges and a solid slate of bosses and side-quests spice up this fourth numbered entry that’s still as brazen and immodest as ever.

• PC
• 16 / 20
• France

Dying Light : The Beast est le digne successeur de Stay Human et l'opus le plus ambitieux de la saga. Techland libère en 2025 son côté bestial en peaufinant le parkour et les combats, et en tentant de gommer plusieurs défauts historiques de la franchise. Le sentiment de liberté qui se dégage du jeu et sa brutalité cathartique en font un parfait exutoire pour tous les fans du genre qui sauront prendre le temps de contempler un monde ouvert d’une beauté éclatante. Néanmoins, The Beast n’est pas parfait, loin s’en faut, et souffre de certains maux modernes qui auraient mérité d’être soignés.

• PC
• 4 / 10
• France

Dire que Dying Light : The Beast est notre déception de la rentrée, c'est un euphémisme. Toutes les conditions étaient réunies pour livrer une belle tranche d'action-aventure resserrée sur 20 heures, sans gras ni remplissage excessif, et pourtant Techland a trouvé le moyen de trébucher sur de nombreux plans à cause d'une vision plus trouble que ce que les documents promotionnels voulaient bien laisser entendre. Du level design à l'intrigue en passant par l'omniprésence d'interminables combats contre les gros zombies de Castor Woods, les retrouvailles avec Kyle Crane sont d'abord excitantes, ensuite redondantes, puis carrément navrantes dans la dernière ligne droite. Un cas d'école de projet qui aurait dû réussir mais n'avait tout simplement pas les reins.

• PC
• 8 / 10
• Italie

Dying Light: The Beast si mantiene sulla linea qualitativa alta della serie, muovendosi in una direzione leggermente diversa dal secondo capitolo per proporre un'esperienza brutale e viscerale. Il ritorno di Kyle è graditissimo, così come la gestione del suo arco narrativo, e sebbene la Bestia non sia una meccanica così di peso nell'economia del gioco si lega bene alla narrativa senza mancare di offrire un approccio diverso al combattimento. Non sono troppo convinta della gestione dei Volatili, i quali rendono le notti molto dure soprattutto all'inizio, chiedendo in generale uno sforzo che non merita di essere profuso più di tanto, ma non nego le sensibili migliori nei loro confronti. Per il resto, siamo di fronte a un gioco che non reinventa se stesso, andando a rifinire alcuni aspetti per meglio adattarli alla volontà di essere più cupo e violento.

• PS5
• 8 / 10
• Italie

Se siete fanatici degli zombie e il vostro sogno è vivere un'apocalisse di non morti credibile, ma comunque scenografica, spaventosa e d'atmosfera, Dying Light The Beast è un titolo che non dovreste farvi sfuggire. La storia di Kyle Crane è un classicone a tratti un po' prevedibile, ma ci sono tanti altri sopravvissuti con vicende più particolari pronti a far presa su di voi, nelle numerose missioni secondarie nascoste a Castor Woods. Una location naturale differente dalle dense città di Techland, dove piccole, più rifinite "attrazioni" galleggiano in un tessuto più arioso, fatto di boschi e segreti minori, come se ci trovassimo in un parco giochi a tema zombie. I combattimenti sono più violenti che mai, la meccanica bestiale è una forza e il parkour funziona, seppur con qualche incertezza qui e là. Affinare le capacità di Kyle vi terrà impegnati a dovere per le 30 ore necessarie per la campagna principale. La ripetitività, data la compattezza di setting e vicende, c'è ma si sente meno. Per quanto ci riguarda, The Beast è un capitolo più ponderato, che pur non tentando la rivoluzione della sua formula la ristruttura quanto basta: con passione, urla, sangue e tante, tantissime mazzate.

• PC
• 8 / 10
• Italie

In conclusione, Dying Light: The Beast è un titolo sorprendente per profondità, atmosfera e maturità. Pur non rivoluzionando la formula, riesce a rifinirla in modo convincente, colmando le lacune del secondo capitolo e riscoprendo ciò che ha reso grande il primo. È un gioco che osa dove serve, ma senza tradire la propria identità. Se da un lato offre un gameplay familiare, dall’altro introduce novità sensate e coerenti, con un impianto narrativo finalmente solido e coinvolgente. Non è perfetto, ma ha un grande senso di coerenza, e questo oggi basta — e avanza — per renderlo uno dei titoli più riusciti dell’anno nel panorama action survival.

