Notes de presse

• PC
• 9 / 10
• États-Unis

• PS5
• 9 / 10
• Italie

• PC
• PS4
• PS5
• XONE
• XSX/S
• 7 / 10
• Espagne

Call of Duty: Black Ops 7 intenta compensar con una inmensa cantidad de contenido su excesivo continuismo. Tiene el mejor multijugador de la serie en años, y Objetivo Final es una fantástica adición con el potencial de ser memorable. Sin embargo, su terrible campaña y su vocación de refinar la fórmula de siempre, lo convierten en un juego notable, pero no excelente.

• PC
• États-Unis

• PC
• 4 / 10
• France

Si Dieu existe, alors il a le sens de l'humour. Parce que sortir le pire Call of Duty de l'histoire juste après le grand retour de Battlefield, c'est quand même très drôle, style « Tahiti Bob se prend un râteau comiquement grand ». Call of Duty : Black Ops 7 est l'épisode de trop après l'épisode de trop, celui qui démontre par l'exemple que Treyarch, Raven Software et Infinity Ward sont tous complètement exsangues et que la franchise n'est plus qu'une monstrueuse chimère qui s'écroule sous son propre poids. Du mode Zombies opaque pour les néophytes à un multijoueur toujours plus agressif jusqu'à cette ridicule campagne qui essaie de jouer la carte de la nostalgie tout en déféquant allègrement sur l'histoire de Black Ops 2, ce dont l'absurdité crève les yeux, il s'agit de la phase terminale d'une franchise qui devrait recevoir les soins palliatifs ou, tout du moins, passer d'heureuses vacances sur une plage tropicale pour revenir plus forte dans quelques années, mais qui se retrouve à trimer chaque année boulet au pied jusqu'à découvrir une nouvelle évolution du burn-out. Ce que les parodies et insultes des années 2010 ont imaginé, Call of Duty : Black Ops 7 l'est devenu. Triste naufrage.

• PC
• PS4
• PS5
• XONE
• XSX/S
• 6 / 10
• France

Call of Duty Black Ops 7 cherche à se réinventer sans rompre avec ses fondamentaux. Au global, l’expérience séduit par moments, mais peine à tenir ses promesses sur la durée. La somme de qualités indéniables ne parvient pas à compenser les défauts présents, et c’est cette dissonance qui empêche l’épisode de s’élever au niveau attendu. On joue, on apprécie par intermittence, on reconnaît la valeur de certaines ambitions, mais l’impression finale reste celle d’un épisode qui manque d’un souffle fédérateur, de finition, pour se hisser dans le haut du panier.

• PS5
• 7.5 / 10
• Irlande

• PC
• 14 / 20
• France

Escape from Tarkov offre aux opérateurs téméraires et un brin masochistes une expérience vidéoludique hautement immersive au sein d’un univers dystopique, réaliste et crédible. L’Extraction Shooter de Battlestate Games se démarque des autres jeux du genre par sa vision sans compromis, ses gunfights intenses et la richesse de son contenu. Toutefois, seuls les vétérans peuvent réellement profiter de la version 1.0, tant ces derniers dominent la zone d’exclusion. EFT s’adresse avant tout à cette élite, et témoigne de peu d’empathie pour la bleusaille qui risque de “ragequit” par pure frustration. Le titre souffre également d’un manque réel d’optimisation, d’une interface contre-intuitive et d’un matchmaking capricieux. Autant de défauts qui ne devraient plus exister en 2025.

• PC
• 6 / 10
• États-Unis

Escape From Tarkov is the extraction shooter that started it all, and many of its dense, mercurial systems are fascinating to learn and master at your own pace as it viciously refuses to hold your hand. I genuinely love that unapologetic challenge, but an equal number of things about it are obnoxious, janky, or just plain scuffed to an unacceptable degree – that includes its subpar performance and bugginess, its absolutely atrocious UI, and its unmitigated plague of cheaters. There is still a stellar, tense, and realistic FPS with one of the best progression treadmills ever made buried underneath all that, feeding you interesting things to do for hundreds of hours. But if the jankiness doesn’t entirely smother its promise, the absurd pay-to-win options that completely undermine much of Tarkov’s difficulty come very close. There are still plenty of good times to be found for those with the gumption to push past a whole heck of a lot of glaring issues, but with more polished extractions shooters entering the fold since its initial arrival in 2018, Escape From Tarkov’s 1.0 version becomes more difficult to recommend in 2025.

