Notes de presse

• PS5
• 8.5 / 10
• France

L’Amerzone : Le Testament de l’Explorateur appartient à un genre de jeu malheureusement bien trop absent de nos étals en comparaison du marché d’il y a une vingtaine d’années. Avec ce remake, Microids nous prouve que ce genre peut toujours fonctionner. Tout en gardant le matériau d’origine, le titre parvient à se moderniser et devrait sans mal pouvoir trouver son public aussi bien chez les anciens vétérans du genre que pour des nouveaux venus. Techniquement maîtrisé et très joli, doté d’un doublage et d’une bande son de qualité, le jeu nous a emmenés dans une superbe aventure. Quelle tristesse que les efforts des équipes de Microids Studio Paris pour ce jeu soient récompensés par une fermeture du studio. Espérons le meilleur aux concernés et plus de jeux de cette qualité pour un genre si peu représenté.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 85%
• États-Unis

A virtually perfect remaster that maintains the spirit of the original while significantly boosting its visual and mechanical authenticity. Cyrodiil is more inviting—and enjoyable—than ever. It’s an RPG experience not to be missed in 2025.

• PC
• 5 / 10
• Australie

The ramshackle world that Zoe is trying to save feels a great deal like a metaphor for the game itself. What we have here is a game that, despite glimpses of interesting ideas, ultimately feels visually over-polished and underdeveloped. I see the concept of what Steel Seed aspired to be, and I desperately wish it had hit that mark –the experience on offer is uniquely impressive from a conceptual standpoint, but the execution of it all just asks too much of my patience to vibe with it properly.

• PC
• PS5
• XSX/S
• 15 / 20
• France

Certes, le RPG solo en monde ouvert a beaucoup évolué en 20 ans. Même si The Elder Scrolls IV reste un titre incroyablement riche, divers éléments nous rappellent que nous sommes bien face à un soft sorti en 2006. Mais ce qu’il ne faut pas oublier, c’est qu’Oblivion était en avance sur son temps et qu’il a encore de sérieux arguments en 2025. La lettre d’amour de Virtuos adressée à l'œuvre de Bethesda est en tout cas très forte : c’est beau, c’est rénové avec intelligence et ça reste fidèle à l’âme d’une création qui a marqué son époque. Nostalgiques, vous avez toutes les raisons du monde pour répondre à l’appel des Lames. Néophytes, il serait peut-être temps de vous laisser séduire par ce vieux grimoire joliment réédité, surtout si vous avez le Game Pass : vous pourriez trouver une formule ensorcelante.

• PC
• 3 / 5
• France

Steel Seed s'inspire ouvertement des grands noms du jeu vidéo (Assassin's Creed, Hitman, Uncharted, Metal Gear Solid, Dark Souls...) pour proposer un mélange d'infiltration, d'exploration et de combat. Développé par Storm in a Teacup (connu pour Close to The Sun), le jeu nous plonge dans une cité souterraine futuriste, peuplée de robots et de secrets. Mais gérer autant de mécaniques différentes est un défi : Steel Seed tiendra-t-il la route ?

• PC
• 6 / 10
• France

• PC
• 7 / 10
• Royaume-Uni

• PC
• 7.5 / 10
• États-Unis

• PC
• 7 / 10
• Italie

Steel Seed scricchiola quando cerca di osare troppo, ma rimane comunque un titolo coraggioso, appassionato e pieno di quella voglia di raccontare e divertire con l'avventura come si faceva alla vecchia maniera.

• PC
• 70%
• Japon

• PC
• 7 / 10
• Italie

• PC
• 6.5 / 10
• Grèce

• PC
• PS5
• XSX/S
• 7.5 / 10
• Italie

Steel Seed è un condensato di meccaniche di gameplay, spunti narrativi e suggestioni visive provenienti dagli anni novanta, tanto riguardo i videogiochi quanto il cinema. Storm In a Teacup ha confezionato un valido action-adventure che fa poco, ma lo fa assai bene, garantendo una dozzina di ore di gioco appagante e senza orpelli inutili di contorno. Adattissimo a chi cerca un'esperienza di gioco compatta che non si perde in chiacchiere. Tuttavia, gli manca forse un po' di respiro per elevarsi a grande esponente del suo genere. In definitiva però non gli interessa nemmeno farlo, limitandosi a proporre un'esperienza di gioco classica ma mai stantia. Dategli una chance e non ve ne pentirete!