• PC
• PS5
• PS4
• SWITCH
• SWITCH2
• XONE
• XSX/S
• 8 / 10
• France

Difficile de révolutionner un produit qui marche quand même tous les ans, critiqué ou pas. Mais EA Sports a le mérite d'avoir pris en compte un certain nombre de retours et de critiques de la communauté, avec pour objectif de se rapprocher au maximum de leurs exigences. L'arrivée d'un double gameplay distinct est une excellente nouvelle, bien que pour le mode Compétitif, il faudra évaluer les nouveautés sur la durée et avec l'évolution des modes en ligne tout au long de la saison. FUT s'enrichit encore en contenu et en durée de vie, avec un niveau intermédiaire en compétition et des événements pour tout le monde. La Carrière gagne encore en réalisme et l'ensemble du produit est plaisant et immersif. Attention tout de même, EA Sports FC est un jeu, malgré la présence du gameplay Authentique, très, très porté sur l'offensive et le spectacle, peut-être trop. En tout cas, il risque de faire débat sur le plan défensif, tant la maitrise de celle-ci va demander de la patience et de l'intelligence de jeu. Mais pour un début, avant les mises à jour à venir et le lancement officiel le 26 septembre, c'est du très bon.

• PC
• PS5
• PS4
• SWITCH
• SWITCH2
• XONE
• XSX/S
• 8.2 / 10
• Italie

EA Sports FC 26 non stravolge la sua formula ormai consolidata da anni, ma la migliora e ne smussa gli angoli facendo tesoro di tantissimi feedback ricevuti nel recente passato. Un capitolo più consapevole e diplomatico nella sua volontà di voler accontentare tutti, cercando di diventare un posto sicuro tanto per gli amanti delle sfide online quanto dei lupi solitari appassionati delle lunghe carriere. Un parco giochi tirato a lucido anche per questa nuova edizione, in grado di accompagnare gli utenti per tutto l’anno calcistico con le sue attrazioni più rodate e conosciute.

• XSX/S
• 8 / 10
• Italie

• PC
• 3.5 / 5
• Arabie saoudite

• PC
• 5.5 / 10
• États-Unis

Towa and the Guardians of the Sacred Tree is a visually charming and narratively ambitious roguelite that explores themes of sacrifice, time loops, and divine responsibility. While the world-building and character interactions show genuine heart, the gameplay struggles to support the story’s weight. Repetitive run structures, a tedious weapon durability system, and emotionally flat consequences undermine what could have been a standout experience. It’s a game full of good ideas, but one that ultimately lacks the cohesion and polish needed to make its ambition truly resonate.

• PS5
• 7 / 10
• Italie

Towa and the Guardians of the Sacred Tree è un roguelite competente che purtroppo appesantisce eccessivamente il gameplay di funzionalità, dialoghi e caratteristiche GDR, compromettendo l'aspetto più affascinante del genere che giochi come Hades hanno perfettamente azzeccato: l'immediatezza. Nonostante una direzione artistica di grande impatto e alcune soluzioni di gameplay solide e convincenti, il titolo Brownies sembra più adatto a chi cerca una maggiore componente strategica e adora perdersi tra numeri, risorse e funzionalità secondarie, sacrificando un'esperienza più scattante e intuitiva. È vero che Hades 2 è alle porte ma, se preferite qualcosa di più complesso e nipponico, Towa potrebbe essere una solida alternativa.

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

• PS5
• XSX/S
• 7.8 / 10
• Italie

NHL 26 è il nuovo capitolo della serie EA Sports dedicata all’hockey su ghiaccio, disponibile dal 12 settembre 2025 su PlayStation 5, Xbox Series X|S e PC. Il gioco punta tutto sulla fluidità del gameplay, su una modalità carriera migliorata e su un comparto tecnico solido, ma resta poco accessibile per chi non mastica l’inglese.

• XSX/S
• États-Unis

• PS5
• 6.5 / 10
• États-Unis