• PC
• XSX/S
• XONE
• SWITCH
• 6 / 10
• France

D’une douceur infinie visuellement, Winter Burrow saisit dès les premières secondes par son charme évident. En nous mettant dans la peau d’une petite souris orpheline qui doit retaper sa maison d’enfance, le jeu nous frappe en plein cœur. C’est mignon et accueillant. Il est simplement dommage que cette forme qui donne envie de se plonger avec un mug de chocolat chaud rempli de guimauves n’aboutisse pas à une expérience moins pénible. Pensé comme un jeu de survie cosy, Winter Burrow se perd dans ses limites, ses contraintes et son ergonomie. Et c’est le joueur et la joueuse qui finit par être paumé. Comme la souris, finalement.

• PC
• PS5
• XSX/S
• ANDROID
• IOS
• 7 / 10
• France

Il y a quand même du bon et du très bon quand même dans ce Football Manager 2026, qui pose les bases d’une nouvelle façon de jouer. Reste à savoir si les fidèles d’hier, sur la durée, y adhéreront. Ce n'est certes pas le meilleur Football Manager 2026 n’est pas le meilleur de la saga mais il ne mérite pas pour autant tout le lynchage dont sa sortie a fait l’objet. Le jeu est toujours prenant mais le changement de moteur a obligé les équipes à faire des choix qui ne sont pas forcément du goût de tout le monde. Les problèmes rencontrés par cette version prouvent que la maîtrise d’Unity et l’uniformisation de l’interface pour toutes les plateformes demande et demandera du temps. Alors, un peu de patience avec notre jeu de gestion de football préféré…

• PC
• 70%
• Japon

• PS5
• 6 / 10
• États-Unis

The most ridiculous Call of Duty has ever been, all of Black Ops 7’s multiplayer strengths are overshadowed by the silliest campaign in the franchise’s history. It’s still quality online, and the Zombies mode is as solid as ever. They don’t matter quite as much, though, when a co-op campaign manages to reframe an entire release into one of stupidity.

• PS5
• Royaume-Uni

Call of Duty Black Ops 7's multiplayer is some of the finest the series has had to offer in years. It's just a shame it's tied to a baffling, turgid, ridiculous campaign that makes a great argument for stopping Call of Duty campaigns all together. 7 games is plenty. The Black Ops series has run its course.

• PC
• 16 / 20
• France

Un an après Call of Duty Black Ops 6, Black Ops 7 ne cherche pas à réinventer la roue : il construit essentiellement sa proposition sur les innovations de son prédécesseur, mais il le fait bien voire très bien. Le walljump s’intègre parfaitement et accompagne à merveille un gameplay dont la nervosité est toujours aussi réjouissante. La campagne en coopération, de son côté, remplit complètement son contrat. Pour le reste, tout n’est pas parfait et il y a un arrière-goût de recyclage voire d’inachevé dans certains cas. Ce fut sans doute le prix à payer pour donner vie à un contenu aussi généreux. Un jeu très solide, mais qui n’excelle pas pour autant.

• PC
• PS4
• PS5
• XONE
• XSX/S
• 6 / 10
• États-Unis

Call of Duty: Black Ops 7’s campaign is a wild one thanks to the scope of its ambition. Not every roll of the dice pays off, but there’s enough enjoyment to be found across its 11 missions to not feel like a dud, at least when played in its desired co-op fashion. Beyond that, its endgame has the seed of a good idea that could be nurtured with future efforts, but it comes across as a little repetitive and supplementary to the story Black Ops 7 is trying to tell. With satisfying gunplay and very fun movement abilities providing solid foundations, there’s a reasonable mix of styles on show here, even if it doesn’t fire on all cylinders 100% of the time. Despite being a step down from last year’s exhilarating Black Ops 6 campaign, it certainly takes some big swings – they just don’t always land. It’s not bad. It’s not good. It’s simply okay.

• PC
• 8.5 / 10
• Italie

Call of Duty: Black Ops 7 è uno sparatutto davvero ricco di contenuti: sebbene la campagna si concentri esclusivamente sull'azione e non possa vantare una scrittura all'altezza del precedente capitolo, il focus sulla cooperativa, il sistema di progressione condiviso, la spettacolare novità dell'Endgame (che si evolverà nel tempo, peraltro), la modalità Zombie mai così corposa e un multiplayer competitivo dotato già al lancio di così tante mappe e modalità, con il Movimento Assoluto in grande spolvero e ulteriormente migliorato, sono tutti argomenti solidissimi che non mancheranno di entusiasmare i numerosi appassionati della serie.

• PS5
• 7 / 10
• États-Unis

• PC
• États-Unis

• PS5
• 8.4 / 10
• États-Unis

Being able to play through Call of Duty: Black Ops 7's campaign in a full squad of four and then jump straight into the Endgame makes this one of the more enjoyable Call of Duty campaigns in recent years, even if the story being told fails to live up to the hype.

• PS5
• 3 / 5
• Royaume-Uni

• PS5
• 6 / 10
• Espagne

• PS5
• 6 / 10
• Italie

• PC
• 7 / 10
• France