Notes de presse

• XSX/S
• 8 / 10
• États-Unis

To summarize: Alone In The Dark has a palpable feeling of trying to balance a lot of things at once, and struggling with some, while getting it right on others. This leads to an experience that’s enjoyable while you’re playing it, but starts to feel a bit lacking once you put down the controller and try to analyze it further. This doesn’t mean it’s a bad game by any means, just one that’s a little confused and doesn’t quite reach the heights of some other recent horror gaming experiences, where the bar has been raised extremely high in the last few years. This new reimagining of an influential survival horror title shows a lot of love for the original in some small ways, but also disregards and tramples over much of its DNA, so some hardcore fans may be disappointed if looking for a 1:1 remake. At the end of the day, Alone In The Dark is an enjoyable retelling of a horror classic that aimed high and only partially stuck the landing with its story. However, it’s still a fun experience for those looking for a new non-action survival horror game in 2024 and is a nice alternative to the action-packed, over-the-shoulder titles of the last few years.

• PS5
• 70%
• Espagne

• PS5
• 7.4 / 10
• Italie

• PS5
• 5 / 10
• France

En voulant faire s’épanouir sa formule née avec Nioh et inspirée par les Dark Souls dans un monde ouvert, Team Ninja se fait hara-kiri. Son Rise of the Ronin n’a rien de la stature d’une exclusivité PS5 digne de ce nom. Il fait penser à un Assassin’s Creed 2 chez les samouraïs, mais ce qui ressemble à un compliment n’en est plus vraiment un aujourd’hui. La faute à des graphismes indignes de la console et à une structure datée qui ne donne pas du tout envie. Il reste alors à Rise of the Ronin son gameplay assez exemplaire, avec des combats techniques et jouissifs, sauf quand on fait face à une armée (ce qui arrive souvent). On observe finalement une régression chez Team Ninja : Nioh était mieux que Nioh 2, qui était mieux que Wo Long: Fallen Dynasty, qui est donc mieux que Rise of the Ronin. Disons que le gameplay, si réussi soit-il, ne peut pas toujours tout sauver. Le studio se retrouve à la croisée des chemins, comme le Japon à la fin du shogunat.

• PS5
• Australie

• PS5
• 91%
• Espagne

Dragon's Dogma II atrapa y sabe hacerlo como pocos, a base de encontrar una sinfonía perfecta cuando todas las piezas de la orquesta están pensadas a la perfección, se relacionan entre sí como un guante y cuando, sobre y por encima de todo, entretiene y divierte. Lo hace con su historia, lo hace con su gameplay y lo hace con la cantidad de contenido ingente que tiene para descubrir dentro de él. Con un munto sistémico y estructural que nos regala libertad sin guiarnos como pocos juegos saben hacer, fomentando nuestro ánimo por lo extraordinario, lo raro y lo peculiar aún cuando no sabemos dónde lo vamos a encontrar. Es un título que invita no solo a terminarlo sino a descubrirlo por completo. A encontrar cada resquicio de lo que ofrece porque en cada línea de código bajo su superficie se nota cariño, buen hacer y mucha vocación.

• PS5
• États-Unis

• PS5
• 7 / 10
• France

Rise of the Ronin ne pourra pas contenter tout le monde. S’il apparait comme un action-RPG accessible sans pour autant être dénué de challenge, avec une liberté d’approche assez satisfaisante, il pourrait aussi ne pas convenir à celles et ceux qui sont trop habitués aux jeux du studio et qui n’y retrouveront pas la même profondeur. L’expérience reste plaisante avec des mécaniques qui fonctionnent bien, mais qui ne suffiront peut-être pas à tout le monde pour outrepasser le fait qu’il s’embourbe dans un récit trop mal narré – malgré un casting séduisant – et dans un monde ouvert trop redondant pour que l’on ait vraiment envie de s’y perdre. Une bonne expérience qui cache beaucoup d’imperfections, mais qui reste une bonne porte d’entrée pour le genre ou pour celles et ceux qui veulent se contenter d’un Nioh épuré (pas dépouillé) en monde ouvert.

• PC
• XSX/S
• PS5
• 8.5 / 10
• Italie

Forse avevamo aspettative troppo alte per Dragon's Dogma 2. Speravamo si trattasse di un GDR in grado di cancellare tutte le incognite dell'originale e di sfruttarne al meglio l'enorme potenziale, invece alcuni degli elementi più ottusi del capostipite sono rimasti in questa sorta di seguito/rifacimento, dimostrando di essere concetti seriamente desiderati dal team e non inseriti per mancanza di risorse. No, questo non è un gioco perfetto, eppure, anche con le sue mancanze, mantiene tutto il fascino del suo predecessore, rappresentando ancora una volta un'esperienza davvero unica nel genere ed evolvendone gli aspetti più peculiari. Itsuno, tutto sommato, ha fatto quel che voleva; chissà se anche stavolta toccherà i picchi desiderati con un'eventuale espansione.