• PS5
• 8 / 10
• France

Clair Obscur Expedition 33 est assurément une claque à la française qui dégouline d’amour pour le jeu vidéo, et l’art dans son ensemble. Extrêmement généreux dans tout ce qu’il entreprend, on ne pourra lui reprocher finalement que d’en faire parfois un peu trop au risque de frôler l’explosion. On le sent à bout de souffle, à fleur de peau. Il n’y a pas un aspect qui ne va pas au bout des choses et qui ne se tient pas fermement à la vision de ses créateurs quitte à désarçonner, voire déranger. En ce sens, le jeu dégage une créativité et une intelligence intouchable. Les développeurs nous donnent tout ce qu’ils ont, tout ce qu’ils veulent et on le reçoit avec plaisir et émotion. Il ne lui aurait finalement manqué qu’à trouver un bel équilibre et un peu plus de finition pour en faire un réel chef-d'œuvre. Il n’en reste pas moins un excellent jeu et surtout un concurrent sérieux aux plus prestigieuses récompenses de l’année.

• PS5
• 8 / 10
• France

• PS5
• 8.1 / 10
• Canada

• PS5
• 8 / 10
• Royaume-Uni

An excellent return to form for one of the most respected 2D fighters in the business, that makes a solid impact despite some gimmicky guest characters.

• PS5
• 84%
• Japon

• PC
• 8 / 10
• Italie

• PC
• PS5
• XSX/S
• 16 / 20
• France

Un retour en force ? Oui, on peut le dire. Fatal Fury : City of The Wolves est beau, nerveux et a un netcode qui fonctionne parfaitement pour affronter vos amis ou de parfaits inconnus en ligne. Il y a certes quelques ombres au tableau, notamment le choix de certains personnages, Ronaldo en tête, et un mode histoire qui est malheureusement assez anecdotique, mais on lui pardonne volontiers les 26 ans d’attente au vu de la qualité de cette production qui marque un retour spectaculaire pour cette saga incontournable du genre des jeux de baston...

• PS4
• 7 / 10
• États-Unis

• PC
• 8 / 10
• Royaume-Uni

Fatal Fury: City of the Wolves is a great addition to the series, with a large cast of fighters and accessible controls that let you pull off big attacks with ease.

• PS5
• 8.5 / 10
• France

Fatal Fury/Garou revient après 26 ans d’absence. Et quel retour ! Les quartiers de South Town n’auront jamais été aussi bien mis en avant. Conscient de ce qu’est la licence, de ses forces et de sa singularité, SNK nous offre ce que l’on peut considérer comme l’opus le plus complet de la franchise. Visuellement convaincant, le gameplay risque de faire trembler Street Fighter 6 et Guilty Gear Strive, sans compter l’effort fait sur la partie narrative. Fatal Fury: City of the Wolves nourrit des ambitions sur le long terme. On espère donc que le soutien des Émirats saura emmener le jeu dans la bonne direction. Parce qu’une crainte demeure, malgré les qualités. L’excellence, la place de roi incontestée, semble volontairement délaissée, comme l’atteste les manquements sur le mode EOST dont les moyens alloués ne rendent pas justice à l’ambition apparente. Comme si le budget avait manqué au contenu solo, après avoir dépensé à foison sur la communication. Au moins, COTW honore la série comme il se doit et prouve que les loups de South Town ont les crocs bien acérés.

• PC
• PS5
• XSX/S
• PS4
• 8 / 10
• États-Unis

Despite some hiccups on the presentation side, Fatal Fury: City of the Wolves delivers in all the ways that matter most.