• PS5
• 8.3 / 10
• Italie

• PS5
• 10 / 10
• États-Unis

• XSX/S
• États-Unis

• PC
• XSX/S
• PS5
• 7 / 10
• France

Dragon's Dogma 2 coche toutes les bonnes cases pour convaincre les passionnés de RPG exigeants. Mais pour un retour en force de la franchise, les nouveaux venus pourraient bien se retrouver décontenancés. Si le manque d'accessibilité risque de rebuter plus d'un joueur débutant, les vétérans seront ravis de découvrir la direction prise par ce nouvel opus. On déplorera néanmoins quelques problèmes de caméra, ou encore une optimisation aux fraises sur PC, difficile à avaler avec un titre AAA de cette trempe. Ce second épisode va de pair avec son prédécesseur : satisfaisant mais loin d'être marquant.

• XSX/S
• États-Unis

• PS5
• 9 / 10
• États-Unis

Dragon's Dogma 2 is an absolute masterpiece in terms of offering a true sense of adventure. Fans of the first game shouldn't even begin to hesitate; this is everything that Dragon's Dogma wanted to be back in 2012, and it's utterly glorious at its best. But even if you're newly Arisen, this sequel stands alongside some of the greatest open world journeys in gaming. Just fix the frame rate, and this is an all-timer.

• PC
• 8.5 / 10
• États-Unis

Dragon's Dogma 2 features a rich world filled with plenty of old-school RPG stylings that remain a fun adventure despite some technical difficulties. (Review Policy)

• SWITCH
• 7 / 10
• France

Sans s’imposer comme un nouvel indispensable de la Switch, Princess Peach : Showtime est une excellente surprise, surtout en considérant la fin de vie de la console. Les jeux liés à l’univers de Mario ratent rarement leur cible et Nintendo enrichit une fois de plus sa collection de titres d’une belle proposition. Peach n’est pas seulement une icône du Royaume Champignon : c’est une véritable icône du jeu vidéo que l’on espère voir en tête d’affiche plus souvent.

• SWITCH
• 7 / 10
• États-Unis

• SWITCH
• États-Unis

• SWITCH
• 8.5 / 10
• Australie

• SWITCH
• Australie

• SWITCH
• 7 / 10
• France

Princess Peach: Showtime ! est à prendre comme il se présente, c’est à dire un jeu plutôt destiné aux plus jeunes d’entre nous, sans avoir vocation à voler la vedette à une aventure majeure de son comparse Mario, qui n’est cependant pas du tout présent ici pour ne pas mélanger les univers. Peach est ici attachante et agréable à manipuler, bien qu’elle manque de pep’s à notre goût, surtout après un Super Mario Bros. Le Film l’ayant montré assez badass. Nous avons toutefois noté des cinématiques assez inégales techniquement, trop d’animations répétées, une lecture parfois erratique de la profondeur à l’écran, ainsi que des écrans de chargement que l’on pourrait presque croire en 2 FPS, cassant indéniablement l’immersion. De petits désagréments certes, mais qui font tâche dans nos habitudes avec la firme de Kyoto, qui nous a habitués à un polissage presque parfait pour toutes ses sorties maison. En somme, un bon jeu d’aventure, qui n’hésite pas à emprunter à d’autres, et à s’adapter aux joueurs et joueuses les moins expérimentés, tout en proposant une relecture originale de l’art théâtral au sens large, sans toutefois provoquer de standing ovation.

• SWITCH
• 7 / 10
• Italie

Princess Peach: Showtime! è un insieme di antipasti, ognuno dei quali propone un genere diverso di videogioco (platform, avventura grafica, picchiaduro a scorrimento...), con la Principessa a fare da denominatore comune. I vari assaggi sono indubbiamente gustosi ma, anche accettando la scarsissima difficoltà, la seconda e la terza portata delle varie trasformazioni di Peach non ci hanno soddisfatto appieno. Ci aspettavamo degli accostamenti creativi dopo l'antipasto, delle variazioni sul tema o addirittura un primo che ne seguisse il gusto, e invece abbiamo avuto il bis dello stesso piatto. È un vero peccato, perché il gioco, nonostante il framerate incerto, è ben curato nella presentazione, sia visiva che sonora, ed è coraggioso nel voler proporre un contesto narrativo, come quello teatrale, completamente slegato dal Regno dei Funghi. Lo consigliamo soltanto al pubblico ideale a cui si riferisce, e cioè bambini e utenti esordienti.

• PS5
• 8 / 10
• États-Unis

Hank Aaron’s motto was “Always keep swinging,” and MLB The Show 24 does just that. It continues to push the envelope for what a baseball sim can be by adding a deep respect for the history of the sport on top of its already excellent gameplay. Season 2 of the Negro leagues is off to a fantastic start, and I can’t wait for the next episode to drop. The addition of women to that and Road to The Show emphasize Sony San Diego’s commitment to the idea that baseball is for everyone. With great new features like Custom Game Entry in Franchise, and seamless integration of Major League Baseball’s latest changes, not even a lackluster Storyline and a Diamond Dynasty mode in flux can change the fact that this is a great way to play baseball.